Ma journée commence cette fois-ci par l’ouverture de mon calendrier de l’avent. Dans cette 17eme case se trouve une mini tablette de chocolat noir et le mot du jour. « Enzo, je suis sûr que tu prends plaisir chaque jour à découvrir tes surprises, et à poursuivre cette piste sexuelle. Alors ce soir ne prévois rien, reste au calme chez toi et repose toi.»
Visiblement mon mystérieux inconnu a pitié de moi aujourd’hui. Ça sera donc repos devant un film ou une série ce soir.
La journée passe rapidement, pas de temps mort, je n’ai pas chomé.
19h15, je baisse le store et je prends la direction de chez moi.

Me voilà installé au chaud dans le canapé devant Quotidien sur TMC.
Avec mon verre de rosé et une clope.
Les pieds posés sur la table basse. Le pantalon déboutonné.
20h40, on sonne à l’interphone. Je n’attends personne. Je décroche et demande qui c’est? Une voix masculine me répond: c’est le livreur.
Je demande: le livreur de quoi? Comme je n’attends rien.
Il me répond: le livreur de votre dîner.
Chic, c’était donc ça la surprise de mon inconnu de ce matin.
Cool donc même pas de cuisine à faire.
J’œuvre au livreur, qui monte jusque chez moi.
Je lui ouvre la porte, l’invite à entrer.
Je me fais la réflexion que ce livreur n’est pas comme la plupart des mecs qui livrent à vélo.
Celui-ci est bien habillé, avec cravate et veste noire.
Il porte le sac de victuailles devant lui.
Et je vois qu’il est écrit dessus : Fauchon.

Il l’ouvre et me demande si je peux prendre dedans ce qu’il y a pendant qu’il le tient.
Je me rapproche de lui, et saisis une bouteille de champagne, un petit pain surprise et quelques toasts. Je les dépose sur la table, puis je continue de déballer le sac.
En plat chaud il y a un risotto aux gambas.
Je vais pour m’emparer du dernier paquet qu’il reste, et qui doit être le dessert.
Dessus il est inscrit, roulé fruits rouges avec insert fantasmagorique.
Drôle de nom pour un dessert.
Je commence à soulever la boîte, mais celle-ci semble retenue par quelque chose.
Je demande au livreur si c’est normal.
Celui-ci me répond que peut-être je devrais ouvrir la boîte pour voir.
Je dis d’accord, tout en l’ouvrant.
Et là une magnifique pâtisserie dans les tons de rouges et blancs, bien appétissante.
Une espèce de bûche qui fait très Noël.
Je regarde à deux fois et soit j’ai la berlue, soit le dessert a bougé tout seule.
Ça recommence.
Je regarde le livreur, et je lui dit : « euh le dessert semble vivant, ça bouge »
Le livreur me sourit, mais ne semble pas savoir.
Il me dit: soulevez le chapeau de la bûche.
Je soulève le chapeau, et à ma grande surprise, je découvre l’insert qui se trouve dessous.
Je n’en croyais pas mes yeux !!
Une queue, un sexe , une bite quoi.
Je regarde le livreur, qui me fait un clin d’oeil, et me dit: je vous propose de commencer par le dessert!
Effectivement, je vais commencer par le dessert lui dis-je!
Le livreur extirpe ça queue du sac par un orifice qui avait été percé dans celui-ci et dans la boîte à gâteau.
Pose le sac et me tend sa queue à bouffer.
Oui oui à bouffer, lécher, car elle est pleine de gâteau.

Me voilà à genoux devant ce membre tendu à souhait.
Une belle bite épaisse, très épaisse, longue et qui va être savoureuse et sucrée.
Je viens faire le tour de son gland plusieurs fois avec ma langue, puis je parcours sa tige. Lèche chaque centimètre carré de peau recouverte de crème.
Puis je vais descendre lui lécher les couilles sur lesquelles le coulis de fruits rouges avait glissé.
Pendant ce temps, il fait tomber sa veste, et déboutonne le bas de sa chemise, dévoilant ainsi des abdos bien dessinés.
Une fois sa queue bien nettoyée, je l’invite à s’asseoir sur le canapé.
Je me place entre ses cuisses, assis sur le tapis, et la tête prête à plonger sur ce gros chibre.
Il a les couilles qui pendent sur son pantalon qu’il n’a pas baissé. Il n’y a que sa queue et ses couilles qui en sortent.
Je viens engouffrer mon dessert en fond de bouche.
Il me dit: « vas-y pompe moi bien, viens chercher la crème dessert que je t’ai gardé depuis 5 jours… »
En plus de sa magnifique bûche, il n’en fallait pas plus pour me motiver.
Il écarte les cuisses, me place une main sur le haut de la tête, et suit les mouvements que j’exerce tout du long.
Elle est, en plus d’être très épaisse et longue, bien veineuse.
Mes lèvres ressentent chaque bosse que ses veines font.
Je monte et descends lentement mais bien à fond, jusqu’à avoir le nez dans ses poils pubiens.
Je savoure, je bave dessus.
Ma salive coule le long de son manche et vient enduire ses couilles.
Comme à mon habitude, je viens les saisir pour tirer dessus et les avoir bien en main.
J’accélère à présent la cadence.
La largueur de sa bite me fait déjà mal à la mâchoire, mais c’est tellement bon de l’avoir en bouche, que je ne fais pas de pause.
Mais je la retire de ma bouche pour venir passer mes lèvres de chaque côté de sa tige, et lui masser la bite de bas en haut, avant de m’occuper de ses boules.
Je les lui lèche, et les aspire l’une après l’autre.
Il a à présent les bras étendus sur le haut du canapé en mode pacha, la tête légèrement en arrière mais tout en gardant les yeux rivés sur moi.
Je lui bouffe les couilles et le regarde dans les yeux.
Il me traite de salope, et me dit: « t’aimes ça bouffer de la grosse queue hein? »
Je ne réponds pas, et remonte de ses couilles jusqu’en haut de son gland, afin de pouvoir à nouveau l’avaler.
J’arrive à la base de sa queue, et là, d’un coup, il resserre ses cuisses contre ma tête.
Pour me bloquer et que je laisse sa queue en fond de gorge.
Je ne peux plus bouger.
J’exulte, j’étouffe, il ne lâche pas prise. Je fini par lui poser une main sur la cuisse pour lui faire comprendre que j’ai besoin de respirer.
Il me relâche, je me dégage de sa bite, respire un grand coup, avant de replonger dessus.
Il me bloque ainsi plusieurs fois, après quelques minutes passées à lui baiser la bite avec ma bouche.
Il attend à chaque fois le signal que je donne avec la main pour me laisser reprendre mon souffle.
Il joue à ce petit jeu avec moi une bonne vingtaine de minutes.
Puis il se lève, je recule un peu, et là il me baise la bouche.
Il a enclenché le mode domi.
Il me bourrine la gueule, ma tête part en arrière quand il vient taper au fond.
Il finit par me la tenir de ses deux mains, je subis les assauts de sa queue.
J’encaisse, et j’encaisse encore.

Après dix bonnes minutes à lui servir de trou, il me dit: « prépare toi à avaler, voilà ton dessert. »
Il me fait tirer la langue et ouvrir grand la bouche.
Il se branle en me regardant droit dans les yeux.
Il penche la tête en arrière, et au même moment ses abdos se contractent, il pousse un râle puissant, et me déverse son jus dans la bouche, sur les lèvres et une giclée sur la joue droite.
Il vient récupérer avec son gland le jus que j’ai sur le visage avant de me glisser sa queue en bouche pour que je gobe toute cette crème fraîche de mâle sans en perdre une goutte.
Une fois considéré que j’ai suffisamment nettoyé sa bite, il la retire et la remballe.
Ferme sa chemise, prend sa veste, me souhaite un bon dîner et s’en va.
A demain.
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