Dans cette histoire gay, un Médecin du Travail pour les collectivités territoriales bouge régulièrement dans les communes de ce département quasiment pas industrialisé. Sa dernière visite médicale est torride !
Lors de ma dernière vacation à « M », petite commune de 10.000 habitants, je termine la matinée par une visite d’embauche d’un jeune stagiaire ouvrier paysagiste, Bruno D. Il vient de sa campagne profonde, est hébergé chez sa grand-mère, ne connait pas la ville, et n’a pas d’ami ici. Juste un copain dans son village natal.
Il est donc en stage deux semaines par mois, le reste dans son lycée professionnel.
Je lui demande d’emblée de se mettre en slip, torse nu, la chaleur de l’infirmerie s’y prêtant. Il porte un slip kangourou, à priori sans marque, acheté sur les marchés de campagne. Je commence mon interrogatoire, sur ses antécédents personnels et familiaux. Il vient d’avoir 18 ans, n’a pas vu de médecin depuis ses 12 ans, n’est pas « à jour » des vaccins obligatoires, et je lui explique qu’il faudra donc procéder à deux injections de rappel de son vaccin « DTP ».
Tandis que je mesure sa taille, j’en profite pour effleurer ses fesses, puis son slip dont la poche commence a bien bailler. Puis je le pèse, face à moi, son slip comme par hasard devant ma tête, maintenant son bassin avec mes mains pour qu’il ne bouge pas sur la balance.
Manifestement, le stagiaire bande, et son visage commence à rougir de cette situation qui le gène.
Je l’invite à s’asseoir sur la table d’examen. Je lui prends sa tension, bras tendu, sa main venant par inadvertance effleurer ma braguette (également bien tendue). Tandis que j’ausculte ses poumons dans le dos, mon autre main est justement posée sur son torse, sur un de ses mamelons que je triture imperceptiblement.
Je continue de même en auscultant son cœur. Puis je lui demande de s’allonger sur le dos. Cette position met bien en évidence ce slip qui baille nettement, sa bite étant bandée dans la poche. Je palpe son abdomen, ma main venant s’insinuer sous la ceinture de son slip, jusqu’au bas ventre, effleurant indirectement sa bite, qui est isolée de ma main par le coton du slip.
Je feins d’ignorer la situation, tout en augmentant la palpation du pubis, zone érogène. Et comme il me confirme ne pas avoir vu de médecin depuis l’âge ado, je lui dis que je dois aussi vérifier si tout fonctionne bien de ce coté. Sans lui donner le temps de réagir, je baisse et enlève son slip, le laissant ainsi nu sur la table, sa queue tendue en évidence.
Je palpe et étire ses couilles une par une. Tout en laissant ma main droite posée sur son pubis, au ras de sa queue maintenue entre mon pouce et mon index. Voici que mon stagiaire commence à gigoter sur la table. De la main gauche, je vérifie maintenant qu’il décalotte bien, par quelques mouvements très lents de coulissage le long de sa hampe, ce qui le fait encore plus se trémousser, et mouiller du gland.
J’ai une dernière chose à vérifier, lui dis je sur un ton qui ne souffre pas le refus : je dois m’assurer que tout va bien du coté de ta prostate, par un simple toucher rectal. Illico, je lui plie les jambes, j’enfile un doigtier que je recouvre de gel, et j’approche doucement mon index de sa rondelle.
Devant sa crainte d’avoir mal, je le rassure, en lui disant que s’il pousse un peu sur mon doigt, il ne sentira rien, bien au contraire…. Mon index gauche commençant à s’introduire dans sa rondelle, ma main droite se pose à nouveau sur un de ses mamelons, pour le re-titiller. Mon stagiaire se trémousse de plus en plus sur la table, mon index rentre lentement et est maintenant complètement dans son trou de balle, touchant sa prostate, et ses vésicules séminales.
Mon stagiaire gémit puis me dit « docteur, vous allez me faire jouir ». Je lui réponds que c’est tout à fait normal. Son gland décalotté laisse déjà perler une goutte de pré cum. Alors que je sens sa prostate se durcir, et s’abaisser, je sais qu’il va gicler sa jute, et j’enfourne sa queue en fond de gorge juste au moment ou il envoie la sauce. J’avale tout, retire mon index, le regarde, lui confirme que tout va donc bien. « comme ça, tu n’auras rien à essuyer »…
Surtout, « ne racontes pas tout ça à tes collègues, ils vont penser que tu es pédé, ça risque bien de nuire à ton stage ». Pendant qu’il se rhabille devant moi, tout rouge et gêné, je lui donne son ordonnance pour le 1er rappel de son vaccin : « ta collectivité doit payer le vaccin, je te ferai le rappel dans un mois, quand je reviendrai. Je te ferai convoquer comme aujourd’hui, à 11H45, tu seras le dernier consultant de la matinée ».
Voici ta fiche d’aptitude « sous réserve de mise à jour des vaccins ». Alors qu’il se prépare à sortir de l’infirmerie, je lui demande : tu regrettes cette fin de visite médicale ? Tu t’attendais à cela ? Sa réponse me séduit : « non, c’était totalement inattendu, mais je ne regrette pas du tout, vous m’avez bien examiné, je serai là dans un mois pour le vaccin, et un nouvel examen si vous le jugez utile », me dit il avec un léger sourire qui en dit long sur le prochain RV.
J’imagine que la séance vaccin vous plaira !
Auteur : David526969
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Ce stagiaire a t-il eu ses rappels de vaccins ?
J’adore cette histoire.