Aujourd’hui c’est un jour off pour moi. Après la soirée au sauna Sun City, j’ai fait une bonne grasse matinée.
Réveil à 11h00. Un copieux petit déj, ça doit faire 20 ans que je n’avais pas petit déjeuné ainsi. En effet le matin, d’habitude c’est plutôt jus d’orange et c’est tout. Allez, il est temps d’ouvrir mon calendrier.
Que me réserve-t-il aujourd’hui…?
Avec la friandise du jour, l’habituel message qui l’accompagne : « Enzo, aujourd’hui ce sera une journée sous le signe de la culture et de l’art. Voici l’adresse où te rendre dans l’après-midi: Galerie Mynos, rue Chapon dans le 3ème. Tu as jusqu’à 19h00 pour t’y rendre ».

Je passe une bonne partie de mon aprèm à buller chez moi.
Je ne me presse pas, je prends mon temps.
16h30, je prends la direction de la salle de bain, pour me doucher et me préparer à aller prendre l’air.
J’ai décidé de me balader un peu avant de me rendre à cette fameuse galerie.
Après une heure de marche entre chez moi, Palais Royal, les quais de seine, je remonte la rue des archives pour aller découvrir ce qui est exposé à la galerie.
18h15, j’arrive devant, il n’y a pas foule… Je pousse la porte et là un homme, grand, mince, avec un certain sexapile vient m’accueillir.
Il a des yeux marrons assez clairs, une barbe et des cheveux poivres et sels.
Habillé d’un jeans, d’un polo blanc avec un gilet bleu par dessus.
Il se présente, m’indique qu’il se prénomme Guillaume. Me demande si je connais la galerie, si je suis déjà venu?
Je lui réponds, enchanté , moi c’est Enzo. Et que non je ne connaissais pas la galerie, que c’est une connaissance qui m’a conseillé de venir voir ce que vous exposez.
Il me signale que la journée a été plutôt calme, et que si je veux, il peut me faire visiter et me présenter les œuvres et artistes.

Nous commençons par la pièce du Rez de chaussée ou de grandes peintures habillent les murs. Elles sont très colorées, très modernes, entre Soulage, Rothco et Mondrian. De grands aplats de couleurs, avec des lignes venant traverser ceux-ci, comme des jets de lumière. D’autres sont très monochrome et composées de camaïeux.
Guillaume me parle du peintre, de sa vie, de quand elles datent…
Nous passons à la pièce suivante, changement d’univers.
Là, plutôt des portraits à l’huile et au crayon gras.
Je ne suis pas trop fan. Je pense que Guillaume le remarque et ne nous fait pas nous attarder ici.
Il me propose ensuite de descendre voir une expo d’artistes sur le nu masculin.
Où je pourrais voir des photos, dessins, peintures, et sculptures.
Nous empruntons l’escalier, nous arrivons dans une immense pièce en pierre et voûtée. D’anciennes caves.
Mon regard est attiré par le mur du fond ou de superbes photos d’hommes nus en noir et blanc sont accrochées. Dont une immortalisant un sexe en erection magnifique, de par sa taille, sa courbure, la puissance qu’elle dégage. Mais aussi la douceur par l’éclairage qui caresse et met en valeur cette queue.
Sur le mur de droite, des photos très blanches, ou le corps est traité en détail.
On peut y voir jusqu’au grain de la peau.
Nous continuons de faire le tour de la pièce et des œuvres, quand Guillaume me propose une boisson chaude ou même une coupe de champagne. Vu l’heure, on peut se le permettre me dit- il.
Je lui réponds que je veux bien une petite coupe, et que j’ai un peu chaud ici.

Il me propose de mettre ma veste dans l’arrière pièce, là où il va chercher des verres et la bouteille. Il me dit de le suivre le temps de nous servir et de me mettre à l’aise.
Je tombe la veste, et même le pull, je ne sais pas si c’est la pièce qui est trop chauffée, ou si ce sont ces mecs, ces corps , ces sexes en photos qui m’ont excité, mais j’ai chaud.
Guillaume nous a servi, nous restons à discuter dans l’arrière pièce.
J’ai ma chemise assez ouverte sur mon torse poilu.
Guillaume me déshabille du regard.
J’en fait de même. Il y a visiblement une attirance commune. Une attraction des corps.
Je lui mate le paquet dans son jeans qui le met bien en valeur.
On parle de l’expo, et on échange aussi sur notre travail. Je lui dit que j’ai fait des études d’arts. Que lui non, mais qu’il est passionné et s’est lancé dans cette aventure en ouvrant sa galerie après avoir lâché son boulot qui s’ennuyait après vingt ans passés dans le milieu bancaire.
La première coupe est finie, il m’en propose une seconde, que j’accepte.
Il se rapproche de moi, me sert, mais reste à côté de moi pour se servir à son tour.
Il va pour poser la bouteille juste à côté de moi, et là approche son visage du mien et m’embrasse.
Je le laisse faire, nos lèvres se joignent, nous échangeons des baisers.
Il pose son verre sur le meuble derrière moi. Prends le mien et le dépose également.
Nous continuons de nous embrasser. Cette fois nos langues se lient, explorent la bouche de l’autre.
Il se colle à moi, m’enlace par la taille. Mes bras viennent se nouer autour de lui.
Nos queues se tendent, se dressent dans nos pantalons.
Elles se touchent, nous nous pressons l’un contre l’autre, pour les faire durcir plus.
Il vient glisser une main dans ma chemise ouverte, me caresse le torse.
Il la déboutonne davantage, pendant que je viens lui tâter la queue d’une main et de l’autre je pelote son cul.

Ma chemise est grande ouverte à présent, mes tétons pointent. Il quitte mes lèvres et ma bouche pour venir me sucer le téton droit, et me le mordiller.
Puis il fait de même à gauche.
Je suis en train de dégrafer sa braguette.
Je glisse ma main dans son slip, je lui saisit la bite. Elle est bien tendue, elle me semble assez conséquente.
Son souffle change, il s’accélère.
Je le sens sur ma peau et les poils de mon torse.
Après s’être occupé de mes tétons, il remonte en parcourant ma peau, en la léchant , m’embrasse dans le cou, puis le menton et revient sur ma bouche.
On se roule des pelles bien profondes, baveuses, qui en disent long sur le désir qu’on a l’un pour l’autre.
Pendant ce temps, j’ai baissé son slip, sorti sa queue que je branle à pleine main.
Ma seconde main est sur la peau de son cul, le caresse.
On s’embrasse toujours, il vient à son tour sortir ma queue et me branler.
Je suis aussi tendu que lui.
D’une main il me travaille les tétons.

Je viens à mon tour lui lécher dans le cou, je soulève son gilet et son t-shirt, découvre un torse peu poilu.
Je me baisse pour me mettre à genoux et goûter à sa queue.
Elle est généreuse et longue, avec une belle paire de couilles.
Je viens lui lécher le gland, avant de l’entourer de mes lèvres et le faire disparaître dans ma bouche.
Guillaume vient me poser les mains sur le haut de la tête, et s’enfonce en moi sensuellement, en prenant plaisir à s’introduire langoureusement centimètre par centimètre jusqu’à faire disparaître sa belle bite.
Je le regarde dans les yeux, pendant qu’il me pénètre la bouche.
Il commence à me limer, toujours aussi doucement mais profondément.
De mon côté je me tiens des deux mains à son bassin, puis je les place sur son cul.
Il ressort sa queue pour me faire déguster son gland, que je téte et lèche. Je passe ma langue dessus, écarte son urètre, vient lui titiller l’intérieur. Je fais le tour de son gland plusieurs fois, puis je viens m’enfoncer sur sa tige.
Je fais des vas et viens. Je salive comme si je dégustais une glace.
J’ai grave envie de lui, de sentir sa queue en moi.
Je lui masse la bite de mes levres, de ma langue.
Il vient passer une main sur ma nuque, me fait pencher la tête en arrière, pour faire glisser sa queue dans ma gorge.
Il ne peut aller plus loin. Il entre et sort de ma gorge une dizaine de fois, avant de se retirer de ma bouche, et me faire me lever.
Il m’embrasse à nouveau tout en me faisant me retourner, pour me mettre face au meuble.
Ses mains me caressent le torse, descendent sur mon ventre, une reste sur un de mes tétons. Il se colle à moi, je me cambre un peu, sa main continue son parcours.
Il la fait glisser sur ma hanche, puis sur ma fesse.
Il saisit sa queue fermement, et la présente à ma rondelle.
Je tourne la tête au maximum, pour continuer de lui rouler des pelles, pendant qu’il s’introduit dans mon cul.
Comme avec ma bouche, il prend son temps, pour qu’on savoure tous deux ce moment.
Une fois en moi, il m’écarte le bassin du meuble, me fait me cambrer davantage, pour avoir pleinement accès à mon trou.
Je me cramponne au meuble, et lui commence à me limer.
Il se penche sur mon dos en même temps qu’il me baise pour me lécher la nuque et venir me mordiller le lobe de l’oreille.

Il commence à accélérer la cadence, me tient par les hanches, vient faire claquer ses couilles contre moi.
J’encaisse ses coups de reins.
Il est puissant et doux à la fois.
Puissance dans la bite, douceur du corps et des gestes.
Ça change de tout ce que ce calendrier de l’avent m’a fait vivre ces 18 premiers jours.
Ça fait du bien aussi ce type de baise.
Ça reste animal quand même, mais aussi assez romantique je trouve.
Je reviens dans l’action, et le moment présent.
Je me fais bien baiser par Guillaume.
Il est doué avec sa queue, il me fait déjà jouir du cul.
J’ai la queue qui frotte sur le bord du meuble, j’ai la mouille qui coule.
J’ai envie de le sentir contre moi, je lui fais comprendre que je veux changer de position, je me retourne, face à lui, je me pose sur le bord du meuble. Je le colle contre moi. On s’embrasse, je lui enlève son gilet et son t-shirt, pour sentir son torse contre le mien.
Il me remonte les jambes, pour me les placer de chaque côté, sa queue est pile dans l’axe de ma rondelle, il a juste à pousser pour s’introduire de nouveau.
On continue de se rouler de bonnes pelles.
Sa belle et grosse queue vient taper au fond, ça stimule la prostate. Je gémis, je jouis du cul.
Il me lime de plus en plus vite, et fort. Je ne vais pas tenir longtemps, je sens mon jus monter sans me toucher.
Guillaume semble à point aussi, je lui dit à l’oreille, comme si on pouvait nous entendre, que je veux qu’il me remplisse, que je lui appartienne totalement.
Sur ces quelques mots, il saisit le meuble à pleine main, me baise encore plus fort, il a le souffle rapide, il me regarde prendre mon pied, et jouir du cul.
Il vient taper encore deux ou trois fois de suite dans ma prostate, ça me fait monter le jus.
Je vais jouir.
Ça y est mon sperme jaillit de ma bite, vient se reprendre sur son bas ventre et sur ma cuisse droite.
De me voir jouir de la bite et du cul, lui fait monter le jus à son tour.
Ça y est, il me remplit…
Il continue de me limer, il tasse son jus.
On s’embrasse encore, en savourant ces derniers instants. Avant de se décoller l’un de l’autre et nous rhabiller.
Nous reprendrons une coupe de champagne, et remontons.
Nous discutons encore un peu, puis je le quitte en échangeant un dernier baiser.
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