Chaque fois que les beaux jours font arrivent, je profite de mon jardin et de la vision de mon voisin qui tondt sa pelouse, torse nu. J’avais envie de vous le raconter dans cette histoire gay.
Il n’était absolument pas musclé, même un peu enrobé, la quarantaine, deux enfants et une femme dans les pattes. Il avait pourtant beaucoup de charme, ce brun ténébreux aux yeux couleur amande.
Ce jour là, alors que j’étais allongé sur un transat, j’écoutais la musique à l’aide de mes écouteurs pour ne pas entendre les cris des enfants turbulents.
Il était là, dehors, de nouveau torse nu, un petit bidon apparent mais de gros bras et une belle gueule. Il n’avait pas un poil sur le torse, mais une belle peau, un peu brunit par le soleil.
Quelques gouttelettes de transpiration coulaient le long de son visage jusqu’à ses pectoraux bombés. Il s’essuyait par moment le front avec son tee-shirt qu’il avait noué grossièrement autour de sa taille.
Il me lançait des regards en coin, le sourire aux lèvres alors qu’il devait sentir mon regard insistant. Je sentais qu’il en profitait, en jouait, passant sa main dans les cheveux à la manière d’un acteur de publicité de shampoing.
Son jean était craqué, et laissait entrevoir son caleçon lorsqu’il s’abaissait pour ramasser l’herbe coupé. J’aurais largement préféré qu’il le retire.
Mais j’imagine qu’on ne demande pas à son voisin de se déshabiller juste histoire de se rincer l’oeil…
Le soir même, les voisins avaient décidé de faire un barbecue alors que j’en faisais un de mon côté. Une barrière étant installé entre nos deux jardins, nous décidâmes de nous mélanger et de profiter de cette belle soirée qui nous attendait.
Mon beau voisin était loin d’être l’homme le plus intéressant, à l’instar de son physique. Mais encore une fois, quelque chose m’attirait chez lui.
Sa femme nous observait. Elle avait littéralement un regard foudroyant et se méfiait de moi et de mon approche vers son mari.
Je lui souriais, comme pour la narguer. Ma main était alors posé sur l’épaule de mon beau voisin, juste un instant, juste le temps de la faire rougir de rage.
La nuit était déjà bien entamée lorsque la soirée se finit. Je rangeai les quelques affaires éparpillaient sur mon terrain et aidai mon voisin à la vaisselle.
Les invités étaient désormais tous partis, les enfants couchés, et la femme de mon voisin qui nous aidait. Son mari l’invita à aller se coucher, préférant finir seul, enfin avec mon aide.
Une fois terminé, mon beau voisin me proposa une dernière bière avant de partir.
Tout deux assis sur son canapé, les pieds sur la table basse, nos deux cuisses se touchant presque, je lui demanda s’il avait toujours été attiré par les femmes. Cette bonne vieille question un peu cliché d’un homosexuel à un hétérosexuel attirant.
Il me répondit simplement qu’il ne s’était jamais posé la question. Tout se passa alors très vite lorsqu’il entreprit de poser ses lèvres contre les miennes avant de reculer et de s’excuser.
Je lui souris, tout en lui rendant son baiser. Il retira mon tee-shirt avant de m’inviter à m’allonger sur la canapé tout en s’allongeant sur moi et continua à m’embrasser.
Il enleva à son tour son tee-shirt, déboutonna mon pantalon et le retira directement ainsi que mon boxer. Il se mit nu aussi vite qu’il le pouvait et frotta son corps contre le mien, me faisant des baisers dans le cou.
Il n’était pas sauvage comme j’avais pu l’imaginer, mais ressemblait plutôt à ses gros nounours très tendre.
Il leva mes jambes afin de me pénétrer sans même me préparer au préalable. Non sans mal, mais avec beaucoup de plaisir, il me donnait des coups de reins tout en douceur.
Il ne lui fût cependant pas beaucoup de temps avant de se vider en moi, étouffant un cri pour ne pas éveiller les soupçons de sa femme.
Un peu déçu de cette scène de fantasme finalement peu convaincante. Certains fantasmes devraient sans doute le rester, même si mon plus grand plaisir aura été de détourner mon beau voisin hétérosexuel.
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