On est un vendredi soir de juillet , il fait chaud et je dois rejoindre Paul vers 20h pour un resto dans le marais. Je le retrouve à l’heure pile, Paul me claque la bise comme à son habitude. Ce qui me fait très plaisir, car Paul ne me laisse pas indifférent. On a déjà fleurté plusieurs fois en soirée mais sans jamais aller plus loin.
Pour l’occasion j’avais mis un short bien court et une chemise hawaïenne bien ouverte sur mon torse.
Lui était en chemise blanche et dans un jeans qui lui moulait parfaitement le cul et son gros paquet.
Ha ! le paquet de Paul j’en rêve à chaque fois que je l’aperçois.
Il a l’air conséquent comme j’aime, je me suis souvent amusé à l’imaginer…
On s’installe en terrasse, face à face pour profiter l’un de l’autre et pouvoir aussi mater les mecs qui passent. C’est un de nos passes temps favoris.
On commande deux spritz, et commençons à parler de nos semaines, nos dernières rencontres et sorties.
Paul me fait: « mate ce qui passe! »
Je vois donc le mec qu’il avait aperçu et lui dit en rigolant (même si au fond je le pensais ) Ben vas y invite le avec nous si tu préfères passer la soirée en sa compagnie .
Avec Paul, nous sommes toujours en train de nous asticoter. Il sait que j’en pince pour lui et en joue.
Il me répond mais non, mais il est mignon quand même ! Non?
J’lui répond : « oui » vite fait en prenant mon air de jaloux. Et il se marre de voir ma tête.

La soirée se poursuit on en est à notre second Spritz, il fait toujours aussi chaud.
J’en profite pour déboutonner encore un bouton de ma chemise. Pour que Paul ne perde pas une miette de mon torse. Je fais exprès de me passer la main sous ma chemise et effleurer mes tétons.
Tétons qui sont pour moi une zone très érogène. Paul le sait ! Comme on se confie beaucoup de choses depuis le temps qu’on se connaît et nous parlons sans retenue de nos différents plans culs. Et je sais qu’il aime s’occuper d’eux.
Je vois ces yeux qui reluquent dans leurs directions et à l’œil qui pétille d’excitation.
On commande à dîner et prenons une bouteille de rosé pour accompagner nos plats.
L’alcool et la chaleur font que nous sommes bien à l’aise même si on n’a pas besoin de ça pour l’être.
Arrive le dessert, et je décide de le chauffer un peu plus en lui montrant un de mes derniers plans pendant lequel j’avais fait quelques photos souvenirs tellement c’était bon.
Paul n’en revenait pas que je lui montre cela et son excitation c’est vite fait ressentir, j’observais la bosse dans son jeans qui ne cachait plus grand chose de son anatomie. J’étais bien content que mon idée de le chauffer avec l’effet escompté !
Il me pose des questions sur ce plan et sur le mec.

Et il vient me dire qu’il a un fantasme, celui de baiser dans les chiottes d’un lieu public.
Je lui répond : ah oui? Vraiment ?
Et je lui dit aussi que perso je l’avais déjà fait.
Je vois à sa tête que ma réponse l’intéresse fortement et je vois qu’il imagine bien la chose car la bosse dans son jeans était de retour!
On finit de dîner et recommandons deux verres.
Je lui dit, en me levant : « je reviens il faut que j’aille pisser, avec tout ce qu’on a bu je ne tiens plus! »
En fait je pars surtout avec une idée en tête…
Je me dirige aux toilettes au fond du restaurant.
La chance pour moi, il y en a trois et me dirige vers celle du fond.
Je saisie mon téléphone, commence à déboutonner mon short et là je me mets à genoux et fait une photo de moi dans cette position, chemise ouverte, jockstrap apparent. Je m’empresse d’envoyer cette photo à Paul.

Il ne met pas longtemps à réagir et à répondre: qu’est ce que tu fous?
J’lui répond tout excité : je vais réaliser ton fantasme!
Rejoins-moi aux chiottes dernière porte au fond.
Quelques instant après j’entends la porte principale qui claque; j’espère que c’est Paul qui se pointe!
Les pas se rapprochent, ma porte s’entrouvre légèrement, je reconnais la silhouette de Paul.
Il entre et referme derrière lui.
Je suis tout excité de le voir devant moi la queue déjà raide sous son jeans.
Il se place plus près de moi et frôle ma bouche avec son jeans.
Je commence à poser mes lèvres sur la bosse de son jean pour embrasser et faire pression sur sa queue et augmenter son excitation.
Pendant ce temps il commence à me prendre un téton entre ses doigts pour me le presser.
Ma réaction fut immédiate et ai poussé quelques gémissements de plaisir et de douleur.
Je continu à presser sur sa queue et déboutonne son jean.
Quel bonheur de voir apparaître ses poils et la naissance de sa queue… Paul n’avait pas mis de sous-vêtement !
Mon excitation et la sienne ne laissent pas l’ombre d’un doute que lui comme moi avons très en-vie !

Je commence par lécher le bas de son pubis et fini par descendre son jeans et libérer sa grosse queue.
Je me doutais qu’elle devait être grosse mais là je suis aux anges. Une belle queue, bien droite et épaisse avec un beau gland.
Je pose ma bouche chaude dessus, lui suce le gland et descend le long de sa tige.
Paul lâche un râle de plaisir, se colle contre la porte et se laisse pomper en me tenant la tête avec la main libre qu’il lui reste, pour que j’accélère la cadence.

Je prends beaucoup de plaisir à pomper, lécher, sucer sa grosse queue. Lui aussi prend du plaisir, il mouille déjà et ça m’excite plus encore.
J’ai du poppers dans ma poche, le sors pour en prendre et lui tend le flacon qu’il s’empresse d’inhaler.
Cela tend encore plus sa queue, et le rend bestial. Il me tient la tête par les deux mains à pré-sent pour me baiser la bouche bien à fond.
Il n’y va pas de main morte, mais j’adore ça, j’encaisse ses coûts de reins tout en me branlant.
Il me gaze à nouveau avant d’en reprendre à son tour, lâche ma tête pour me travailler les tétons, je gémis encore plus.
Tous deux bien chaud et excité ; Paul me fait : vas-y doigtes toi, fait bien ta pute comme avec le mec sur les photos pour moi.
Je glisse un, puis deux doigts dans mon trou déjà bien chaud et ouvert par l’excitation et le pop-pers. Je gémis. Ce qui excite Paul qui n’en perd pas une miette en regardant par-dessus moi pour mater mes doigts dans mon trou.
Il me gaze de nouveau, je glisse un troisième doigt sans perdre le rythme sur sa queue toujours plus tendue et luisante de ma salive et de son pré-cum.

Paul est mégas chaud ; il me bourrine bien la bouche et me fait des gorges profondes.
Je me retire pour reprendre ma respiration et lui lâche « putain qu’elle est bonne »
Il s’empresse de me dire : dits moi ce que tu veux, ou tu la veux?
Je ne lui réponds pas… mais me lève pour me retourner et être dos à lui. Je colle mon cul contre sa queue. Et lui dit : « je veux que tu me baises. »
Ni une ni deux, je me retrouve avec la queue de Paul contre mon trou et je m’enfonce dessus.
Lui passe ses mains sur mes hanches et me tient pour me baiser.
Il y va plutôt doucement dans un premier temps et voit vite que je suis prêt pour plus.
Il me cramponne d’une main et vient claquer son bassin sur mon cul ( là je me dits: j’espère qu’il n y a personne à côté pour nous griller) et de l’autre me défonce un téton.
Je place mes mains sur le mur en face de moi et cambre bien le dos pour encaisser Paul.
Je demande à Paul de me filer le poppers, je me gaze puis lui redonne pour qu’il en fasse autant.
On est chaud, en sueur, ces couilles claquent sur mon trou. Je me retourne un peu pour lui cho-per la bouche avec la mienne et on se roule de grosses pelles.
Paul ne lâche pas la cadence, j’ai le cul bien chaud et profite un max de la fougue de Paul.
Je me recale les mains au mur, Paul m’a bien en main et s’amuse à sortir et remettre sa queue par coups secs en moi.
Je pousse des gémissements de plaisir. Lui aussi et me dit des mots crus : tu la sens bien ? T’en veux encore ? Tu veux que je te crache mon jus où ?
A chaque question sa réponse : oui vas-y elle est bien grosse ! oui vas-y continus ! Remplies moi, dose moi ! Je te veux en moi….

Paul me dit qu’il ne va plus tenir longtemps, alors je me branle pour pouvoir juter en même tps que lui et jouir de la queue en plus du cul.
Paul accélère, je sens sa queue bien au fond et là Paul lâche un dernier râle tout en déposant son jus au fond de mon trou. J’en jute direct.
Paul me lime encore un peu, doucement, tendrement avant de se plaquer contre mon dos et m’embrasser dans le cou puis me déposer un baiser sur la bouche.
On reprend nos esprits, se rhabille, sortons des chiottes, nous nous passons un peu d’eau fraîche sur le visage avant de rejoindre notre table et finir notre soirée.
par Enzo di Sesso
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