Après une bonne nuit de sommeil, second jour de repos pour moi. Je me lève vers 10h et me prépare pour aller faire quelques repérages pour mes cadeaux de Noël. Avant de partir, j’ouvre la case 6 de mon calendrier de l’avent.
Cette fois juste un papier plié dedans.
Je l’ouvre et là apparaît une photo.
J’y distingue une enseigne de magasin et dessus est écrit: « Enzo comme tu es off aujourd’hui, tu devrais te rendre sur les champs Élysées dans la boutique Lacoste et te faire plaisir. Ne te préoccupe pas pour le règlement, j’ai laissé ton nom aux vendeurs et laissé une carte cadeaux à ton nom ».
Et bien l’inconnu est généreux!
Cinéma hier, shopping aujourd’hui… c’est trop bien.

Il est 14h00, je sors pour me rendre sur les Champs-elysées.
Métro ligne 9 puis 1.
Arrêt George V.
Je redescends un peu les
Champs pour me rendre au 93 de la plus belle avenue du monde.
Me voilà arrivé à destination.
J’entre dans le magasin, le vigile me souhaite la bienvenue, suivi des autres vendeurs au fur et à mesure où ’avance dans la boutique.
Je vais vers le vendeur qui se trouve en caisse et me présente, en lui précisant que quelqu’un a, semble-t-il, laissé, à mon intention, une carte cadeau à dépenser dans la boutique.
Le vendeur me regarde de la tête aux pieds, et me répond qu’effectivement un monsieur à payé via appel téléphonique une carte cadeau et donné mon nom.
Vous avez un budget sur cette carte de 500€.
Je le remercie et commence à regarder.
Je fais le tour du magasin, sélectionne quelques articles dont un pull, un polo et un pantalon.
Je me dirige vers une cabine, le vendeur avec qui j’avais échangé un peu avant vient vers moi et fini de m’accompagner courtoisement.
Il me fait entrer dans la cabine et me demande si j’ai trouvé ce que je souhaitais.
Je lui réponds que oui, et il ferme le rideau.

Je me déshabille, enfile le pantalon et le polo.
Je me regarde dans la glace sous toutes les coutures.
Je trouve le look pas mal mais j’ai un petit doute.
J’ouvre le rideau et fais signe au vendeur de venir.
Il me rejoint.
Je lui demande ce qu’il en pense.
Il me répond : « je pense que la taille en dessous serait mieux pour vous, cela vous mettrait plus en valeur »
Je lui réponds : « vous pensez? »
Il me répond: « oui »
Et il part chercher la taille en dessous.
Quelques instants plus tard, le revoici. Il met au portant les habits.
Il referme le rideau.
Je me déshabille à nouveau.
Je me retrouve en slip et en chaussettes.
Je vais pour enfiler le pantalon, et en regardant dans le miroir je remarque que le rideau n’est pas entièrement fermé.
J’aperçois que le vendeur est toujours là, et qu’il me matte d’un peu plus loin.
Hummmm excitant.
Je fais comme si je n’avais rien remarqué, j’enfile le pantalon mais ne mets pas le polo. Je me regarde à nouveau dans le miroir, je me matte le cul que ça me fait.
Effectivement, ça me met plus en valeur…
Je sors la tête par le rideau, et demande au vendeur (dont le prénom est James d’après ce que son badge indique) pour qu’il me donne son avis.
Il entre dans la cabine en prenant soin de laisser le rideau fermé.

Je lui dit ça me sert un peu le ventre non?
Il me regarde et me dit: je peux me permettre?
Je lui réponds : oui.
Alors il glisse les doigts de ses mains entre ma peau et le tissu afin de voir s’ il y a encore de la place.
Il me fait me retourner face à lui, et vient glisser cette fois la main au niveau du bouton en écartant le pantalon de mon ventre.
Je suis tout près de lui, torse nu, sa main quasi dans mon pantalon.
On se regarde dans les yeux, il ne semble pas être farouche.
Je ne sais pas ce qui me prend et je viens poser ma bouche sur la sienne.
Et on se roule une pelle.
Puis je recule la tête et je lui présente mes excuses, lui dis que je n’aurais pas du.
Il me répond qu’il n’ y a pas de souci et vient me rouler une pelle à son tour.
Nous voilà en train de nous rouler des pelles et de nous palper le paquet à l’abri du rideau.
La chaleur monte d’un cran dans la cabine.
Je passe une main sous son polo pour lui caresser le torse et de l’autre je lui caresse le cul.
Lui se frotte la bite contre la mienne tout en me palpant le cul de ses deux mains.
On est excité et les queues raides.
Il enlève ses mains de sur mon cul et vient dégrafer mon pantalon. Avant de faire de même avec le sien.
Il en extirpe sa queue, et m’appuie sur les épaules pour me faire mettre à genoux.
Je me laisse mettre à ses pieds, ma bouche arrive à hauteur de sa queue.
Whaouu !!! Le monstre.

J’ouvre la bouche et là, il vient me la glisser.
Putain qu’elle a bon goût et qu’elle est chaude.
Je vais me régaler.
Le mec est jeune et fougueux, il me tient par la tête des deux mains.
Et fait coulisser son gros manche dans ma bouche humide.
Je vois qu’il y va doucement et qu’il hésite à l’enfoncer en fond de gorge.
Il doit être habitué à ne pas se la faire avaler en entier.
Alors je viens descendre jusqu’à la garde de son engin.
J’arrive malgré l’épaisseur et la longueur à la faire passer dans ma gorge.
Il me bloque la tête pour que je reste en place et bien au fond pour profiter de ce moment.
Il finit par me relâcher, je ne lâche pas et y retourne aussitôt après avoir récupéré mon souffle.
Hop! De nouveau en fond de gorge, puis je viens la lécher tout du long sans oublier les boules.
Elles aussi sont bien lourdes.
Il vient me prendre la tête d’une main et me fait : « vas y ouvre bien la gueule ».
Et là il tape sa queue sur ma langue avant de me la remettre en bouche d’un coup sec, puis se retire à nouveau et comme ça une dizaine de fois.
La onzième fois, il me la colle en fond de gorge à nouveau.
Et me laisse bosser dessus à mon rythme.
Je me délecte de ce beau cadeau, je prends mon temps.
La déguste tout du long, lui malaxe les couilles, tire dessus.
J’ai la queue mega tendue, à peine je me branle tout en le pompant que j’ai le jus qui monte.
Le fougueux James toujours en bouche, vient à son tour me limer la bouche.
J’encaisse sans broncher ses puissants coups de reins.
Ma salive dégouline le long de son pieux, de ses couilles que je tiens toujours pour finir par couler par terre.

Il accélère encore la cadence, sans se soucier de savoir si j’arrive à respirer.
Mais c’est tellement excitant, que j’ouvre la gueule et j’encaisse.
Il me file deux baffes sur la joue et me tient de l’autre main l’arrière de la tête tout en me baisant la bouche.
Sa grosse queue est mega tendue, bien large, je sens les veines de celle-ci sous mes lèvres.
Il me dit: « j’vais pas tarder à juter.
Tu veux recevoir mon jus où? »
J’arrive à lui répondre tant bien que mal : « dans la gueule. »
Et sur cette simple réponse, il sort sa queue, se branle au-dessus de moi.
Et là,explosion de jus.
J’en reçois sur la gueule, et sur la langue par les deux premiers jets.
Puis me la colle dans la bouche, fond de gorge pour déverser le reste de sa semence épaisse et abondante.
De mon côté j’ai juté sur le sol et sur ses baskets Lacoste.
Sentir sa fougue, sa grosse queue et son jus m’inonder ont réussi à me faire jouir sans même me branler.
Il se rhabille rapidement, sors de la cabine, en me disant de le rejoindre en caisse quand j’aurai fini.
Je prends mon temps pour me rhabiller, et m’essuyer le visage.
Je le rejoins à la caisse pour régler mes cadeaux.
Il me prépare mes paquets et glisse un papier dedans avec son numéro de tél.
Il me remercie et me dit qu’il sera heureux de m’accueillir de nouveau.
Je le remercie en souriant et pars de la boutique direction le métro.
A demain…
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C’est vrai que les cabines d’essayage, ça donne souvent des idées, surtout quand les vendeurs sont bien sexys.