Nouveau jour, nouvelle case de mon calendrier si particulier et hot. Cette fois, je l’ai mis sur ma table de chevet. J’ouvre le 4 décembre.
Je découvre non pas une friandise mais un mini flacon (genre flacon de parfum que les femmes collectionnent)
Je l’ouvre, renifle pour savoir ce qu’il contient.
Hummmm du poppers!
Que va me réserver le message qui l’accompagne?
« Enzo aujourd’hui tu vas te rendre Porte Dorée à côté de Vincennes, et faire comme si tu faisais la pute à la lisière du bois et dénicher un « client »
Me voilà prostitué pour un soir!

Routine du matin, jus d’orange, clope, douche, et direction le boulot.
Et oui je bosse le samedi. Et pendant la période des achats pour les fêtes je risque d’être fatigué ce soir.
La journée se termine, et effectivement j’ai eu pas mal de monde.
Je ferme la boutique.
Direction le métro ligne 8 pour me rendre Porte Dorée.
30 minutes plus tard me voilà à destination.
Il fait nuit noire et je ne suis pas très rassuré d’être ici, même si je sais ce qu’il se passe et que j’ai toujours voulu tester, je dois dire que j’en mène pas large.
Je prends mon courage à deux mains et m’enfonce en lisière du bois après le zoo.
Je vois que des mecs rôdent à la recherche d’un plan cul.
Je prends une allée au hasard, allume la torche de mon tel, et avance dans celle-ci.
Je vois un banc, et décide d’attendre dessus.
Bien entendu j’ai pris le petit flacon de poppers que j’ai reçu en présent ce matin. Même si j’ai le mien en poche.
Il n’a pas fallu longtemps avant qu’un mec se pointe et tourne autour de moi.
Mais il ne me plait pas du tout. Il ne m’excite pas.
Il finit par continuer son chemin.

Quelques minutes s’écoulent, un second mec arrive dans ma direction.
Déjà plus à mon goût, mais pas encore assez.
On est samedi soir, il doit bien y avoir plus de mecs qui cherchent.
Je change de lieu et retourne près de la route éclairée.
Je reste sur le trottoir à regarder les voitures passer.
Un mec arrive à ma hauteur, me dépasse, s’arrête un peu plus loin.
Me regarde et me fait signe de le suivre.
Cette fois il est carrément à mon goût, et je lui emboîte le pas dans sa direction et le suis.
On s’enfonce un peu dans le bois.
Il s’arrête près d’un arbre.
J’arrive à sa hauteur, il se touche la queue au travers de son jeans.
Je m’approche de lui en me touchant aussi la bite.
Nous voilà côte à côte…
Je dirige ma main vers son entre cuisse et lui tâte le paquet.
Il bande déjà…
J’approche mon visage de lui, cherchant à voir s’ il embrasse et roule des pelles.
Mais il tourne la tête, je respire dans son cou.
Il me tâte aussi le paquet.
Après quelques instants à se palper et se renifler de près, il déballe sa queue.
Il me fait…vas y mets toi à genoux et pompe moi.
J’exécute aussitôt son désir.
Me place à ses pieds, et commence à lui sucer le gland.
Sa queue est pas mal du tout, j’ai de la chance à nouveau.
A croire que j’attire les grosses bites.

Ma langue vient lui lécher le gland pour lui lubrifier de ma salive sa queue.
Je lui dégage les couilles de son slip et de son jeans. Je les saisis par une main et de l’autre sors ma queue à mon tour pour me branler.
Cette fois, il est raide de chez raide.
Ma bouche chaude et humide encercle son dard et s’enfonce tout du long jusqu’à ce que mon nez vienne toucher son pubis.
Sa queue est courbée vers le haut.
Ça va être difficile pour les gorges profondes.
Il vient placer ses deux mains de chaque côté de ma tête et me baise la bouche.
J’encaisse ses coups de reins.
Son gland arrive finalement à venir se glisser dans ma gorge en forçant un peu.
Je le repousse un instant pour respirer et lui dit : attends j’ai envie de poppers.
Je sors le flacon reçu ce matin et en inhale.
Puis je lui tends pour qu’il en prenne à son tour.
Il en renifle avant de me rendre le flacon, j’en reprends avant de le remettre dans ma poche.
Le mec est chaud, il ne se soucie pas de moi et me baise la bouche ne pensant qu’à son plaisir.
Ça m’excite à mort de lui servir de vide couilles.
Il m’utilise vraiment comme une pute.
Sa queue tape bien au fond. Je sens ses couilles taper sur mon menton.
Sa mouille monte.
Je me branle toujours.
Puis il me fait me mettre debout en me disant: « vas-y mets toi face à l’arbre et appuie toi dessus. »
Il me baisse le jeans, juste sous les fesses.
Voyant ce qui se profile, je prends du poppers.
Je lui dis que je le mets dans ma poche et qu’il peut se servir.
Le mec enfile une capote.
Perso je préfère sans, mais c’est plus raisonnable qu’il en mette une.
Je tends mon cul bien en arrière.
Et me branle.
Il glisse sa main dans ma poche pour prendre du poppers.
Le voilà prêt et moi aussi.

Il vient placer son gland sur ma rondelle.
Et commence à pousser dessus.
Je m’ouvre facilement tellement excité et sous poppers.
Il s’enfonce en moi.
Je pousse un râle quand elle vient taper au fond.
Il se cramponne à mes hanches.
Et me baise à fond.
Ses couilles cette fois-ci viennent claquer contre mon cul.
D’une main je me tiens à l’arbre et de l’autre je me branle.
Il m’encule sans ménagement.
Il est grave chaud et me fait couiner comme la salope que je suis ce soir.
Il me claque les fesses l’une après l’autre.
Je gémis…
Je viens, de ma main avec laquelle je me branlais, rejoindre sa queue qui me baise.
Je lui caresse la tige et les couilles.
Je me glisse un doigt, puis deux en même temps que j’encaisse ses coups de reins.
Je suis bien ouvert et malgré la belle queue qu’il a, mes doigts ne sont pas de trop.
Il vient me saisir la nuque d’une main et de l’autre me cramponne toujours par une hanche.
Il y va à fond.
Je tends toujours plus mon cul en arrière pour qu’il me démonte bien et aille taper encore plus au fond.
Sa queue me tape dans la prostate.
Ça me rend chienne.
Je pousse de plus en plus de gémissements tellement il me fait du bien.
Ça l’excite à mort de me voir dans cet état.
Il continue de me limer comme une pute.
Je lui dit qu’il va finir par me faire juter à me baiser comme ça.
Visiblement cette phrase l’a chauffé encore davantage.
Il me dit vas-y: « branles toi je vais pas tarder à juter »
Je retire mes doigts de mon cul et viens me branler.
Il commence à bien gémir.
Encore quelques coups de queues profond et le voilà en train de remplir la capote de son jus.
De le sentir se déverser en moi me fait jouir aussi.
Du cul mais aussi de la bite.
Une bonne giclée sort de ma bite et vient se reprendre sur l’arbre.
Il continue de me limer.
Me demande si j’ai jûté.
Je lui dis que oui.
Il tasse encore un peu et se retire en me laissant la capote pleine dans le cul.

Je reprends mon souffle et mon esprit.
Le mec se rhabille et se casse.
Je suis là, à moitié à poil dans le bois, le cul à l’air avec une capote qui pend de mon trou.
Je tire dessus, regarde la quantité de jus récolté.
Et je peux vous dire que le mec avait déversé ce qu’il faut…
Je me rhabille à mon tour, et reprends la direction du lac pour rattraper la ligne huit et rentrer chez moi.
Et bien cette première expérience de nuit dans le bois fut positive et m’a donné envie d’y revenir.
A demain…
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Cela me rappelle de bons souvenirs!