Histoire gay – Plan au Love hôtel

Noël approche à grands pas maintenant. Encore treize jours et je saurai peut-être enfin qui se cache derrière ce mystérieux calendrier sexy de l’avent.

Après une petite grasse matinée bien méritée en ce dimanche 12 décembre, je me lève enfin. Il est déjà 10h30… mais j’ai envie de traîner chez moi aujourd’hui. Il fait encore gris, froid et humide. Un temps à se reposer, à regarder des séries et rester au chaud sous la couette ou le plaid.

11h30, après une heure de coma sur le canapé devant des dessins animés, je me décide tout de même à ouvrir mon calendrier de l’avent.
Cette fois c’est un mini paquet de frites qui s’y cachait accompagnant le message du jour : « Enzo, tu as rendez au Love hôtel rue saint Denis à 15h30, ne sois pas en retard ».

Le love hotel? Je m’empresse d’aller voir ce qui se cache sous ce nom qui laisse rêveur.
Je me rends sur le site, et je commence à lire le descriptif :
En France, on a encore du mal à accepter certains concepts comme le Lovehotel, plus familier au Japon. Les Love Hotel sont une de ces curiosités japonaises qui amusent ou intriguent. Le phénomène n’existe pas ou très peu en occident et les Japonais n’en parlent pas trop. On regroupe sous le terme de Love Hotel des établissements réservés aux couples, dans lesquels on peut réserver une chambre pour amoureux l’espace de quelques heures (« rest ») ou à la nuit (« stay »). L’intérêt est de pouvoir faire tranquillement ses petites affaires avec son partenaire, à l’abri des regards…

Le lovehotel selon le concept japonais est donc vraiment idéal, par exemple, pour les jeunes couples dont les parents habitent une maison dont les murs sont épais comme du papier à rouler, qui ont besoin d’un hôtel intime, discret et libertin.

Me voilà fixé sur le lieu, je n’ai plus qu’à profiter des heures qui me séparent du rendez- vous pour me prélasser et me préparer.

15h10, je suis fin prêt, j’enfile mon blouson et je sors pour me rendre au LOVEHOTEL.
J’arrive pile à l’heure, j’entre et me dirige vers la réception, où un jeune homme me demande ce qu’il peut pour moi.
Je lui réponds qu’une chambre est réservée à mon nom à partir de 15h30.
Je lui donne mon nom, et celui- ci me répond: « oui, j’ai bien une réservation pour vous. Voici la clef de la chambre deux, qui se trouve au second étage »
Je le remercie, et me dirige vers le second étage.
Il y a 2 portes sur le palier, je me pointe devant la deux, et je découvre dessus le nom qu’il lui ont donné: LA CAGE.

Moi qui était resté sur le nom de LOVE hôtel, ça change vite l’image que je m’étais faite de mon après midi ici.
Je passe la carte pour ouvrir la porte, entre à l’intérieur, personne…
J’en fais le tour, la déco est toute de rouge et de noir avec un grand lit, avec de chaque côté une table de chevet, avec sur l’une d’elle, un plateau avec seau à champagne et des flûtes. Une salle de bain avec baie vitrée donnant sur la chambre.

Et juste à côté du lit une cage avec poignet de force, cagoule et laisse, posés à l’intérieur. Au mur, à la tête de lit, il y a également une barre avec poignets de force et chaîne.
L’après-midi risque d’être très hot.

Je m’assois sur le bord du lit et découvre une enveloppe avec inscrit dessus mon prénom.
Je l’ouvre, en sors le mot pour le lire.
« Enzo te voici au lovehotel, comme tu as pu le découvrir, tu es dans la chambre appelée La Cage, ne prends pas peur, il ne va rien t’arriver de grave. Je te propose de te servir une coupe de champagne, de te déshabiller et de passer les affaires et accessoires qui sont dans la cage. Une fois en tenue, tu t’installeras sur le lit et tu passeras les poignets de force qui se trouvent au mur, n’oublies pas de mettre la cagoule »

Je fais sauter le bouchon de la bouteille, me sers une coupe, la porte à mes lèvres pour me rafraîchir la gorge. Je reste là à regarder la pièce, et surtout la cage.
Je rêvasse quelques minutes, avant de me déshabiller, pull, chemise, slip, chaussette, me voilà nu comme un ver.
Je me dirige vers la cage, enfile harnais, jockstrap et cagoule.
Il est maintenant 16h00, je m’installe sur le lit et passe les poignets de force.
Je suis allongé sur le dos, et totalement à la merci de ce qu’il va pouvoir se passer.
Heureusement la chambre est bien chauffée.
Quelques minutes se passent, la lumière se tamise toute seule.
La porte s’ouvre, un mec entre.
Il est habillé en jeans des pieds à la tête, avec une veste à col en peau de mouton.
Assez grand et bien bâti.
Il porte une cagoule aussi.
Je vois juste ses yeux marrons.

Il vient près de moi, se débarrasse de sa veste, laissant apparaître un t-shirt immaculé blanc.
Il me met un masque de nuit sur les yeux pour que je ne vois rien de plus.
Je l’entend respirer et enlever son t-shirt, mais je ne l’entends pas enlever son jeans.

Il monte sur le lit, je sens la chaleur de son corps proche de moi.
Il me saisit les jambes et les replie afin de dégager mon cul.
Ainsi j’ai la rondelle découverte. Et les cuisses écartées.

Il commence à me caresser l’anus avec deux doigts, il ouvre la table de chevet, dévisse quelque chose, puis je sens un liquide froid sur mon trou.
C’est du lubrifiant, il m’en enduit la rondelle, et vient me glisser un doigt, fait quelques vas et viens, puis vient en glisser un second. Et ainsi jusqu’à 4 doigts.
Ça me fait bander, dommage que je ne vois pas le mec.

Après cette préparation, il retire ses doigts, et vient dévisser un autre truc. Cette fois je reconnais l’odeur qui s’en dégage.
C’est du poppers, qu’il vient me faire inhaler.
Il me gaze 3 fois de chaque narine.

La chaleur monte en moi, je ne sais pas à quelle sauce je vais être mangé.
Mais ça risque d’être chaud…
Le mec semble s’agiter, et dégrafer son jeans.
Je suppose qu’il sort sa queue.
Il recommence à me doigter et j’entends en même temps des frottements, il se branle.

La porte de la chambre s’ouvre, j’entends quelqu’un s’approcher du lit, faire tomber au sol ses vêtements.
Le mec qui me doigte cesse de me fouiller le cul, pour me redonner du poppers.
Il est toujours assis sur le lit à côté de moi.
La seconde personne qui vient d’arriver nous rejoint sur le lit.
J’ai toujours les cuisses ouvertes et les jambes repliées.
Je sens à nouveau des doigts contre ma rondelle, puis un truc chaud et plus large que deux doigts, c’est un gland.

Le mec est à genoux devant mon cul, la queue déjà raide, et prêt à me baiser. Pendant que le premier mec est toujours assis à côté de nous, en train de se branler.
Le mec fait pénétrer son gland, le poppers pris juste avant fait toujours son effet et j’ai le trou qui s’ouvre facilement.
Son gland est bien large.
Sa queue qui s’enfonce à présent en moi, me semble bien longue, elle n’en finit pas de me pénétrer.
Ça y est le mec est au fond et commence à me baiser.
Le premier mec me redonne du poppers, que je ne refuse pas de prendre, bien au contraire.
Il va m’en falloir pour encaisser le gourdin qui me baise.
J’ai toujours les mains attachées à la tête de lit par les poignets de force, que le premier mec est venu serrer à fond.

Je me fais démonter le trou.
Putain le mec y va comme un bourrin, mais c’est mega bon et excitant.
Je gémis de plaisir et de douleur.
Le premier mec me regaze à nouveau.
Le second mec vient me replier les jambes sur mon buste et mettre mes mollets sur ses épaules.
Il est baraqué et puissant.
J’ai le cul complètement offert et ouvert.
J’encaisse sa grosse et longue queue.
Ses couilles claquent sur mon cul.
Je me sens chienne, et réclame du poppers.
Le premier mec se lève et vient m’en faire inhaler.
Il reste debout à me mater me faire baiser.
Je sens des gouttes de sueur me tomber sur le torse, l’actif qui me baise semble avoir chaud.
Pas étonnant vu comment il se donne sur mon trou.

Après quelques minutes, je sens le premier mec qui monte sur le lit, et vient m’enjamber , Il pose son gland chaud et humide de précum sur mes lèvres.
J’ouvre la bouche, il s’enfonce en moi jusqu’à la garde.
Ma fois elle est pas mal du tout. J’ai ses couilles qui me touchent le menton.
Je subis à présent les assauts de ces deux tiges.
L’une en fond de gorge, l’autre en fond de cul.
Je me laisse baiser, je prends mon pied, j’ai chaud, je gémis.
Eux soufflent fort et poussent des râles.

Le premier mec après m’avoir baisé la gueule une dizaine minutes, se dégage de ma bouche pour me redonner du poppers.
Le second sort de mon cul.
Le premier me demande de me retourner et de me mettre à genoux, mains contre le mur.
Le second se replace derrière moi, pour me baiser à nouveau.
Sa queue s’enfonce en moi, puis il la ressort pour la remettre aussitôt d’un coup sec et profond.
Il réitère cela cinq où six fois avant de bien se cramponner à mes fesses pour me baiser sans retenue.

J’ ai les mains au mur et les bras tendus qui font tampon pour que je ne m’écrase pas sur la tête de lit.
Le premier mec m’a enjambé de nouveau, je sens son cul posé sur le bas de mon dos, il vient de ses deux mains m’écarter les fesses pour que je m’offre encore plus au second qui continue de me pilonner avec sa grosse queue.
Il y va de plus en plus fort et plus vite.
Cela dure encore cinq bonnes minutes, j’encaisse sans broncher, ou plutôt en gémissant de plus en plus fort.
J’ai le trou en feu, je jouis du cul et je suis en sueur.

Le mec se retire, le premier m’écarte bien le trou.
L’autre se branle au bord de ma rondelle, il va juter.
Il pousse un grognement de mâle, et me jouit sur le trou.
Je sens ses giclées se déposer sur et dans mon cul.
Deux, trois, quatre, cinq bonnes grosses giclées de sperme chaud et épais se répandent.
Puis il vient finir de juter en moi, m’enfonce à nouveau son gros manche, pour me limer à nouveau, avant de ressortir en me donnant une claque sur le cul.

La porte s’ouvre à nouveau, pourtant les deux premiers mecs sont toujours là.
L’un se rhabillant et l’autre se trouvant assis à côté de moi sur le lit.
La troisième personne qui vient d’entrer échange quelques mots avec les deux autres en leur demandant si je suis une bonne lope et si j’encaisse bien.
Il se déshabille à son tour, pendant que le second finit de s’habiller et part

La porte s’ouvre à nouveau, une autre personne entre, et vient rejoindre le premier et le troisième qui avaient commencé à se chauffer sur moi en me donnant leurs queues à tour de rôle à pomper.

On me détache les poignets de force, pour me conduire dans la cage.
Je m’y installe à genoux face à la porte à barreaux qui vient de se refermer sur moi.
J’approche ma tête de la grille, une queue se présente à moi.
J’ouvre la bouche et viens m’enfoncer autant que je puisse au travers les barreaux.
Je ne sais pas si c’est le premier ou le troisième ou le quatrième mec dont j’ai la queue en bouche. Peu importe en même temps. Je m’en fous du moment que je prends encore mon pied.
Je sens des mains venir me toucher au travers les barreaux.
Parcourir mon visage, mon torse, saisir et branler la queue que j’ai en bouche.

La cage est juste assez grande pour moi, les mecs peuvent en faire le tour.
D’ailleurs, pendant que je pompe la belle queue raide qui m’est offerte, et qu’on me touche au travers la cage, je sens une main venir me mettre du gel à nouveau sur mon trou, pourtant déjà lubrifié par le jus du mec d’avant.
Une fois lubrifié, une main me doigte avant de m’écarter la rondelle et y faire glisser un gode.
Je suis entrain de me faire copieusement défoncer la bouche et le cul, pendant qu’un des trois mecs me carresse et me branle la bite et me gaze.
Eux aussi se gazent, je les entends respirer dans le flacon.

Je me cramponne aux barreaux, je tends mon cul en me cambrant au maximum.
Ma bouche encaisse les coups de queue.
Le mec se retire de ma bouche, et est remplacé par un autre.
Nouvelle queue en bouche, nouvelles mains sur moi.
Je pense que le mec qui me godait a changé aussi de rôle.

Je suis en sueur, j’ai chaud de partout.
Je jouis à nouveau du cul.
Ma queue n’est pas loin d’exploser aussi.

Les mecs passent tour à tour en bouche, et changent de rôle.
Je suis à bout, je fatigue, mais c’est tellement bon.
Ils vont pas tarder à me faire juter.
Ça fait la 4ème fois que je jouis du cul.

Cette fois je ne peux plus me retenir, mon jus coule de ma bite, le mec qui me branle continue encore de me branler jusqu’à ce que la dernière goutte sorte.
Le gode s’arrête et sort de mon cul.
Les mecs se déplacent autour de la cage.
J’ai toujours une queue en bouche et j’entends les autres se branler.

D’un coup un flot de jus m’inonde la bouche, au même moment , des jets de sperme viennent se répandre sur mon dos, mon cul, mon visage.
Je suis recouvert de leurs semences.
Je finis par m’asseoir par terre dans la cage.

Les mecs prennent leurs affaires, se rhabillent, et partent.
Après quelques minutes, j’enlève ma cagoule, sors de la cage.
Me sers une nouvelle coupe de champagne avant d’aller prendre une douche et rentrer me reposer chez moi pour finir tranquillement ce deuxième dimanche de décembre.