Grand soleil au travers des stores de la chambre, 7h30 au réveil, je me lève un peu plus tôt que d’habitude au cas où le calendrier de l’avent me retarde avant d’aller travailler.
Direction le salon, la case du 3 décembre me fait de l’œil.
Je me demande bien ce qu’elle me réserve?
Je vais être vite fixé, ni une ni deux je fais sauter la porte…
J’y découvre un mini paquet de dragibus, je m’en empare, et découvre dessous un nouveau papier plié, de couleur verte cette fois.

Je le déplie et y lis : « Bonjour Enzo, aujourd’hui je te propose que tu te rendes après ton travail ce soir, au twister bar, que tu commandes un verre et le dégustes.
Tu en sauras plus le moment venu, sur place ».
Ma première réflexion fut : j’aurais pu dormir plus longtemps!
Ma seconde : un bar… bon et bien léger les infos.
Je prends le temps du coup ce matin, je cherche l’adresse du bar sur le net, la mets dans mes favoris. Visiblement c’est un bar tout ce qu’il y a de plus normal.
J’en profite pour regarder un peu les infos et bois mon verre de jus d’orange.
S’ensuit la douche et direction le bureau.
Je ne vais pas être en retard ce matin! Je finirai un peu plus tôt pour aller scruter devant le bar avant d’y entrer.
La journée se passe, 18h arrive enfin.
Je ne perds pas de temps, prends mon sac et mon blouson et hop direction le métro pour le Twister bar.
18h20 j’arrive à destination. Je me poste sur le trottoir d’en face pour voir un peu le genre de clientèle qui fréquente ce bar.
Bon et bien ça a l’air plutôt un bar hétéroclite et de quartier.
Je ne vois pas trop ce que je viens faire là!!!

Je me décide à entrer, à m’installer au bar.
Le lieu est chaleureux et le barman pas mal du tout.
Un beau brun comme j’aime, en t-shirt blanc et jeans moulant.
Bon et bien au moins j’aurai vu un beau mec, même s’il n’a pas l’air gay à priori.
Le barman vient vers moi et me demande ce que je souhaite prendre.
Je lui répondrais bien : « toi et ta queue de mâle. »
Mais je me suis repris et j’ai commandé un verre de rosé.
Le bar se remplit, il est maintenant 19h.
Le barman m’a servi mon verre, j’ai commencé à le boire.
Je regarde autour de moi les personnes se trouvant là, attendant d’en savoir plus.
Je commence à me demander quand cela va arriver.
Le barman revient vers moi et me glisse une serviette en papier.
Je le remercie en souriant.
Je prends la serviette afin de m’en servir, et en la retournant je découvre un mot écrit au dos : « Enzo, rendez vous dans 5 min aux toilettes dernière porte au fond. Enferme toi à l’intérieur »
Je regarde mon tel pour connaître l’heure et ne pas louper ce rendez- vous.
Est-ce le sexy barman qui me donne rencard aux chiottes?
C’est lui la surprise du jour?

Les 5 minutes se sont écoulées. Direction les WC.
J’entre, personne; je me dirige vers la dernière porte en regardant au passage si les autres sont libres. Effectivement personne n’est aux toilettes.
Je pénètre dans la cabine, referme derrière moi.
J’attends un peu et finis par entendre quelqu’un qui entre.
La porte principale des chiottes se referme et quelqu’un vient occuper la cabine juste à côté de la mienne.
En ayant un peu marre de patienter, je me pose sur les toilettes.
Je regarde un peu partout et là je remarque un trou dans la cloison qui sépare les deux toilettes.
Je vais pour regarder au travers et là au moment de m’approcher, un gland en sort.
Surpris sur le moment, je recule la tête.
Le gland s’enfonce toujours plus dans l’orifice de la cloison.
Il surmonte une belle tige large et veineuse.
Je comprends ce que la case ouverte ce matin du calendrier de l’avent me réservait.
Et bien je crois que je vais me régaler.
Trop excitant de pomper un inconnu en gloryhole.
Ma bouche vient se poser sur cette belle grosse queue appartenant visiblement à un brun. Est ce le barman?
Peu importe, je continue ma progression buccale le long de cette magnifique queue.
Putain que ça fait du bien de pomper.
J’en avais trop besoin en plus.
Le mec commence à faire des vas et viens au travers de la cloison, il me lime la bouche et de mon côté je lui baise la queue.
Le mec a l’air tout autant excité que moi.
Je sens déjà sa mouille qui me coule en bouche.
Putain, j’espère qu’il va prendre un peu son temps et ne pas jouir de suite?!
J’attrape mon poppers dans ma poche, en inhale, et reprends la suce.
J’entends la porte des toilettes s’ouvrir…je flippe un instant me demandant qui c’est et si le mec que je pompe ne va pas s’arrêter?
Non c’est bon, il continue et accélère même.
Ma langue lui lèche le dessous de la tige en même temps que ma bouche fait pression tout du long.
Tout à coup je sens sur ma langue un liquide chaud et épais qui me remplit la bouche.
Je continue de pomper tout en faisant glisser le précieux nectar dans ma gorge.
Une seconde giclée se déverse.
J’avale le tout et viens lui nettoyer la tige et le gland de ma langue.

Le mec se retire de l’orifice de la cloison et remballe son engin.
Je le laisse partir sans ouvrir ma porte pour voir qui c’était.
Je sors quelques instants après, me rince la bouche et file payer mon verre avant de partir pour rentrer chez moi.
A demain
En savoir plus sur La Gay Life
Subscribe to get the latest posts sent to your email.