Histoire gay- Le Manoir du Vice

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Un monde s’est ouvert à moi ce soir. Un monde dans lequel mes fantasmes pouvaient être assouvit, sans jugements ni critiques. Un monde emplit de sensualité, de luxure, d’impudicité dans cette histoire gay.

Un monde utopique mais bien réel bien qu’éphémère.

Un des avantage de côtoyer le monde de la nuit, et surtout les conquêtes, est de toujours se voir offrir des bons plans. Évidemment, ce n’est pas toujours le cas et il m’est arrivé, parfois, de me retrouver dans des situations délicates. Mais l’expérience et l’inconnu m’excitaient bien plus que la peur du mystérieux.

C’est ainsi que le manoir des Van-de-Exes m’invitait à une de leur fameuse soirée de débauche. Je faisais ainsi parti d’une sélection drastique d’une centaines d’hommes ayant fait le déplacement des quatre coins de la région. Lorsque l’on était invité à une soirée au manoir, il était difficile de refuser.

Cette demeure était tout ce qu’il y avait de plus chic. Passé la porte d’entrée monumentale, une vaste pièce rectangulaire était composé d’un imposant escalier recouvert d’un tapis bleu nuit. Une porte, à gauche, donnait l’accès à l’immense salon dans lequel un apéro dinatoire avait débuté.

Il était déjà tard à mon arrivé et les premiers couples s’étaient formés. Certains électrons libres papillonnaient. J’observais, je scrutais, j’analysais les regards, la gestuelle, le volume de chaque entrejambe encore caché sous les textiles.

Après une coupe de champagne et quelques amuses-gueules, je pris la direction des escaliers. Le premier étage était dédié à l’univers soft, comme nous l’avait indiqué notre hôte. Plusieurs pièces étaient composés d’un très grand lit chacune, de serviettes mais surtout de capotes en abondances.

Je m’immisçais dans l’une d’elle, rejoignant ainsi un couple de minets déjà nu et s’adonnant à une fellation mutuelle. Je caressai les fesses musclés de l’un d’eux alors qu’un troisième inconnu commençait à déboutonner mon pantalon. Il me caressait également le torse à travers mon pull, tandis que ses doigts humidifié titillaient déjà mon anus.

Ses baisers dans mon cou me donnaient des frissons. Ma main se posa sur sa tête comme pour le guider, plus lentement pour ne pas vaciller. Il s’approcha si près de moi que je pouvais sentir sa bosse toucher mes fesses. Ses mains m’entouraient désormais, tout en s’immisçant un peu plus sous mon pull.

Les deux jeunes hommes s’approchaient de nous. L’un s’occupa de retirer complètement mon pantalon, l’autre prit ma verge à pleine main et me masturba. Le tendre inconnu dans mon dos retira mon pull pour mieux me faire profiter de ses baisers le long de ma colonne jusqu’à ma lune. Il écarta mes jambes pour apprécier au mieux le dessert que je lui offrais et il en profita pour me bouffait littéralement le cul.

Les deux spécimens à mes genoux se partageaient mon sexe qui était, à leur yeux, leur nouvelle sucette. Je me sentais comme un prince, on s’occupait de moi et je n’avais plus qu’à apprécier ce moment de lubricité. Mes yeux étaient fermés, chacune de mes mains caressaient le visage de mes deux angelots.

Mon inconnu me guida vers le lit. L’excitation de ne pas encore avoir croisé le regard de ce mystérieux mâle me poussa à rester dos à lui. Je me mis à quatre pattes, offrant toujours mon séant à sa langue, mais en inversant les rôles face aux deux autres éphèbes. Ma bouche n’était pourtant pas assez large pour accueillir en même temps les deux énorme phallus, je jouais alors avec chacun à tour de rôle.

Je sentis qu’on me pénétra, aussi délicatement que mon tendre amant avait pu l’être depuis le départ. Je me cambrai afin de la sentir au plus profond de moi à chaque mouvement de ses reins vers mon antre. Il prenait son temps, et je me délectai de chacun de ses coups tous plus jouissif les uns que les autres.

Sans m’y attendre, un des garçon m’éjacula dans la bouche. Au vu du volume trop important pour le garder entre mes lèvres, un filet de sperme s’écoula le long de mon menton. Il m’embrassa, comme pour récupérer une partie de sa semence avant de laisser son ami profiter de nouveau de ma bouche. Légèrement courbée, sa verge atteignait parfaitement le fond de ma gorge.

Derrière moi, les coups étaient de plus en plus rapide et vif et je sentais le membre viril de mon bon ami gonflé presque imperceptiblement, comme pour indiquer qu’il était prêt à tirer à n’importe qu’elle moment. Il se retira et au même moment je sentis une douche de sa liqueur chaude s’abattre sur mon dos. Dans une parfaite synchronisation, ma bouche s’emplit de nouveau de ce délicat nectar.

Je n’eu pas besoin de toucher très longtemps ma queue avant de venir à mon tour sur les draps désormais souillés par nos ébats. J’attendis que la pièce se vide avant se remettre mes vêtements. La soirée avait bien commencé, mais elle était loin d’être terminée.

Après cette folle partie de débauche, je repris un peu de force au rez-de-chaussée à coup de coupes de champagne et de petits fours. L’assistance était de plus en plus éméchée, les regards se faisaient de plus en plus insistants et les contacts se multipliaient.

C’est à cet instant que je sentis une main frôler mon dos et un susurre dans mon oreille. Un homme, bien plus âgé que moi, la barbe grisonnante, m’adressa quelques mots. Il était très grand, le crâne rasé, un anneau à l’oreille gauche mais une jolie bouille malgré les marques du temps sur son visage.

Galant, il me demanda s’il pouvait se joindre à moi le temps d’un verre. Je n’avais pas pour habitude d’échanger plus de trois mots avec de potentiels plan-culs, mais celui ci avait beaucoup de charme. Il était originaire d’écosse mais était venu s’installer chez nous depuis quelques années pour suivre son ex. Depuis sa rupture, il enchaînait les soirées comme celle ci mais n’était jamais tombé sur un garçon avec autant de charme que moi.

Je ne laissais jamais tromper par la flatterie. Il avait beaucoup d’assurance, mais au vu de la quantité d’alcool qu’il avait dû ingurgiter, il semblait avoir fait face à de nombreux refus. Pourtant, il avait beaucoup de charme, mais dans ce type de soirée, et dans ce milieu, les jeunes sont rois. Il avait dépassé, depuis longtemps, la date limite de consommation.

En discutant plus longuement avec lui, je compris qu’il n’était pas venu exclusivement ici pour se vider les couilles. Ce n’était clairement pas ici qu’il pourrait tomber sur le prince charmant qu’il cherchait, et au fond de lui il devait le savoir. Un mec désespéré peux sembler repoussant au premier abord, mais souvent bien plus passionnant et stimulant au lit.

Il m’accompagna à l’étage, dans l’une des innombrables chambres. A peine le seuil franchit qu’il m’embrassa langoureusement, l’une de ses main caressant mon visage, l’autre main dans le bas de mon dos. Il était si doux, si tendre qu’il en était touchant. Ses mouvements étaient lent et d’une telle délicatesse qu’il me donnait l’impression de me connaitre depuis longtemps.

Il me guida vers le lit, me déshabilla aussi lentement qu’il le pouvait, ne cessant de me caresser le dos puis les fesses. Sa barbe dans mon cou me donnait la chair de poule, tout comme ses baisers aussi délicat qu’électrisant. Il s’intéressa à mes tétons, durcit par l’excitation, qu’il titilla du bout de sa langue tandis que ses bras m’entouraient comme pour me protéger.

Il continua, de plus en plus bas, son chemin jusqu’à arriver vers mon bas ventre. Sa langue se passionna pour ma verge. Il prit un soin particulier à se concentrer sur mon gland qu’il faisait disparaitre comme par magie dans un instant d’extase indescriptible. Son expérience n’avait d’égal que son grand âge lié à un talent indicible.

Je pris le relais, pour lui montrer que je n’étais pas en reste. Son bel engin trouva refuge dans ma bouche avec un peu de mal au vu de la largeur de l’objet. Un membre bien droit, veiné et surmonté d’un gland bien plus volumineux que mes poignets. La rosée du plaisir qu’il m’offrait avait un léger goût de vanille.

Il s’empara d’un lubrifiant afin de me préparer à l’arriver de son braquemard indécemment imposant. Il avait des doigts de fée, passant à merveille les vitesses : ni trop vite, ni trop lentement. Mon étalon en était presque à quatre doigts lorsqu’il me tint quelques mots à l’oreille pour me demander s’il pouvait s’insérer en moi.

Je ne le connaissais que depuis plusieurs minutes mais il semblait me connaitre depuis bien plus longtemps. Ses mouvements étaient d’une perfection adorable. Sa sensibilité à mon égard était touchante. Il me faisait l’amour comme un amant passionné et aimant, s’en était presque déroutant mais incroyablement excitant.

Dans un cri de joie indescriptible, il se vida en moi, sa main serrant la mienne. Il posa ses lèvres sur les miennes comme pour conclure ce merveilleux moment d’intimité. Avant de partir, le sourire aux lèvres, il me donna un petit bout de papier sans même prononcer le moindre mot sur lequel se trouvait son prénom et son numéro de téléphone.

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