Plusieurs semaines s’étaient écoulées depuis ma rencontre avec le beau Jean au manoir des Van-de-Exes. Il m’avait laissé, ce soir là, son numéro de téléphone sur un petit bout de papier.
Je ne l’avais jamais recontacté. Il hantait cependant mon esprit, lui et son indescriptible proéminence orgasmique.
Jean, je l’ai rencontré dans le second volet de l’histoire gay Manoir du Vice.
Ce jour là je reçu un appel dont le numéro m’était inconnu. Je décrochai et tombai sur William, l’un de mes ex avec qui je n’avais pas eu de contact depuis des mois. Passé les formules de politesse, il me demanda si j’étais libre pour une petite viré au club 429.
Le club 429 était l’un de ces anciens club clandestin dans les années soixante-dix, devenu un lieu de de rencontre et de baise gay incontournable.
Il était constitué d’un bar et d’une piste de danse au rez-de-chaussée, des backrooms au sous-sol et plusieurs chambres à l’étage. Le sous-sol était plutôt réservé aux amateurs de sadomasochisme, tandis que l’étage servait aux rencontres sexuellement plus classiques.

Arrivé devant le club, je rejoignis William qui discutait avec un roux, plutôt carré, dont le visage était recouvert de taches de rousseur qui lui donnait un air enfantin.
Après quelques échanges cordiaux, nous nous rendîmes toues les trois à l’intérieur du club dans lequel je n’avais pas mis les pieds depuis très longtemps.
Au bar, je reconnu Nelson, un très beau portugais qui n’avait pas changé depuis tout ce temps. Je ne sais pas si c’était sa petite moustache taillé à la perfection, ou son regard ténébreux qui me faisait le plus craquer.
En tout les cas, j’étais loin d’être le seul à saliver devant ce mâle.
Il me servit un verre de vin blanc blanc tout en m’effleurant la main. Il savait y jouer, et c’est bien pour cela qu’il avait autant de succès. C’était sans doute aussi pour cela qu’il était resté aussi longtemps employé dans ce club.
William me proposa, ainsi qu’à son ami Quentin, que l’on prenne une chambre à l’étage, histoire de passer aux choses sérieuses.
Je lui demandais avant ce qui l’avait poussé à me recontacter, étant donné qu’il était déjà en charmante compagnie. Il me répondit simplement qu’il savait à quel point les plans à trois étaient, pour moi, comme une douce drogue à laquelle on ne peux que succomber.
Il n’avait pas tord, d’autant que je n’avais encore jamais eu l’occasion de partager mon intimité avec un rouquin.`
Une seule chambre était encore libre à l’étage. Un simple matelas était posé sur le sol, un distributeur de lubrifiant accroché au mur ainsi qu’un vase remplit de capotes. La pièce était plongé dans une lumière bleu, électrique, sous la sonate d’une musique érotique.
Quentin fut le premier à se retrouver nu, déjà au garde à vous, comme s’il était affamé et ne pensait déjà plus qu’à une chose. Il ne pouvait plus cacher cette petite bedaine sous ses vêtements, mais cela n’avait rien de repoussant. Son pénis, en revanche, n’était pas bien grand, malgré un gland parfaitement dessiné et au délicieux gout fruité.
Je n’ai pas pu m’empêcher de le prendre à pleine bouche. Comme la tétine d’un enfant, je suçais frénétiquement ce délicat sucre d’orge. Un subtil mais presque imperceptible nectar coulait sur mes lèvres alors que Quentin plaquait ses mains contre mon cou, m’enfonçant ainsi son dard au fond de ma gorge.
William s’était, à son tour, déshabillé, m’offrant également son engin à téter. J’ouvrai grand la bouche afin d’y accueillir le membre de mon ex.
Les deux entraient difficilement en même temps malgré un espace tout de même large. Par la suite je passais de l’un à l’autre, en insistant bien autour du gland.
Le rouquin me laissa me concentrer sur William tandis qu’il abaissait mon pantalon pour mieux me lécher le cul. Sa langue était si vigoureuse qu’elle pouvait me pénétrer aussi facilement qu’un annulaire.

Sans même m’en rendre compte, il s’enfonça en moi dans un râle masculin des plus excitant.
Alors que William allait jouir, il retira son sexe de ma bouche pour mieux m’y étaler sa semence sur le visage. Il me fit l’honneur de poser ses lèvres sur les miennes avant de regarder son ami jouir à son tour en étalant, lui, son sperme sur mes fesses.
Mes deux amants me caressèrent, le temps de me masturber et de venir sur le matelas. Une chance pour moi, des douches collectives se trouvaient à l’étage. Quelques minutes sous l’eau chaude me refit penser à Jean, avant de m’apercevoir qu’il se trouvait devant moi, sous la douche d’en face…
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