Dernier jour avant le réveillon de Noël, je dois aller rendre visite à ma grand-mère de cœur à Maintenon, notre petit rituel d’avant Noël.. J’espère juste que ma visite ne sera pas annulée à cause du calendrier de l’avent et de ce qu’il me réserve pour aujourd’hui.
Je file l’ouvrir…
Je ne prends même pas le temps de déguster la friandise du jour, je deplie directement le mot: “ Enzo, aujourd’hui tu recevras un SMS qui te guidera sur la voie…”
Me voilà bien avancé par ce message…
Je file au travail tôt, comme je dois quitter Paris vers 13h pour Maintenon.
La matinée passe rapidement, il est déjà l’heure de partir.
Juste le temps d’acheter un bouquet de fleurs, et direction la gare Montparnasse pour récupérer la voiture que j’ai louée.
13h30 me voilà au volant, en direction du périphérique, et de Maintenon.
Toujours pas reçu de SMS du mystérieux inconnu.
Je suis maintenant à mis chemin sur l’autoroute, quand je reçois un message m’indiquant de m’arrêter sur l’air de repos, après Ablis.
Je suis un peu surpris que mon mystérieux inconnu sache que j’allais par là aujourd’hui.
il doit être très proche de moi, ou flic pour connaître tout cela sur moi.
J’approche de l’air de repos, je m’engage sur la voie de décélération, et un nouveau message m’arrive, m’indiquant de me rendre aux WC le plus au fond sur les parkings du côté des camions.
J’arrive à hauteur des WC, je me gare, je descends de la voiture.
Un nouvel SMS me disant d’entrer dans les toilettes, et de me diriger vers la porte ou un X rouge est dessiné sur la porte. Je finis par me demander si je ne suis pas espionné par ce mystérieux inconnu. M’a-t-il suivi en voiture ? Je regarde autour de moi, sans distinguer qui que ce soit qui me surveille.
Docile, j’entre, et trouve la porte marquée du X, ceux sont les toilettes pour handicapés.

J’ouvre la porte, entre, et la porte se referme derrière moi.
Il y avait un mec caché derrière celle-ci qui m’attendait.
Je sursaute, me retourne et découvre ce mec, massif, grand, musclé, mal rasé et au crâne rasé.
Il ferme la porte à clef, se rapproche de moi, me déballe directement sa queue.
Un mastodonte alors qu’elle n’est encore qu’au repos, et coincé dans un cockring noir en caoutchouc.
J’imagine la taille qu’elle doit avoir raide.
Il m’empoigne l’épaule et me fait me mettre à genoux.
Je sais pourquoi je suis là! Et je vais devoir bosser sur cette belle grosse bite de mâle dominant et ultra viril.
Me voilà à genoux, devant ce membre, qui commence déjà à gonfler.
Il la prend en main et vient me la coller en bouche.
Et direct commence à me limer la gueule.
Elle est tellement épaisse qu’elle me remplit amplement la bouche.
Le mec me lime la bouche.
Sa queue prend forme, grossit , s’allonge.
Chaque minute qui passe, elle se développe davantage.
Cinq bonnes minutes déjà qu’il me baise la gueule.
Sa queue est à présent bien raide, parfaitement droite, et épaisse comme une grosse saucisse de morteau.
Il finit de baisser son jeans, jusqu’à sous ses genoux, écarte plus les jambes laissant apparaître une belle paire de couilles bien grosses et lourdes, que je viens choper à pleine main.
Il a l’air d’apprécier et me demande de tirer plus fort dessus.
Je tire dessus et les ramène vers moi, comme pour lui dire de me limer la bouche. Lui donner une certaine cadence.
Il vient m’écarter la bouche avec ses pouces en les plaçant de chaque côté.
Et il me tire dessus pour me l’enfourner au plus profond, que je puisse lui avaler sa grosse bite.
Il a un regard lubrique et pervers.
Ça m’excite.
Il finit par me lâcher la bouche, pour venir m’appuyer sur la tête.
Sa queue m’étouffe presque.
Il tente d’aller plus profond dans ma gorge, mais seul son gland y parvient.
Trop grosse pour ma trachée.
Malgré tout il reste au fond de moi, je n’arrive plus à respirer.
Il voit que j’étouffe et se retire.
Je reprends mon souffle, mais il ne me laisse pas un long moment de répit.
Il la replonge en fond de gorge, et essaie à nouveau de forcer le passage.
Il a placé en même temps sa main sur ma pomme d’Adam, pour sentir au travers sa queue déformer le passage.

Il ressort et recommence à me limer.
Je le tiens toujours par les couilles.
Il me colle une claque sèche sur la joue droite.
Me tient par les cheveux et enfonce ma tête sur sa queue en même temps qu’il s’enfonce en moi.
Je prends du plaisir,mais je morfle aussi. C’est ça qui est excitant.
Il me domine complètement.
J’entends les portes des autres wc qui s’ouvrent et se ferment régulièrement. Des mecs entrent et sortent. Je ne sais pas s’ils entendent et captent ce qui se passe dans cette cabine. Mais de savoir qu’on peut être découvert à tout moment, accentue mon excitation.
J’ai envie qu’il me retourne et me baise, mais je crains aussi le morceau.
Mais j’ai bien envie de m’essayer à ce calibre. Je ne pense pas en avoir déjà pris une aussi énorme que ça.
J’arrive à me reculer, pour qu’il se dégage de ma bouche.
Je me relève, me retourne et je baisse mon jeans tout en lui disant : « baise moi. »
Je viens me caler face au mur et me cramponner à l’aide d’une main à la barre qui se trouve près du chiotte.
Je lui tends bien mon cul et écarte les jambes.
Il se colle derrière moi, se penche pour me cracher sur la rondelle une bonne dose de salive. Et vient me faire goûter son gland qu’il tapote à l’entrée de mon trou.
Ça y est, il commence à pousser avec dessus.
Il s’enfonce en moi.
Dommage je n’ai pas mon poppers sur moi, sinon j’en aurai pris une bonne rasade au vu de ce qui s’enfonce en moi et surtout ce qu’il reste à passer.
Je pousse sur ma rondelle, je sens mon cul s’écarter.
Ça fait mal,mais c’est bon.

Il ressort un peu , crache sur sa queue, pour la lubrifier avant de poursuivre.
Je respire fort, je sers les poings.
Je ne sais pas où il en est, mais je la sens bien passer.
Il commence à me limer, je me dis que ça y est , il est entré en entier.
Je me détends un peu plus, sa bite énorme me fait le trou.
J’encaisse tant bien que mal, je commence à prendre du plaisir.
Une bonne vingtaine d’aller-retours, avant de le sentir s’enfoncer encore plus.
J’ai le trou qui va exploser.
Il me tire à deux mains le bassin en arrière pour que je me cambre au maximum, et ainsi lui offrir ma rondelle.
Cette fois je sens la peau de ses cuisses contre moi, il est au fond.
Il reste sans bouger quelques secondes, comme pour que je m’habitue à la forme et à la longueur de sa queue.
Puis il me dit: vas-y baise moi la bite avec ton cul. Montre moi comment tu encaisses , fais ta chienne sur ma queue.
Je viens alors lui masser la queue sur toute la longueur avec ma rondelle.
Je vais assez lentement, il lubrifie sa bite de temps en temps en crachant dessus.
Mon cul coulisse, j’accélère un peu plus, je transpire.
Il me motive en me disant: « vas y enfonce toi bien, ouai comme ça, ouai c’est bon.
Ventouse moi la bite avec ta chatte de mec. Vas y viens faire monter mon jus » et sur ces derniers mots, il me file une bonne claque sur la fesse.

Je m’active davantage sur son gros dard, mais il ne doit pas me trouver assez rapide, alors il me saisit par les cheveux d’une main et se l’autre par la hanche. Et commence à me baiser à sa façon.
Sa queue vient s’éclater au fond de mon trou, ses couilles bien pendantes viennent s’écraser sur mes arrières cuisses.
Je couine. C’est un mélange que j’ai rarement connu. C’est bon, c’est excitant, douleur et plaisir en même temps. Ça me donne encore plus chaud.
Je suis mégas cambré et à sa merci.
Il regarde sa bite me torpiller, puis s’arrête en restant bien au fond.
Me re claque la fesse, avant de se remettre à limer.
Je suis en train de prendre cher.
Il y a toujours des allées et venues dans les chiottes.
Les portes s’ouvrent, claquent, se ferment.
Quelqu’un essaie d’ouvrir la nôtre, et tambourine, en demandant s’il ça allait durer encore longtemps, qu’il y a des gens qui attendent.
Effectivement ça doit bien faire plus d’une demi-heure qu’on monopolise ce chiotte.
Il y va à fond, j’ai le trou qui crame.
Sa queue tape tellement fort et loin. C’est trop bon.
Je jouis du Cul.
A mon tour de le motiver, en lui disant : « vas y mec, defonce moi, baise moi bien à fond. Vas-y dose moi. »
Il me traite de salope, et me répond: « tiens toi prêt, tu vas être servi ».
Je me cramponne au mur, pendant qu’il me détruit à coups de reins intenses.
Il me tient toujours par la hanche et les cheveux.
Il tire un peu plus fort sur mes cheveux, j’ai la tête en arrière et le cul tendu.

Vas y salope, je vais jouir, oui vas y ouvre bien ton cul avec tes deux mains.
J’exécute son ordre.
Il va juter, je le sens à son souffle, à ses membres qui se raidissent.
Ça y est, il me dose le trou, sa queue est tellement grosse et large que son jus ressort direct de mon cul, et vient me couler sur les cuisses et au sol.
Il tasse sa semence chaude encore quelques instants, avant de se dégager.
Il se rhabille, me dit de me dépêcher et d’en faire autant.
Je ne m’essuie même pas, je remonte mon jeans, le boutonne.
Il ouvre la porte, me fait signe de sortir avant lui.
Deux personnes attendaient derrière la porte, et en nous voyant sortir, nous lancent un regard noir.
On sort des Wc, lui prend à droite et moi à gauche.
Ma voiture est toute proche. Je monte dedans, m’installe au volant.
Mais je ne démarre pas, j’aperçois toujours le mec qui vient de me baiser.
Il se dirige vers un semi-remorque, s’installe dans la cabine, et démarre.
Je finis par démarrer pour me rendre chez ma grand-mère de cœur.
A demain.
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