Montpellier, l’année dernière… un an déjà, je n’ai pas l’impression que ce soit passé aussi vite.
Et pourtant cela fait déjà bien un an que j’ai vécu « ma soirée d’anniversaire » la plus dingue. Enfin quand je parle de soirée, il faut plutôt entendre après-midi finalement.
Je n’avais pas envie de fêter mon anniversaire, un peu comme chaque année. Mon entourage le prenait bien, de toute façon ils n’avaient pas le choix. Cette année, Franck voulait quand même me faire un cadeau et m’offrait une journée tout seul dans son sauna. Oui il était propriétaire d’un sauna et il avait tout fait pour que l’espace d’un après-midi, je dispose de son sauna tout seul.
Au début, j’avais failli lui dire que j’en voyais pas l’intérêt. Je n’étais pas contre le fait de me détendre mais c’était sans plus. Et puis, sous l’avalanche insistante de ses arguments j’avais fini par céder en lui disant oui.
Après tout, ok je voulais pas fêter mon anniversaire mais puisqu’il voulait me faire un cadeau, autant accepter. J’étais loin mais alors très loin d’imaginer l’ampleur de « son cadeau ». Je me rappelle juste de la fin de notre conversation « tu verras mon Xavier tu vas pas le regretter ».

Le jour J était arrivé. J’avais suivi ses instructions par sms et je l’ai rejoins devant son sauna. Il m’a salué, m’a ouvert et m’a fait visiter les lieux rapidement avant de me laisser tout seul pour profiter pleinement et me détendre.
En y repensant, je revois ses yeux tout pétillants et son sourire un peu tenace. J’aurai clairement pu me douter de quelque chose. Sur le moment, j’étais tellement un peu gêné, avec cette impression d’abuser de sa gentillesse…
Je l’ai laissé repartir et je me suis déshabillé complètement. Je n’ai même pas pris le soin de m’enrouler une serviette autour de la taille étant donné que j’étais tout seul.
Étrangement, passer les premières minutes de gêne atroce que j’ai ressenties, j’ai commencé à me détendre. Le chaud de la pièce me faisait du bien. Je commençais à me dire que j’avais bien fait d’accepter finalement ce cadeau.
J’ai passé les cinq ou 10 premières minutes assis presque sagement sur le banc, face à l’entrée. J’ai fini par rouler la serviette pour m’en servir d’oreiller et je me suis allongé, le plus sereinement tranquille.
Je l’avoue, une partie de moi était complètement relaxée. Mais je commençais très clairement à ressentir une certaine excitation. Le lieu, l’ambiance, le fait d’être complètement nu… je ne sais pas.
Toujours est-il que j’ai commencé à bander doucement mais très sûrement. Je sentais mon excitation monter doucement, je l’ai laissé venir, profitant de ce moment et je crois que je me suis presque assoupi. Car en toute franchise je n’ai pas entendu de bruit jusqu’à ces trois petits coups et ce petit « Salut Xavier ! ». Ça m’a ramené d’un coup à la réalité avec un soupçon de peur je dois l’admettre.
Il m’aura fallu quelques secondes de plus aussi pour réaliser que le mec qui venait de me dire bonjour ne portait qu’une mini serviette et qu’accessoirement moi j’étais nu et bandant devant lui. J’ai attrapé ma serviette en toute hâte pour me couvrir. Il s’est approché de moi en me disant « N’aies pas peur, c’est Franck qui m’envoie pour te donner ton premier cadeau d’anniversaire ».

Je ne comprenais plus rien, j’étais complètement paralysé par la frousse, ce qui m’a empêché de bouger sur le moment. Les battements de mon cœur avaient triplé de vitesse, j’avais toujours une main sur ma serviette et étrangement je ne débandais pas. Il faut dire que le mec devant moi était plutôt joli garçon.
Sa petite serviette n’a pas tardé à tomber et je l’ai laissé approché. Il s’est mis à genoux assez vite et m’a retiré ma serviette. Le sexe toujours bien raide, je l’ai laissé me toucher. Il m’a caressé quelques secondes avant de venir caler sa tête entre mes cuisses.
Ses mains parcouraient mes cuisses de haut en bas, sa tête longeait ma queue droite. J’ai vite senti sa langue commencer à longer ma raideur qui n’était pas prête à partir malgré la situation. Contre toute attente, je me suis basculé en arrière, décidant de me laisser faire devant la situation inattendu. Il était bel homme, il faisait chaud, j’étais nu et offert carrément et il avait l’air décidé alors, pourquoi résister finalement.
Il a commencé assez rapidement à me sucer, en prenant le soin d’enlever au passage sa serviette. J’ai pu l’admirer nu à mon tour et la vue était plus que prometteuse. En tout cas, sa langue et ses lèvres étaient très assidues autour de ma queue et je me suis vite pris au jeu du cadeau que je savourais de plus en plus. J’étais toujours très surpris de la situation mais je me confortais en me disant que Franck devait être derrière tout ça et puis au bout de quelques minutes, j’avoue que je ne pensais plus qu’à mon plaisir.
Le jeune homme entre mes cuisses devenait de plus en plus entreprenant. Ses mains se baladaient entre mes jambes et sa queue. Sa langue avait bien humidifié ma queue de tout son long. Quelques minutes plus tard, il ouvrait mes cuisses un peu à la hâte et est venu plonger sa langue entre mes fesses sans que je ne demande rien.
Et comme pour le début, je n’ai rien dit et je me suis contenté de savourer, et croyez moi il y mettait du cœur. Je suis resté les jambes relevées quelques minutes, sentant sa langue entrer de plus en plus en moi quand tout d’un coup, il m’a reposé les jambes, s’est relevé et est resté quelques secondes devant moi, immobile. Je reprenais mon souffle gentiment tout en matant sa queue. Je ne savais pas ce qu’il attendait de moi ou ce que je devais faire du coup je suis resté stoïque et finalement, à ma plus grande surprise, il est parti.
Sur le coup je n’ai pas compris. J’étais partagé entre frustration et un bon « mais putain c’est quoi ce bordel, il me laisse comme ça ? ». Le plaisir qu’il m’avait procuré était encore bien présent, mes fesses tressaillaient encore, ma queue était toute raide et presque trempée, mon cœur battait très vite et pourtant il était parti.

Pendant quelques secondes j’ai pensé prendre ma serviette, remonter en deux temps trois mouvements et me tirer en envoyant un sms presque insultant à Franck quand tout d’un coup, j’ai vu une ombre contre le mur et un mec est apparu. Il était nu, bandait déjà comme un dingue. Ça n’a fait qu’un tour dans ma tête. J’ai compris en le voyant que ma surprise d’anniversaire était loin d’être finie.
J’ai du arpenter un sourire plein de malice, pour pas dire complètement coquin. Le mec m’a regardé en me rendant mon sourire et m’a fait un clin d’œil tout en pointant sa queue de sa main. Le message ne pouvait pas être plus clair. Tout du moins moi j’en ai compris qu’un seul et je suis resté nu, bandant, et je me suis mis à genoux, obéissant sans broncher.
Son sourire est devenu encore plus large et il s’est approché de moi, m’offrant sa queue. C’était à mon tour de faire le boulot et j’avoue que j’étais content. Bon j’avoue aussi, je me serai bien occupé du premier mais bon je l’avais lui pour satisfaire mon appétit alors j’y suis allé sans réfléchir.
Sa queue était bien droite et bien raide. Il se contentait de me caresser doucement les cheveux tandis que j’avalais sa queue du mieux que je pouvais. J’en avais une de ces envies que je me suis retenu quand même un peu histoire de pas passer pour un affamé mais bon je me suis pas privé vu le morceau qu’il m’offrait quand même.
Plus le temps passait et plus je la prenais de plus en plus. Ses caresses sont devenues moins câlines et sa mais appuyait plus fort sur ma tête. J’ai tellement kiffé ce moment que cela ne m’a pas surpris qu’il me la sorte d’un coup sec et commence à se masturber devant moi. M’offrant son gland à sa guise entre deux trois branles. Il jouait avec mon appétit. J’ai senti le coup venir et je crois qu’il l’a capté aussi puisqu’il s’est mis à se pincer les lèvres et s’est baissé pour m’embrasser furtivement … avant de se tirer à son tour…
A dire vrai, c’est à ce moment-là, quand j’ai essuyé le surplus de salive au bord de mes lèvres que je me suis senti de plus en plus excité par la situation. Je bandais comme un dingue, j’avais une soif de queue assez prononcée, j’avais eu ma dose de stress et de surprise et j’étais fin prêt pour la suite. J’avais qu’une hâte, et autant d’espoir aussi, c’était qu’un troisième se pointe et qu’on augmente les plaisirs.

Et j’ai pas eu trop longtemps à attendre. Un troisième mec est effectivement arrivé, à poil aussi. Il m’a tendu les mains pour me relever et m’a gentiment conduit sur le banc pour que je puisse m’asseoir. Je me suis exécuté et lui s’est remis à mes genoux, reprenant ma queue en bouche. Ce que je prenais pour une seconde séance de fellation n’en était pas une puisque quelques secondes après qu’il ait commencé à me pomper, il s’est redressé et est venu s’asseoir doucement sur ma queue.
Je savais bien qu’un palier serait franchi avec le troisième et je m’attendais pas à ça quand même. Je suis tellement entré en lui rapidement que le plaisir a été quasi instantané. Je prenais un putain de pied avec la surprise que m’avait réservée Franck et tout comme les deux autres, je me suis laissé faire et je l’ai laissé s’empaler sur ma queue au rythme qui lui faisait plaisir car intérieurement je me disais une chose. Une seule chose est venue dans mon esprit à ce moment-là. Je voyais ma queue entrer entre les fesses de ce mec, je prenais mon pied à voir sa queue frapper sur le bas de mon ventre et je pensais… putain oui, le quatrième va venir pour me baiser moi !!!
J’ai quand même pris mon temps pour mater ce mec danser sur ma queue avant de le laisser se retirer et même avant qu’il ne parte, le quatrième avait fait son entrée. J’étais complètement excité et il aurait très bien pu me prendre dans la position qu’il voulait tellement j’étais chaud.
Il s’est posté sans bouger au milieu de la pièce et je savais ce que ça voulait dire… il voulait que je le suce ? Très bien, c’est pas moi qui allait dire non. Je me suis rué sur sa queue et j’ai commencé à le pomper goulûment. Autant dire qu’à se stade-là, j’étais dans un état d’excitation improbable et je pense qu’il l’a vite senti. On était passé d’un moment de détente à un instant de sauvagerie et de baise assez brûlante.
Je pense que c’est pour ça qu’il n’a pas trop attendu avant de me relever, de me soulever carrément avant de venir m’allonger un peu plus loin. Il m’a relevé les jambes, m’a enfilé deux doigts avant de me renfiler sa langue un petit coup. Mes jambes sont restées bien droites, et mes fesses sont restées bien ouvertes. Je le voulais tellement en moins qu’il lui a pas fallu longtemps pour se rapprocher et pour m’enfoncer sa queue d’une seule traite. J’ai pas pu retenir mes premiers cris de satisfaction. J’avais tellement envie de ça depuis le début de mon moment de détente que j’y suis allé franchement.
Je l’ai bien senti depuis le début et j’en ai redemandé à chaque coup de queue qu’il me donnait. Je gueulais littéralement de plus en plus, les yeux fermés, coincés entre les bancs, en train de me faire prendre bien comme il faut, si bien que je n’ai même pas vu de suite que les trois mecs d’avant nous avaient finalement rejoints.
J’ai ouvert les yeux en découvrant trois queues au dessus de moi, tandis que la quatrième me prenait de toute ses forces. Ma queue a commencé à devenir vraiment raide. Mes mains se sont vite emparées chacune d’une queue tandis que ma bouche prenait la dernière pour elle. Mon appétit et mon instinct se sont ressentis sur les queues que je branlais. Les râles de chaque mec se sont ralliés aux miens. Chacun gémissant au gré des éjaculations qui allaient se déverser sur moi. Et je ne croyais pas si bien dire.
J’ai senti le quatrième mec se retirer de moi et se joindre aux trois autres qui se sont mis à jouir en même temps sur moi. Ils m’ont arrosé littéralement le torse, le cou, mais aussi le bas du visage. J’ai pas pu résister à garder la bouche à peine ouverte pour sentir quelques giclées venir tomber sur ma langue. Je les ai de nouveau sucés un peu après cette avalanche de jus et une fois bien rassasié, ils sont repartis, pour de bon cette fois, me laissant vraiment seul, seul à savourer pleinement mon cadeau d’anniversaire.
Je suis resté un bon moment allongé, jouant avec les restes de ce moment sur mon torse, me repassant les images en tête. Je me posais quelques questions notamment comment Franck avait fait pour organiser ça, comment j’avais fait pour me laisser aller comme ça alors que ce n’était pas mon genre. Et au bout de la vingtième ou trentième question, j’en ai eu ras le bol de penser et j’ai juste pousser un cri de satisfaction et de soulagement et je me suis mis à rire…
C’était, et de loin, le plus beau cadeau d’anniversaire qu’on ait pu me faire… j’ai presque hâte d’arriver au prochain du coup !
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