Histoire gay – Un sergent militaire compréhensif

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Je dispose d’une voiture de service et le conducteur dont je suis le plus proche est le sergent Thierry. Un jeune bomec de 27 ans, top affuté physiquement. 1m75, 72kg de muscles.

Parfaitement entraîné pour le close-combat et avec une bonne gueule de brute qui fait même peur quand il me salue.

Le sergent Thierry est au courant de mes frasques car il me conduit parfois à l’hôtel où je rencontre mes partenaires de asskick. Il ne me pose pas de question ni avant ni après mais à chaque fois que je descends de la voiture avec mon petit sac de sport où je range mon nécessaire de salope, il me dit : « si vous avez le moindre problème, vous savez que je suis là. N’hésitez-pas. Je préfère intervenir plutôt que de vous emmener à l’hôpital ou que les flics viennent à la demande de l’hôtel. »

Cet été un plan s’est mal passé avec un fou qui m’a éclaté le trou avec des santiags sans maitriser ses coups alors que j’avais dit ok pour des coups softs. Je me suis barré en vitesse mais j’avais le trou en sang car ce dominateur m’avait blessé sérieusement la rondelle.

Je suis monté en trombe dans la voiture et j’ai dit à Thierry de me ramener chez moi mais au moment de descendre, il s’est rendu compte que j’avais très mal. Il a vu des traces de sang sur mon jogging au niveau du cul et n’a pas voulu me laisser seul.

Je l’ai autorisé à m’accompagner à l’appartement et il a attendu SOS médecin avec moi.

Le médecin est arrivé m’a examiné dans ma chambre. Je lui expliqué que j’avais eu un trip soumis-dominateur qui avait conduit à ça.

Le médecin m’a demandé la nature du trip et j’ai dû lui expliquer que j’aimais recevoir des coups de pied pile dans le trou du cul : ce fut très humiliant.

Son diagnostic fut rassurant : rien de grave cette fois-ci. La muqueuse annale est gorgée de sang surtout quand on la frappe. En fait, la semelle dure et fine des santiags m’a coupé et comme c’est une zone riche en vaisseaux, ils ont éclaté. Un peu de crème cicatrisante pendant une semaine et ce sera terminé.

Quand le médecin est parti, il a pris Thierry pour mon amant et lui a dit : « la prochaine fois que vous mettez des coups de pied dans l’anus de votre ami, frappez moins fortet pas avec des santiags ! »

Thierry fut médusé par la sortie du médecin et m’a regardé dans les yeux d’une façon que je n’oublierai pas. Je suis devenu rouge de honte car si le sergent Thierry savait que je suis soumis, il ne connaissait pas mon trip favori.

Il a pris l’ordonnance et ma carte VITALE pour aller me chercher les 2 pommades prescrites. À son retour, j’ai pris le sachet de la pharmacie et nous nous sommes dit « au revoir » une fois que Thierry s’était assuré que tout allait bien.

Le lendemain à 7 heures, je montais dans la voiture et c’était Thierry qui était à nouveau de service.

Thierry : tout va bien Monsieur ?
Moi : oui, ça va. Les pommades ont fait effet.

militaire hétéro botteur de cul

Silence entre nous.
Moi : au fait, je suis désolé pour ce que vous a dit le médecin.

Thierry : à propos de quoi ?
Moi : lorsqu’il…
Thierry : … m’a dit de ne pas mettre de santiags pour botter votre anus.
Moi : oui, je suis désolé.
Thierry : en fait, hier le médecin a juste évoqué ce que vous faites mais je n’ai pas tout compris. Comment ce gars a-t-il pu vous faire ça ?
Moi : hier j’avais rendez-vous pour un plan asskicking.
Thierry : pardon ?
Moi : c’est de l’anglais ; ass : cul ; kicking : donner un coup de pied.
Thierry : ok ! Des coups de pied au cul en fait !
Moi : disons oui.
Thierry : mais comment ce mec a-t-il fait pour vous atteindre à l’anus au lieu des fesses, il n’a pas pu ne pas le faire exprès ?
Moi : vous avez raison il l’a fait exprès : en fait, c’est même ce que je lui ai demandé.

Re silence

Thierry : vu, le but c’est de frapper l’anus avec la pointe de la chaussure par un coup de pied tendu.
Moi : euh, disons oui. C’est une présentation technique mais elle correspond à la réalité.
Thierry : c’est la description que je ferai à un entraînement pour préciser la nature du coup.
Moi : Je suis désolé de cette conversation et de la remarque du médecin hier. Acceptez toutes mes excuses.
Thierry : ce n’est pas grave. C’est déjà oublié. Ceci étant, pour ce type de coup moi je ne mettrai pas de santiags… c’est une grosse erreur technique !
Moi : pourquoi ?
Thierry : parce que avec ce style de pompe, la blessure est assurée. Le bout est fin mais la semelle dépasse et est très dure. Ça peut même être très dangereux. Comme je vous connais, je ne suis pas sûr que ce soit ce que vous recherchez…
Moi : effectivement, bien vu. Ce type de chaussure n’est pas adapté du tout, il vaut mieux des baskets de running.
Thierry : moi je dirai plutôt des chaussures de lutte comme celles que j’ai pour m’entraîner au close-combat. Elles sont souples au bout et pourtant quand on donne des coups, ils portent!
Moi : j’y penserai, vous avez raison ce n’est pas mal.
Thierry : je vous conduis depuis 3 ans, je vous connais bien. Vous devriez faire attention car vous pratiquez ça avec des inconnus qui peuvent ne pas se maîtriser. Vu votre position, un incident serait délicat.
Moi : j’en ai conscience mais c’est plus fort que moi et à qui voulez-vous que je demande de me botter l’anus et de me sauter.

Mes mots étaient sortis sans réflexion et je me suis rendu compte de leur grossièreté.

Thierry : si je peux me permettre, Monsieur, à des partenaires de confiance et pas à des coups occasionnels.
Moi : je cherche un plan récurrent mais c’est difficile de trouver un mec motivé, précis, discret, sympa qui a des pompes adaptées et qui encule bien !
Thierry : en ce qui me concerne, je pourrais remplir toutes les conditions sauf la dernière.

Ahuri par la réponse de Thierry, mon regard se planta dans le sien via le rétroviseur intérieur.

Thierry : je ne suis pas gay, Monsieur, donc pour la sodomie c’est impossible. Pour les coups de pied, il faut être précis et maitriser sa force. C’est comme à l’entraînement.
Moi : vous voulez dire que …
Thierry : que je préfère utiliser mon 44 de temps en temps plutôt que de revivre ce qui s’est passé hier. Je suis pragmatique. Si un jour il y a des histoires ce ne sera bon ni pour vous, ni pour moi si c’est moi qui ai conduit. Nous nous connaissons bien maintenant, après 3 ans à votre service.

Thierry que je vois 3 jours par semaine depuis 3 ans, Thierry qui est l’image même du soldat viril, bodybuildé un max, Thierry vient de me proposer de me botter le trou du cul.

Il m’a parlé de son 44… ce serait énorme pour sa taille. Un long silence s’installe jusqu’à ce que nous arrivions à destination. Thierry m’ouvre la portière et en descendant machinalement, ayant en tête ses propos, je porte le regard sur ses chaussures.

Effectivement, il a de grands pieds pour sa taille et doit faire un 44 ce qui est beaucoup pour 1m75. Thierry est habillé en civil pour les déplacements en ville. Il porte des chaussures de ville plutôt fines au bout et je rougis à l’idée que ces pompes pourraient démolir mon cul. Thierry s’en aperçoit.

Thierry : non Monsieur, ce ne serait pas une bonne idée.
Agacé qu’il m’ait mis à jour, je le regarde surpris. Thierry plante un de ses pieds sur le talon, pointe en l’air.
Thierry : regardez ! La semelle est fine et dure et elle dépasse de 5mm. Ce serait comme avec les santiags.

Après ma journée de travail, pendant laquelle je n’ai pas vraiment eu le temps de penser à Thierry, je le retrouve devant la voiture pour me ramener à l’appartement.

Thierry : vous avez passé une bonne journée ?
Moi : chargée, mais tout c’est bien passé. Et vous ?
Thierry : je suis allé à l’entraînement. J’ai fait 1 heure de coups de pointe de pied sur le sac de sable !

En me disant cela, Thierry me gratifie d’un large sourire et d’un clin d’œil. Et au moment où il ferme la portière, en m’asseyant je vois une paire de chaussures sur le siège à côté. Thierry monte à sa place.

Thierry : ce sont mes chaussures de lutte, pour vous expliquer ce que je voulais dire ce matin. Regardez le bout : il est en caoutchouc, mais reste très fin. Il ne peut en aucun cas blesser mais par contre il transmet parfaitement le choc d’un coup.
Moi : je pensais que vous plaisantiez ce matin.
Thierry : je suis professionnel. Jamais, je ne me serais permis quoi que ce soit d’offensant. Mais, comme je vous conduis à vos rendez-vous privés et après ce que j’ai vu hier, j’ai pris une initiative pour être efficace. Si elle vous a choqué, oubliez nos échanges tout en conservant mes conseils en tête.
Moi : Thierry regardez-moi, mais pas dans le rétroviseur.
Thierry se tourne avec un regard dur et ne détourne pas ses yeux des miens.
Moi : Thierry, êtes-vous en train de me proposer devenir mon botteur pour un plan asskick ?
Thierry : oui Monsieur !
Moi : vous y prendrez du plaisir ?
Thierry : je ne sais pas. Je serai professionnel quand j’aurai compris ce que vous souhaitez. Bien sûr, ceci doit rester exceptionnel mais je préfère cette situation que je maîtrise complètement à celle d’hier qui pouvait partir en live à tout moment.
Moi : merci Thierry.

Nous reprenons notre route jusqu’à mon appartement et pendant le trajet mon regard est obsédé par ces chaussures posées à côté de moi. Des chaussures rouges, type chaussures de boxe, semelle ultrafine, le bout est fin et rond.

D’instinct, je pose une main sur la pointe d’une de chaussures et la caresse. Je me mets à penser à Thierry en chaussures de boxe et en short. Je ne l’ai jamais vu en short mais à travers son pantalon on voit qu’il a des cuisses puissantes, aussi puissantes que son torse fait sensation quand il est en chemise.

Arrivé à l’appartement, j’ouvre la portière pendant que Thierry descend de son côté et arrive pour refermer la portière.

Thierry : je suis désolé Monsieur. Je n’aurais pas dû…. Je demanderai une autre affectation dès demain si vous le souhaitez d’autant que je suis en vacances durant deux semaines.
Moi : pas du tout. Thierry ! Vous m’avez surpris et je pourrais être tenté d’accepter votre proposition. Mais ceci me met dans une situation très embarrassante…
Thierry : plus embarrassante qu’hier soir ?

Thierry a raison. La veille il a assuré parfaitement et je lui dois une fière chandelle.

Thierry : vous y réfléchissez et pas de folie ! Vous devez cicatriser ! On se revoit dans 2 semaines.

Nous nous serrons la main, fermement et longuement et au moment où je passe la porte de l’immeuble, Thierry m’interpelle.

Thierry : au fait, je vous laisse cette paire. Ce sont des vieilles. J’en ai d’autres pour m’entraîner. Comme ça, si par sécurité vous désirez avoir recours à mes services, vous n’aurez qu’à les poser sur le siège de la voiture. Je comprendrai rien qu’en les voyant et vous n’aurez rien à me demander.

Deux semaines après mon incident avec le botteur en santiags et ma discussion avec Thierry, tout était oublié, emporté par la vie professionnelle chargée que je mène.

Un matin, alors que je m’apprêtais à descendre de mon appartement pour rejoindre la voiture de service, l’interphone retentit.

Habituellement le conducteur ne sonne pas, il attend que je descende. J’appuie pour savoir de quoi il s’agit : « bonjour Monsieur. C’est Thierry. J’ai repris mon service, je voulais juste vous prévenir pour éviter une surprise. »

Moi : merci je descends.

En fait, l’appel de Thierry a fait resurgir notre conversation et d’un coup mes yeux se posent sur un coin de mon entrée où sont restées ses chaussures de boxe rouges pointure 44, là où je les ai laissées voici 15 jours.

Sans réfléchir, je prends les baskets à la main, je descends et lorsque je croise le regard de Thierry en sortant de l’immeuble je comprends à l’instant ce que signifie de les avoir à la main.

Thierry : permettez que je les prenne pour les mettre dans mon sac ; comme je ne garde pas la voiture pour la journée, comme ça je suis sûr de les avoir sous la main.

Durant le trajet comme si de rien n’était, Thierry me parle de ses vacances, de ses séances de footing, des travaux dans son appartement.

Arrivé au bureau, Thierry me dit : « je finis mon service à 17 heures, c’est un autre conducteur qui vous ramènera. Mais je serai chez vous à 19 heures. Si vous avez du retard, je vous attendrais, ne vous inquiétez pas ». Et il me plante là comme ça.

Ahuri, je ne dis rien et pendant que je monte les marches je comprends que le sergent Thierry, 27 ans, gaulé comme un gymnaste avec 72kgs pour 1m75, entraîné aux sports de combats, est volontaire pour me botter le trou du cul avec son 44 avec tout son
professionnalisme de soldat.

18h30 – J’arrive chez moi. Je regarde : pas de Thierry à la porte de l’immeuble. Après avoir ouvert mon courrier, je prends une douche, me fait un lavement comme avant chacune de mes séances de asskick et me mets à l’aise en jogging pour lire les journaux du soir.

L’interphone retentit. Je regarde l’heure : 19h 00′ 00” : une telle précision, c’est forcément Thierry.

D’un seul coup, je me mets à trembler en pensant que je fais une énorme connerie mais j’appuie sur l’interphone pour ouvrir la porte sans même demander qui c’est. Quelques instants plus tard la sonnette de la porte se déclenche.

J’ouvre et je tombe sur un Thierry en survêtement, très militaire, baskets de running aux pieds et gros sac de sport à la main. Mécaniquement je le laisse entrer, il se dirige vers le salon où il pose son sac de sport.

Thierry : ici, c’est pas mal, il y a de la place et pour moi c’est moins dérangeant que la chambre.

Je ne dis rien. Thierry enlève son blouson de survêtement : il est en débardeur.

Thierry : je préfère les débardeurs aux T-shirts ; je suis plus à l’aise.

Je comprends pourquoi : Thierry a des épaules impressionnantes, et ses biceps et ses triceps sont à tomber.
Thierry s’accroupit et ouvre son sac : il sort la paire de chaussures de boxe Adidas rouges que je connais, il sort une autre paire de boxe noire avec un bout super fin et une paire de chaussures de ville Redskins.

Thierry : j’ai amené plusieurs paires pour les tester, vous me direz celles que vous préférez.

Je me suis entraîné avec toutes sur le sac de sable.

Moi : vous ne voulez pas boire quelque chose avant ?

Thierry : j’ai ma bouteille d’eau. Si vous voulez, je peux partir. Ne vous gênez pas, je ne le prendrai pas mal.

Moi : pas du tout mais vous êtes tellement sérieux.

Thierry : non, je suis professionnel dans tout ce que je fais. Si vous êtes d’accord, j’ai réfléchis à une méthode. Il faut d’abord m’expliquer ce que vous recherchez précisément comme effet.

Moi : en fait…

J’ai du mal à expliquer comme ça directement à un de mes collaborateurs que j’adore me faire défoncer la rondelle.

Thierry : ne vous gênez pas; je ne vous juge pas sinon je ne serais pas ici. Lâchez-vous, demandez-moi ce dont vous avez envie car avec moi il n’y a aucun risque.

Rassuré, excité par ce mec qui bouge ses bras en parlant ce qui met ses muscles en valeur, je me lance : « ce que j’aime c’est sentir la pointe de la chaussure sur … »

Thierry : sur votre anus !
Moi : oui c’est ça.
Thierry : vous aimez juste sentir le contact ou vous souhaitez sentir le choc ?

Moi : sentir le choc
Thierry : vous aimez des chocs forts ou des tapotements ?
Moi : les deux, j’adore quand c’est fort et précis.
Thierry : vous vous mettez dans quelle position ?
Moi : ça dépend, debout penché en avant, à 4 pattes, sur le dos.

Thierry défait ses lacets et enlève ses runnings.

Thierry : je vais commencer par vous donner 5 coups de la même force avec chaque paire et vous me direz votre ordre de préférence et de douleur. Puis je vous re-botterai dans cet ordre et pour chaque paire je frapperai de plus en plus fort pour atteindre votre seuil de tolérance.

Thierry en chaussettes a des pieds longs et fins magnifiques. Il attrape un short dans son sac et baisse son pantalon de survêtement. Il a un slip taille basse. Je ne vois pas son paquet car il les fesses tournées vers moi, peut-être a-t-il compris que ces dernières ne m’intéressent pas.

Thierry passe un short de foot, enfile une pompe de boxe rouge au pied droit et une noire au pied gauche puis il se retourne. Je suis sans voix devant ses jambes hyper musclées. Il s’en rend compte et soulève son débardeur laissant apparaître un torse de rêve.

Thierry : j’aime mon corps et je l’entretiens. Vous savez que je me fais souvent draguer par des mecs mais ce n’est pas mon truc. J’ai mis 2 chaussures différentes mais pas de souci pour moi je suis aussi précis du gauche que du droit. Vous vous mettez en position ? Honnêtement je préférerais à 4 pattes pour me permettre d’être plus précis et en plus je pense que vous
serez moins gêné si vous ne me voyez pas.

Je m’exécute et me mets à 4 pattes, un peu embarrassé de présenter mon postérieur à mon subordonné.

Thierry : vous préférez garder votre jogging ? Vu ce que s’est passé avec votre botteur en santiags, je pense qu’habituellement vous l’enlevez !

Moi : effectivement, je suis en tenue plus légère …

Thierry : vous êtes à poil ?
Moi : oui, c’est mieux mais avec vous je vais baisser mon jogging et garder mon slip
Thierry : non, non, mettez-vous à poil. C’est ce que vous aimez et ce sera plus pratique pour moi de voir où je dois viser. Et puis rassurez-vous vous ne serez pas le premier cul de mec que je vois !

Je me retourne vers lui : « vous avez déjà vu des culs de mecs ? »
Thierry : vous savez dans les vestiaires, les douches sont communes. Pour vous tranquilliser, je me suis même déjà branlé en même temps que d’autres mecs. Et lors d’une soirée arrosée, je me suis même fait sucer par un mec même si je ne suis pas gay. Alors ne soyez pas pudique, mettez-vous en place, sinon dans 2 heures on aura rien fait.

En disant ces derniers mots, Thierry avait pris un ton autoritaire qui m’a fait réaliser ce que j’avais devant moi : un militaire top affuté qui allait pragmatiquement tester son 44 sur mon trou de balle. Excité, ma bite se mit à bouger dans mon slip. Aussi, décidai-je de me retourner et de baisser en même temps jogging et slip.

Thierry appuie la pointe de sa pompe de boxe rouge sur mon anus et m’envoie 5 coups de pied, pas très fort, mais bien placés et suffisamment espacés pour que je ressente bien l’effet. Puis il fait la même chose avec sa pompe de boxe noire.

Thierry : quelle est votre préférée ? Laquelle est la plus douloureuse ?

Moi : en fait elles ne sont pas du tout douloureuses ; vous aviez raison, franchement c’est top pour le asskick. Je sens bien les coups mais ce n’est pas dur comme avec une semelle normale. La rouge est peut-être moins douce et la noire plus pénétrante.

Thierry : elle ne peuvent pas vous blesser car la semelle est hyper fine et en crêpe. La rouge est en nubuck et la noire en cuir lisse, c’est pour ça que la rouge vous titille plus car le nubuck doit plus frotter. Le nubuck vous fait mal ?
Moi : pas du tout, au contraire, c’est super car ça râpe un peu.

Thierry passe une redskins très arrondie au bout et une running Asics. Même scénario : je me prends 5 coups de chaque.

Moi : les Reskins sont plus larges et moins…

Thierry : … moins pénétrantes. Plus douloureuses ?
Moi : pas du tout, mais plus dures au bout. En fait j’aime les 4 paires, vous ne vous êtes pas trompé. Par contre les Asics sont terribles avec ce bout de semelle qui remonte. De la plus soft à la plus hard, je dirai les boxes noires, les boxes rouges, les Redskins, et les Asics.

Thierry : bon je vais vous frapper de plus en plus fort avec chaque paire pour voir à quoi vous pouvez résister. On fera une pause après chaque paire et on en restera là pour aujourd’hui. Mettez-vous bien devant le mur et tenez-vous avec vos bras pour bien encaisser les coups sans avancer.

Le ton était sans appel. Thierry m’a botté progressivement avec chaque paire. Les premiers coups étaient doux mais à chaque fois la puissance augmentait.

Les pompes de boxe firent match nul : 8 coups chacune. Le 6ème me fit mal, le 7ème me ruina le trou et le 8ème eut raison de ma résistance tellement il était brutal et puissant.

Thierry sentait quand il faisait mal mais ne disait rien attendant ma réaction. Pour les Redskins et les Asics qui étaient plus dures le 6ème coup fut le dernier.

Thierry avait un coup de pied hyper précis et si j’avais eu le cul ouvert préalablement par un bon godage ou un petit fist je crois qu’il m’aurait sodomisé avec ses pompes de boxe, notamment les noires si fines au bout.

Depuis son arrivée, Thierry m’avait envoyé 48 coups de pied pile dans mon trou du cul et je n’avais pas du tout mal. La douleur des coups les plus fort avait disparu.

Thierry : vous êtes super endurant, les derniers coups avec mes pompes de boxe j’ai cru qu’elles allaient vous enculer !

Je me retourne et je découvre un Thierry très excité alors que son silence m’avait donné l’impression qu’il restait froid dans sa frappe. Un œil sur son short de foot me fait comprendre que me botter l’a mis très en forme, vraiment très en forme, une forme que je me prendrai bien dans le cul vu la taille très honorable que je devine : un 20 cm par 6 cm de large.

Thierry croise mon regard envieux et se rend soudain compte qu’il bande comme un taureau. Il devient instantanément rouge comme je ne l’ai jamais vu et perd de sa superbe naturelle de soldat musculeux. Il était déjà sexy comme brute militaire taquée comme une armoire, il devient craquant en mâle cramoisi devant sa bite raide après avoir ruiné le trou du cul d’un mec à coups de pompes.

Thierry : je crois que vous botter m’a bien excité mais je vois que j’ai bien fait mon boulot. En me retournant, j’exhibais une bite de 15 cm raide à casser du bois mais surtout luisante pour avoir mouillé à fond.

Thierry : ça va ? Vous n’avez pas trop mal ?
Moi : je n’ai pas mal du tout car vous avez bien espacé les coups et vos pompes sont top. Vous m’avez fait beaucoup de bien
Thierry : si j’avais voulu vous casser le trou, je pouvais le faire en 3 coups. Mais j’ai bien compris que le but est de faire durer la sensation. Et puis quand j’atteins la zone limite ça se voit à votre façon de bouger pour instinctivement éviter le coup.
Moi : manifestement ça ne vous a pas déplu … vous bandez toujours. Vous accepteriez de me rebotter pendant que je me branle; j’ai trop envie de jouir. Mettez vos rouges en nubuck.

Thierry, la bite toujours raide, passe une pompe de boxe rouge assortie à son short de foot rouge. Voir ce mec en débardeur mettant en valeur un torse de rêve, avec une gueule de mili dominateur, en short avec un pied en pompe de boxe remontant sur ses jambes hyper musclées et un pied fin en chaussette blanche me déclenche une érection de malade.

Je me cale contre le mur avec mes bras et lui offre mon cul pour qu’il le dérouille à coups de pompes.

Moi : faites comme vous le sentez mais essayer d’alterner les phases où j’ai mal avec des phases cool pour que ça dure.

Thierry : ok, vous allez avoir mal, je vous préviens. Vous allez déguster. Mais je saurai m’arrêter à temps pour recommencer afin que ça dure. Ne vous touchez pas avant ma consigne et ouvrez votre trou au maximum.

Subjugué par son ordre et étonné par son côté hyper sexuel. Je ferme les yeux et j’attends. Un coup hyper violent frappe ma rondelle. Je crie fort de surprise et douleur. Si Thierry me frappe ainsi, en 3 coups il met fin au plan.

Thierry : ça c’était un avertissement. J’ai dit d’ouvrir ton trou ! Obéis !

Je respire fort pour ouvrir mon trou au maximum. Thierry me place un de ses pieds sous les yeux.

Thierry : visualise cette pompe, regarde-la bien, regarde bien sa pointe que je remue, imagine qu’elle va te rentrer dans le cul… tu l’as bien en tête ?

Je suis fasciné par cette pompe de boxe rouge dont le bout bouge au rythme des mouvements des orteils de son propriétaire et je me rends compte que Thierry vient de me tutoyer.

Thierry : réponds !
Moi : oui, je l’ai bien en tête.
Thierry : ouvre la bouche, en grand.

J’obéis. Thierry enfonce délicatement la pointe de sa pompe de boxe dans ma bouche étirée au maxi.

Thierry : lèche-la, voilà… c’est ça… Imagine l’effet que tu vas sentir quand elle va te rentrer dans le cul.

Thierry retire doucement sa pompe de ma bouche et se place derrière moi en m’ordonnant de ne pas me toucher. Il me dérouille la rondelle avec des coups qui me font crier mais il sait doser. Il sait faire durer les choses et il ne dépasse jamais le point de non-retour où j’aurais trop mal pour continuer.

Thierry est vraiment très habile et varie les séquences.

  • 5 coups doux en rafale et le 6ème en boulet de canon,
  • une série de coups très forts qui vont à la limite de ma résistance,
  • une session de caresses de son pied en chaussette sur mon trou et mes fesses,
  • un coup brutal en laissant son pied en place après le choc me permettant de sentir la présence de sa pompe dans mon trou une fois la douleur estompée,

À chaque coup je visualise la pointe de sa pompe et ceci renforce les sensations. J’ai l’impression qu’il m’encule avec sa pompe. Je ne me touche pas mais ma bite me fait presque plus mal que mon cul à force de bander.

Thierry : je vais te finir. Cambre-toi bien et ouvre-toi un max ! Je vais essayer de te faire jouir sans que tu te touches !

Je regarde ma bite avec fébrilité, je sais qu’elle est sur le point de cracher et que ma branlette va déclencher mon jus très vite. Thierry l’a bien compris. Il me distribue des coups hyper forts mais super précis avec une technique vicieuse.

Il frappe violemment. Il atteint mon trou en profondeur car sa sket s’enfonce vu la force du coup. Il laisse sa pompe dedans et 1 seconde après agite sa pointe de bas en haut comme si sa sket rampait pour me rentrer dans le cul.

Ce traitement provoque une éjaculation violente comme je n’en avais jamais connue.
Mon mur est maculé de sperme. Je m’écroule, épuisé de plaisir, et me mets sur le dos. Thierry est aux anges et il a toujours une bite au garde à vous et son short est bien mouillé au bout de sa bite.

Thierry : je crois que dans deux heures, une fois l’excitation passée, vous allez avoir très mal au cul. Je me suis un peu lâché à la fin. Désolé, je n’aurais pas dû.
Moi : ah, non ! C’était parfait ! C’était top ! Pour une première fois ! Vous me vouvoyez à nouveau ?

Thierry : bien sûr, tout à l’heure c’était pour l’ambiance. Je voulais que vous sentiez « salope soumise à mes skets »
Moi : c’était très crédible.

20 minutes plus tard, il ne reste rien de cette séance dans mon salon. Thierry m’a laissé sa paire de pompes de boxe rouges. Il est parti sans oser me regarder dans les yeux. Je lui ai glissé en fermant la porte : « merci, ce fut fabuleux ! »

Juste après son départ, je reçois un sms : « ce fut fabuleux aussi, mais moi je n’aurai pas mal au cul demain !».

Sans réfléchir, je lui réponds par sms : « ton 44 fut un délice, la prochaine fois j’en profiterais encore plus si tu m’as ouvert avant avec tes 20cm ! »

Au moment où je réalise ce que je viens d’écrire mon doigt tape sur envoyer. C’est trop tard.

J’envoie de suite un autre sms : « ne pas tenir compte du dernier sms. Toutes mes excuses. »

Réponse de Thierry : « no blem. Te mettre mon 44 m’a top excité. Tout à l’heure, si tu t’étais mis à 4 pattes sur la table basse, je t’aurais enculé tellement j’étais à fond et là crois- moi tu aurais gueulé plus fort qu’avec mon 44.

Je vais vers le bar et me sert un cognac que je bois cul sec. Thierry m’aurait enculé !

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