Il y a quelques années j’ai vécu un petit moment, non pas anodin, mais complètement barré avec un de mes bons amis (qui l’est encore aujourd’hui) et qui a ouvert des perspectives totalement différentes en matière de jeux sexuels complètement délurés.
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Je me suis toujours senti assez ouvert d’esprit de ce côté-là. En bon célibataire volontaire, j’ai profité pleinement d’une sexualité assez débridée et libérée. Et tout le monde y passait, les femmes, les hommes, les couples, je profitais de ce qui se présentait sans chercher forcément un genre ou un style précis.
Avec cet ami en question, Fabien, on avait l’habitude de passer soit le jeudi soir, soit le vendredi soir, tout du moins une bonne partie de la soirée, dans un de nos bars-clubs. La musique y était sympa, les serveuses étaient mignonnes à souhait, même certains serveurs d’ailleurs, et la clientèle passable. On avait pris l’habitude de ces rendez-vous là pour se dégager du temps pour nous et souffler un peu pour décompresser. Évidemment, on parlait de tout mais surtout de sexe. Fabien était très curieux de ce que je pouvais lui raconter sur mon mode de vie, il devait m’envier par moment, sans avoir le courage de sauter le pas.
Ce jeudi-là, il avait passé une sale journée, de mon côté, ça pouvait aller, mais je l’ai quand même accompagné pour cette soirée. On est arrivé au bar sur les coups des 19h30, on s’est installé dans un box et on a passé nos commandes. On était des habitués ils savaient qu’on consommait pas mal. Le début de soirée a été un long monologue de râle, de critiques et d’insultes faussement tournées. Oui, il avait bien passé une journée de merde et il vidait son sac sans retenue. Un peu plus d’une heure après, et plusieurs consos, il s’était calmé et s’est même presque excusé d’avoir pourri le début de soirée. Je lui ai répondu qu’il n’y avait pas de soucis, qu’il avait apparemment besoin de sortir tout ça et que si ça lui avait fait du bien, on pouvait se détendre et penser à autre chose maintenant.
Les consos se sont enchaînés, les rires aussi, les discussions graveleuses aussi. Au bout de presque deux heures et demi ou trois heures, l’inévitable besoin de se vidanger la vessie est arrivé. A ma grande surprise, il m’a accompagné aux toilettes. Comment vous décrire les toilettes, j’ai jamais vu ça dans un bar, on aurait dit les toilettes d’un hôtel. Assez classe niveau standing, surtout propre et laissant limite de la place pour une seule personne à chaque fois. En y allant je lui ai demandé s’il était sur de vouloir venir avec moi, qu’il n’y avait qu’une cabine. Il a alors rigolé en me disant que vu qu’il tournait déjà un peu, il y avait de grande chance pour qu’il me demande de l’aide.
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Je pensais qu’il était déjà bien plus qu’éméché pour me dire ça mais j’ai laissé filer, fatalement la curiosité de voir jusqu’où ça pourrait aller était plus forte. On est entré dans les toilettes et par chance, personne dedans. On est entré dans les toilettes en s’assurant de fermer à clef… j’ai commencé à déboutonner mon pantalon et il m’a stoppé net en me disant :
- Attends, attends c’est à moi de le faire, j’te fais pisser en premier et après tu t’occupes de la mienne
Je lui ai demandé s’il était sûr de ce qu’il faisait. Il rigolait et m’a dit « oui, j’ai envie qu’on rigole un peu ». Je me suis mis face aux toilettes et je l’ai laissé faire. Il m’a demandé d’enlever mon T-shirt. Au début je me disais : pour pisser quel intérêt ? Pis bon, j’étais bien allumé aussi donc j’ai joué le jeu. Il était derrière moi, j’ai enlevé mon t-shirt et il a enlevé le sien et il s’est occupé de mon pantalon qu’il a fait descendre. Il s’est occupé des chaussures aussi, et s’est relevé. Il a plongé une main dans mon boxer et a attrapé ma queue. De l’autre main il a fait glisser le boxer pour me l’enlever. Il s’est collé à moi en me disant « attention faut bien viser ». Il m’a décalotté la queue et s’est comme figé tout en me serrant contre lui. Étant donné que je ne pouvais presque plus tenir et malgré l’étrangeté de la situation, j’ai ouvert les vannes et il a presque jubilé en me voyant uriner. Il tenait fermement ma queue qui commençait déjà à enfler un peu. J’avais plus le temps d’être mal à l’aise et je profitais de toute façon d’alléger ma vessie pour le moment. Je le sentais se battre avec ses chaussures tout en essayant de garder le jet dans une seule direction. Il rigolait de temps en temps mais je crois que la situation lui plaisait assez. Finalement il était à l’aise avec une queue entre les mains le petit malin.
Au bout de quelques minutes de soulagement, ma queue prenait ses aises et commençait à laisser place à une érection plus qu’évidente. Il me l’a évidemment fait remarquer et moi de lui répondre que pour autant il avait toujours sa main dessus. Il a rougit quelques secondes et on a changé les places. Je me suis agenouillé pour lui enlever son pantalon, prenant le temps de le faire descendre et de faire de même avec son boxer. En découvrant sa queue, il bandait déjà un peu.
- C’est l’heure des présentations, Johan, je te présente officiellement ma queue.
- Salut la queue de Fabien, je suis enchanté
- Tu peux lui taper la bise si tu as envie
Je me suis approché de son entrejambe, calant mon nez entre ses couilles et ses cuisses. J’ai embrassé son côté gauche puis j’ai lentement descendu mes lèvres le long de sa queue pour passer de l’autre côté et j’ai refait le même bisou gourmand. Je me suis relevé avant que ça l’empêche de pisser. En me relevant, ma queue est venue rencontrer la sienne. Il a regardé ma trique et l’a prise en main sans même réfléchir. Il a commencé à me branler un peu. Je suis passé derrière lui en lui faisant garder sa main autour de ma queue. Je l’ai mis en position pour qu’il pisse en prenant sa queue en main et en le laissant se soulager. Il continuait de me caresser et je le collais aussi, faisant passer ma queue d’une fesse à l’autre. Je le sentais bander de plus en plus alors qu’il pissait ses litres de consos. J’ai poussé le vice jusqu’à venir me mettre entre ses fesses. Il s’est ravancé de quelques centimètres par surprise je pense mais il est revenu tout en gardant sa main bien cramponnée à moi.
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- Qu’est ce que tu compte faire, je me suis jamais fait mettre moi ?
- T’en fais pas, je suis pas obligé de te la mettre, juste de t’exciter avec ma queue bien raide entre tes fesses
- Elle est bien raide et en plus tu mouilles comme un dingue
- La tienne aussi est bien raide, tu veux que j’arrête ?
- Nan, nan, surtout pas… j’ai juste peur
- Peur de quoi ? d’aimer ça ?
- D’avoir mal d’abord
- Tu veux que je la rentre tout doucement ? garde la en main et rentre la à ton rythme ou selon ton envie.
J’ai reculé d’un pas, j’ai humidifié son petit cul en y mettant un peu de salive au cas où. Le fait de le titiller à cet endroit précis l’a fait gémir et se cambrer d’un seul coup. J’ai insisté encore un peu en remettant de la salive et en faisant courir mes doigts autour de son anus. Il m’a tiré vers lui pour revenir en position initiale et a mis ma queue tout contre lui. Il m’a lâché, posant ses mains contre le mur. Et je me suis rapproché, entrant en lui doucement. Il a sursauté en poussant un cri visiblement de douleur.
Je me suis arrêté, pensant ressortir mais il m’a retenu en me disant de ne pas arrêté, que la douleur était passée. Petit à petit je suis entré en lui, sentant son plaisir augmenter au fur et à mesure où ma queue entrait en lui. Ses gémissements se sont combinés aux contractions que je sentais autour de ma queue. Il bandait comme un dingue et j’ai commencé à le branler une fois que ma queue était totalement en lui. Il s’est redressé, j’ai tenté quelques petits va-et-vient léger. Je sentais qu’il était tout serré et que je devais pas trop trop forcer alors je me suis contenté de mouvements minimes en me préoccupant plus de sa queue à lui.
On est resté plusieurs minutes l’un contre l’autre à se faire du bien. J’ai tourné sa tête et je l’ai embrassé ne sachant pas s’il allait me le rendre. Mais si, il m’a embrassé aussi et j’ai soudain senti son jus couler le long de ma main. Il était en train de jouir et j’ai aussitôt senti les contractions se faire plus nettes alors je me suis retiré de lui assez vite. Il a attrapé ma queue au vol et m’a branlé vigoureusement, m’amenant contre lui et me laissant jouir contre ses fesses encore chaudes.
On a pris quelques minutes pour constater un peu les dégâts qu’on avait causé, évidemment on en a beaucoup rigolé et une fois sortis de là, on est revenus s’asseoir mine de rien, il m’a dit que c’était de loin la meilleure branle qu’il ait connu… ça je l’ai cru sur parole !
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