Réveil à 8h, jus d’orange et une clope. Direction la surprise du calendrier. J’ouvre la case du jour, y découvre une mini boîte de smarties. Je la soulève en espérant avoir un message l’accompagnant.
Oufff, et là je me fais la réflexion : mon gars, tu es accro à ce truc …
Je déplie le message sur lequel est inscrit: « Enzo, ce soir à 22h un VTC viendra te récupérer en bas de chez toi pour une destination surprise, tiens toi prêt. »
Et bien voilà une annonce sympathique!
Je file à la douche, et direction le travail.

20h, je finis tard ce soir, le marathon de noël a commencé et je croule sous les commandes.
Je rentre chez moi me détendre et me restaurer.
21h30, je commence à me booster, je mets une tenue ni trop sportswear ni trop habillé, ne sachant pas où ce VTC va me mener.
21h55, je descends attendre devant mon immeuble.
22h03 une berline noire aux vitres fumées s’arrête devant et me demande si je suis bien Enzo.
Le chauffeur sort de la voiture, m’ouvre la porte.
Un grand mec assez baraqué, brun, barbe de 3 jours, chemise blanche, cravate noire, et jeans noir.
Il n’est pas mal du tout du tout.
Je m’installe à l’arrière.
On démarre, et je demande si je peux savoir où il me conduit?
Celui-ci me répond qu’il ne peut dire la destination finale mais qu’il doit me faire parcourir et visiter Paris et ses monuments de nuit.
Nous voilà donc en balade dans les rues parisiennes.
Direction, tout d’abord, l’Opéra Garnier, puis les galeries Lafayette qui sont déjà parées de leurs décorations de noël et de ses magnifiques vitrines animées.
De là direction Montmartre, puis retour par l’ouest pour rejoindre la place de l’étoile et descendre les Champs-Elysées, avec un détour par l’avenue Montaigne pour prendre les quais et filer vers Hôtel de Ville et l’île saint louis.
C’est merveilleux ces décors, cette ville, ces lumières.
Sur l’île saint Louis nous faisons un stop devant chez Berthillon où là un serveur s’approche de ma vitre. Le chauffeur lui ouvre celle-ci et me tend un cornet gaufré avec dedans une glace sorbet chocolat et vanille blanche de Madagascar.
Je le remercie.

Nous reprenons la route, remontons Rivoli jusqu’à la concorde, sans oublier le Louvre avant.
Le chauffeur me dit: « nous sommes bientôt à destination »
Je reste tranquillement à profiter du paysage pendant que le VTC traverse la seine .
Par le toit vitré de la voiture j’aperçois la dame de fer, mon monument préféré de Paris. Elle m’a toujours fasciné.
Je ne loupe aucune seconde et profite pour immortaliser cela avec mon téléphone.
Nous prenons une rue adjacente au champs de mars, le chauffeur se gare sur une place. Je ne vois rien autour, ni bar, ni hôtel, ou resto. La rue a l’air plutôt calme.
Le chauffeur sort de la voiture et me dit de bien vouloir patienter à l’intérieur.
Je reste donc au chaud à attendre.
Quelques minutes plus tard le chauffeur vient ouvrir la porte arrière à l’opposée d’où je suis et monte avec moi à l’arrière.
Je lui demande ce qui se passe …
Pas de réponse.
Je commence à flipper.
Il verrouille les portes.
Et me fait maintenant que tu t’es bien balader, tu vas t’occuper de ma grosse queue.
Et t’as pas intérêt de jouer au con.
Je panique et essaie d’ouvrir ma porte, en vain.
Il m’attrape par la nuque de sa main et bras puissant avant de me plaquer la tête de force sur sa queue au travers de son jeans.
Je sens sa queue déjà dure au travers du tissu.
Il me dit: « vas y lèche salope »
Je me débat encore et fini par capituler.

Je commence donc à obéir et à lui lécher le paquet au travers.
Il ne me lâche pas pour autant.
Et continue de m’appuyer sur la tête.
Sa queue est à présent bien raide et développée.
Il vient de sa main libre baisser sa braguette et sortir ses couilles en me disant de les lui gober.
J’avale la première, puis la seconde.
Elles sont assez grosses et me remplissent bien la bouche.
Je gobe et fais tourner ma langue dessus.
Le mec gémit.
Il finit par sortir sa queue, qui doit faire un bon 20 cm.
Me la colle dans la bouche et vient m’étouffer avec.
Il me fait: « vas y sale pute avale, suce moi bien la tige »
Avec sa main toujours sur ma nuque il me fait astiquer sa grosse queue.
Il appuie et me remonte la tête.
Au bout d’un moment, voyant que je ne me rebelle plus, il finit par me lâcher la tête.
Je continue de le pomper.
En même temps, vu le dard qu’il a, je prends finalement plaisir à le sentir dans ma bouche.
Il écarte bien les cuisses pour que j’en profite à fond.
Sa queue est tellement large que j’ ai les mâchoires qui commencent à fatiguer.
Mais je continue à l’astiquer de ma bouche et ma langue.
Son précum commence à couler .
Ça m’excite.
Après 15 bonnes minutes à le pomper frénétiquement, il me relève la tête, et me dit de me mettre à genoux sur la banquette face au dossier.
Lui se lève et vient se placer derrière moi.
Il empoigne la ceinture de mon jeans et me le baisse directement.
Il vient présenter sa queue sur mon trou.
Fait tourner son gland sur ma rondelle.
Crache sur son gland et sur mon trou.
Et commence à essayer de me sodo.
Bien que j’étais excité de le pomper finalement, j’étais malgré tout stressé et donc pas du tout prêt à me faire mettre.
Il pousse plus fort sur ma rondelle, qui finit par s’ouvrir.
Je sens à présent son gland me pénétrer. Je gémis de douleur.
Il est large.
Il me fout une main sur la bouche pour éviter qu’on m’entende de l’extérieur.
Il commence ses vas et viens.
Sa queue s’enfonce toujours un peu plus en moi.
Il accélère.
Il voit que je ne souffre plus et me lâche la bouche.
Il me dit « vas y salope, cambre bien et déguste ma queue avec ton trou ».
Je me cambre et lui vient m’appuyer sur le haut du dos pour que je me pose contre le dossier de la banquette.
Je suis à présent tout offert à sa grosse queue.
Il y va comme un bourrin, mais finalement j’aime ça et prends aussi mon pied.
Il me baise comme une chienne à l’arrière de la voiture.
Je vois toujours la dame de fer par la vitre arrière qui est bien embuée maintenant.
Il doit être minuit car elle scintille.

Il continue de me limer le trou.
Cette fois je gémis de plaisir.
Sa grosse et longue queue vient taper dans ma prostate.
Ça me fait un effet de dingue et j’en bande.
J’ai même la queue qui mouille.
Je sens mon precum se répandre sur le siège.
Il tape d’une puissance de dingue, ne se préoccupe pas si ça peut faire mal ou pas.
J’encaisse toujours.
Je prends mon pied.
Sa grosse queue me pénètre à fond sans relâche.
À présent il s’amuse à la sortir et à la rentrer par coups secs et puissants. En restant au fond avant de ressortir.
Je crois que je vais jouir sous ses coups de reins.

Il continue de me baiser, je gémis de plus en plus.
Ça l’excite, il le dit: « t’aimes ça sale pute hein, t’aimes ça en fait!? »
Je lui réponds « oui, tout en gémissant », et lui demande même de continuer.
Il reprend plus fort et plus vite.
Je lui dit que je suis en train de juter.
Il me dit : « vas y jute salope, jute ».
Et en même temps qu’il me dit cela, me claque le cul.
Puis pousse un râle de mâle, et me dit qu’il est en train de me remplir.
Il continue de me baiser et à tasser son jus au fond de mon trou pendant quelques minutes, avant de me faire retourner pour que je lui décrasse la queue.
Puis il me dit de me rhabiller pendant qu’il remballe sa grosse queue en train de ramollir, dans son jeans.
Pour finir, il me fait : « désolé de t’avoir fait peur ainsi mais c’était dans mon contrat de ce soir. Je te ramène chez toi maintenant ».
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J’ai adoré ton histoire.