Lorsque le boss nous a annoncé qu’un prestataire externe allait nous rejoindre pour six mois, nous n’avons pas vraiment sauté de joie.
Étant donnée l’ambiance qu’il y a dans la boite en ce moment, nous savons très bien ce que vise ce genre d’initiative. Il y a déjà eu l’envoi de prestataires dans d’autres services, après quoi nous avons vu des réductions de personnel subites.
Nous savons donc qu’il s’agit d’une taupe du grand patron, pour savoir ce qui se passe vraiment dans nos bureaux.
Mais j’ai un peu changé d’avis en le voyant arriver.
— Bonjour, Kevin.
— Enchanté.
Mes collègues m’ont regardé de travers, sauf que moi j’étais vraiment enchanté ! Un trentenaire, mignon, dans un beau costume parfaitement ajusté.
Pour savoir si un costume est bien taillé il faut en fait observer celui qui le porte de dos. Les petites fesses de ce prestataire étaient bien moulées, un vrai bonheur visuel. Mes réticences ont disparu d’un seul coup.
Il est venu s’installer en face de moi, la seule place libre dans les bureaux. Le premier jour, j’ai eu du mal à me concentrer sur mon travail tout en sachant que je devais faire la preuve que j’étais surbooké et que j’avais vraiment ma place dans l’entreprise. Heureusement, Kevin a souvent eu besoin de moi, pour se familiariser avec les applications que nous utilisons au quotidien.
J’avoue que plusieurs fois j’ai eu envie de le suivre en le voyant se lever pour aller aux toilettes ! Ses petites fesses laissaient présager le meilleur pour ce qu’il y a dans son caleçon ou son boxer.
C’est devenu mon obsession : voir la bête. Je savais que si je le suivais, il capterait tout de suite mon intention, donc j’ai réussi à me retenir.
Une semaine s’est écoulée. Nous avons bien sympathisé, peut-être parce que nous avons quasiment le même âge. Et puis, finalement, c’est lui qui s’est posté devant les urinoirs pendant que moi j’y étais. Intentionnel ?
Je ne saurais pas le dire. De toute façon et heureusement, il n’y a que deux urinoirs dans ces toilettes. Il a donc dû se placer à côté de moi. J’ai essayé de fixer le mur. Il n’y a pas de parois entre les pissotières.
— Pas mal du tout !
Il était en train de fixer ma queue ! Ce qui m’a fait bien plaisir puisque du coup j’ai pu admirer la sienne.
— Beau morceau de ton côté.
Pendant de longues minutes, nous nous sommes fixés, laissant nos queues grossir naturellement. Juste pour le plaisir des yeux. Un sexe raide, sorti de la braguette d’un costume, ça ne peut être qu’excitant. Et puis nous avons tout rangé pour retourner au bureau.

Difficile de revenir à son travail après ça. Nous ne pouvions même pas discuter puisqu’il y avait deux autres collègues. Donc, à part parler des dossiers en cours, il n’y avait pas moyen d’engager la conversation.
Heureusement, les deux filles ont leur heure pour la pause café, à la seconde près.
— J’ai du mal à me concentrer.
— Ouais, moi aussi. Comment tu savais que tu pouvais faire ce genre de commentaire sans risque ?
— On se reconnaît entre nous.
C’est vrai, quand je l’ai vu je me suis tout de suite dit qu’il était gay. Sauf que j’ai tendance à considérer tous les beaux gosses comme gays…
— On aurait dû se vider pour se calmer. Je suis en train de mouiller mon boxer.
— Je ne peux pas te laisser dans cet état.
— On fait comment ?
— Je prends ma pause cigarette, dans dix minutes je serai aux toilettes.
Il est rare que j’aille fumer dans la cour tout en étant tendu. Je sais que ça se voit dans un pantalon de costume, mais je ne crois pas que les autres l’aient noté.
Je n’ai pas tenu dix minutes, je suis remonté bien avant, trop excité par l’idée de ce qui allait se passer. En espérant qu’il vienne. Mais y avait-il un doute possible ?
Je suis devant les urinoirs et j’attends. J’espère juste que personne d’autre ne viendra, je serais vraiment déçu. Heureusement, c’est notre beau prestataire qui entre. Il esquisse un sourire quand il me voit.
Nous sommes déjà tous les deux excités par ce que nous allons faire. Bien entendu, lorsque nous sortons nos membres, ceux-ci sont bien tendus !
— On y va ?
Inutile de me demander, je n’attends que ça. Il démarre une tranquille masturbation de son sexe, je fais de même. C’est agréable d’être là, dans ce lieu public, avec un beau mec bien membré, en train de se faire du bien.
Il se décalotte à fond, pour exhiber son gland. Je l’imite. Je suis un peu plus âgé que lui, mais je le laisse prendre les initiatives. Peut-être par peur de le choquer, ce qui est idiot, nous ne devrions pas en être là.
— Cool, je vois que tu mouilles bien.
— Ouais, la lubrification naturelle arrive rapidement chez moi.
— Pratique, moi ça met un peu plus de temps. Enfin, quand quelqu’un d’autre me touche, ça vient plus vite.
Il lâche son sexe. Je regarde cette bite énorme, épaisse, bien droite. Je tends la main pour l’enserrer. C’est bon d’avoir un gros membre chaud entre ses doigts.
— Il ne faut pas avoir peur.
Je me mets à le masturber. Il pousse des petits gémissements très perturbants dans cet espace où normalement il y a beaucoup de monde.
Alors que je suis tout au plaisir de faire du bien au prestataire, un de nos collègues entre. Je remets ma main de mon côté, nous essayons d’avoir l’air naturel.
— Salut les mecs.
Le collègue va directement s’enfermer dans les chiottes. Impossible de savoir s’il a remarqué quelque chose ou non.
— Continue.
Il me chuchote ce mot. J’hésite, mais je suis excité. Maintenant, je branle Kevin en sachant qu’il y a quelqu’un d’autre dans les toilettes.
Nous entendons la chasse d’eau.
— Il faut ranger le matériel.
J’ai du mal à remettre mon sexe tendu dans mon boxer, lui aussi. Ce n’est pas vraiment discret. Sous le pantalon de costume, la bosse se voit encore.
Nous nous lavons les mains et nous dépêchons de retourner nous asseoir, en espérant que personne n’ait rien vu.
Nous voudrions pouvoir discuter plus, mais malheureusement il y a d’autres collègues dans le bureau. Alors, nous échangeons des mails, bien plus discrets.
— Il faudra aller jusqu’au bout.
— Et comment !
— Demain on fera un tour aux toilettes pendant la pause déjeuner, quand il n’y a plus personne.
— Cool. Je bande encore.
— Moi aussi.

Hier soir, je me suis évidemment libéré. Je n’ai pas eu besoin de visionner un porno sur Internet ou d’aller sur le site de chat que je préfère. Il a suffi que je ferme les yeux et que je revoie les images de Kevin, raide devant les urinoirs, pour bander, m’astiquer comme un malade et enfin me vider les bourses.
Pourtant, ce matin je me suis réveillé avec la gaule et j’ai été excité toute la matinée, rien qu’à l’idée de ce que nous allions faire.
Nous avons attendu que l’étage se vide, que les collègues soient à la cantine, pour nous rendre aux chiottes. Nous avons recommencé à nous exhiber et à nous branler. Cette fois, pour aller jusqu’au bout.
— Putain, c’est bon mec.
— Ouais, je viens.
— Moi aussi, lâche tout !
Je l’ai regardé gicler tout son sperme, une bonne dose. Moi aussi, bien blanc et épais. C’est beau de voir un mec prendre son pied et de rester fixé sur les contractions qui suivent le plaisir.
Nous avons laissé le temps à nos queues de débander avant de les ranger. Personne n’a trouvé étrange que nous soyons calmes durant l’après-midi.
Nous avons remis ça chaque jour, à la même heure, pendant plus d’une semaine. Il faut dire qu’au début c’est excitant, c’est nouveau, ça fait jouir. Et puis, ça devient une habitude. Il n’y a rien de pire dans le sexe que la routine !
Ce mercredi, nous sommes en train de nous masturber devant les urinoirs. Soudain, je me tourne. Sans hésiter, Kevin se place face à moi. Chacun prend le sexe de l’autre en main pour le masturber. Voilà, je retrouve un plaisir intense, une excitation maximum.
Et puis, je ne sais pas ce qui me prend. J’ose quelque chose dont je ne me serais jamais cru capable avec un collègue. Je n’aurais jamais imaginé une telle scène. Je me mets à genoux et j’ouvre la bouche. J’ai un instant d’angoisse, parce que mon prestataire hésite. Il a l’air de ne pas savoir comment réagir. Enfin, il finit par m’enfoncer sa queue en bouche pour me la sodomiser.

— Oh ouais, t’es une vraie salope, j’adore ça.
Il se fait du bien, j’essaie d’assurer, je tourne ma langue autour de son gland pour lui faire le plus de bien possible.
— Ça vient, attention. Putain mec tu déconnes !
Il ne peut pas se retenir. Il se vide les bourses dans ma bouche. J’avale tout ce qu’il me donne. Il doit se pincer les lèvres pour ne pas crier, je sais l’effet que ce genre de chose produit sur un homme. Sa jambe droite a comme des convulsions. C’est ce qui arrive quand on atteint l’orgasme !
Évidemment, après ça, il n’a plus voulu autre chose. La simple branle fait pâle figure face à une excellente fellation. Les autres ne se sont pas étonnés plus que ça que nous n’allions pas à la cantine et préférions rester au bureau entre midi et deux.
Nous pensions donc être tranquilles. Les sandwiches étaient notre alibi, même si moi j’avais largement ma dose de protéines à chaque fois.
Ce mardi, je suis à nouveau à genoux, le sexe raide de mon collègue en bouche, qui se défoule de plus en plus en moi. Nous avons totalement baissé notre garde, nous ne pensons plus qu’à notre plaisir.
Soudain, un homme entre dans les chiottes. Pas n’importe lequel : notre patron ! Kevin tourne la tête vers lui. Moi je le regarde, une queue dans la bouche, nous sommes pris en flagrant délit. Nous ne savons pas comment réagir…
Le patron est un homme qui a plus de la cinquantaine. Il a les cheveux gris et une barbe blanche bien soignée. Je n’ai jamais réellement discuté avec lui, on ne parle pas trop de sa vie privée avec le chef, mais ça se voit qu’il pratique un sport.
Massif, il est quand même assez bien fichu. Et pour finir, il a un charisme naturel. Il impose sa présence lorsqu’il entre quelque part, personne n’a vraiment envie de plaisanter avec lui.
Il est là, sur le pas de la porte. Kevin et moi sommes comme figés. Nous devrions avoir le réflexe de cacher ce que nous sommes en train de faire, même s’il est largement trop tard.

Sauf que je suis toujours là, avec sa queue en bouche. D’un pas lent, le patron s’approche de nous. Évidemment, il fixe ce que nous sommes en train de faire. Il se place devant l’urinoir que j’ai laissé libre et commence à se soulager.
— C’est votre pause méridienne ?
— Oui, monsieur.
Bien entendu, c’est Kevin qui répond, moi j’ai la bouche occupée. Qu’est-ce que le patron a voulu dire par là ? En fait, c’est son côté autoritaire qui sort en premier. Si nous faisons ça pendant notre pause, il ne dit rien, l’essentiel est que nous ne fassions pas ce genre de truc sur nos heures de travail !
Et puis, il fait la chose la plus incroyable qui soit. Alors qu’il a fini d’uriner, il se tourne vers moi et me présente sa queue. Il y a bien longtemps que je n’avais pas vu un sexe de mâle mûr d’aussi prêt.
Je matais beaucoup celle de mon père quand il prenait sa douche alors que moi j’étais dans le bain. Elle n’est pas encore tendue, juste belle, grosse, entourée de poils pubiens blancs. Nous n’échangeons pas un mot. Je commence à la prendre en bouche.
Kevin nous regarde. Il profite du spectacle pour se masturber. Je sens la queue de mon patron grossir dans ma bouche. Elle se tend, moi j’attends, jusqu’à pouvoir lui offrir une bonne fellation.
Et il n’y va pas de main morte. Il me fait un bon fond de gorge, il adore ça. Qui aurait pu le soupçonner d’aimer ce genre de chose ? Il gémit, il prend son pied, je fais de mon mieux pour honorer le chef. Au moment de l’éjaculation il ressort. Une partie de son sperme gicle sur mon visage, le reste sur le sol.
Avec son flegme naturel, il range sa queue, se lave les mains et avant de sortir se tourne vers nous :
— Vous nettoierez.
Je n’ai pas le temps de cogiter, Kevin m’a déjà de nouveau enfoncé sa bite dans la bouche et il ne faut que quelques secondes pour jouir.
Je me nettoie le visage. Le prestataire, lui, cherche du papier toilette pour éliminer les traces sur le sol. Nous retournons à notre bureau. Cette fois-ci, nous n’allons rien dire de l’après-midi. Nous ne savons vraiment pas quoi penser de ce qui vient de se passer.
Le lendemain, nous étions à nouveau seuls pour notre petit plaisir, avec Kevin. Mais à quatorze heures, mon téléphone sonne. C’est le nom du patron qui s’affiche.
— Venez dans mon bureau…

J’entre dans le bureau du chef. C’est la première fois. En général, ce ne sont que les manageurs qui sont convoqués chez lui. Ou alors, c’est qu’un employé a fait une grosse bêtise et qu’avant son licenciement, ce sera le dernier endroit qu’il verra dans cette entreprise.
— Asseyez-vous.
Je prends place. Il me regarde fixement. Je suis un peu en panique. Deux longues minutes s’écoulent avant que Kevin n’entre à son tour. Je suis rassuré. Si nous sommes là tous les deux, ça ne peut-être que pour une seule raison.
Le patron pousse son fauteuil pour l’éloigner de son bureau. Il déboutonne son pantalon, ouvre sa braguette, baisse son boxer. Son gros sexe et ses testicules impressionnants sont à l’air.
— Chacun choisit sa partie.
Sans hésiter, Kevin et moi nous nous mettons à genoux. Le prestataire commence à lécher les couilles du patron. C’est donc à moi de m’occuper de son sexe.
Pas tout de suite. Je le regarde gonfler et se tendre. Le spectacle d’une queue en érection est tellement excitant que je ne peux pas m’empêcher de savourer cet instant.
Quand le patron est bien raide, je le décalotte. Je sniffe son gland. C’est génial, il ne l’a pas lavé, il ne sent pas le gel douche mais dégage une bonne odeur de mâle.
Il nous regarde faire, il est toujours aussi autoritaire, nous sommes à son service. Je prends son sexe en bouche et je commence à le sucer.
— Plus fort !
Nous ne savons pas à qui il donne cet ordre, alors nous l’exécutons tous les deux. Kevin gobe entièrement les testicules du chef.
— Fais-moi mal, Kevin.
Il presse les bourses du patron entre sa langue et son palais. Moi j’y vais à fond, j’adore cette grosse queue que je ne pensais jamais pouvoir atteindre.
Je crois que Kevin est comme moi, largement tendu dans son boxer en train de le souiller avec une bonne quantité de mouille. Le patron gémit. Il aime ce que nous lui faisons et nous adorons lui faire du bien. Soudain, il nous repousse. Il se lève.
Son pantalon et son boxer tombent sur ses chevilles. Il me retourne, me fait me pencher sur le bureau et m’arrache presque mon pantalon, pour me mettre le cul à l’air. Sans doute qu’il fait un signe au prestataire parce que lui aussi se met en position. Et puis, je sens la queue de mon patron entrer entre mes fesses. Il n’y va pas de main morte, il me pénètre entièrement et se déchaîne en moi.
Puis il ressort et va sodomiser Kevin. Pendant plusieurs minutes il alterne entre moi et le prestataire, il se fait du bien dans nos petits culs serrés. Il est brutal, sauvage, viril.
Nous essayons de ne pas trop crier, nous sommes quand même au travail, il y a des bureaux à côté de celui du patron. Il reste plus longtemps en moi, il va de plus en plus vite et enfin il se lâche totalement. Je sens son sperme chaud couler en moi. Il finit dans un râle de plaisir.
Après ça, il nous demande de partir. Sans rien dire d’autre, sans merci, sans juger de notre prestation. Je pense que nous l’avons satisfait. Je retourne m’asseoir à mon bureau, je veux garder encore un peu du sperme chaud de mon patron dans mes fesses, parce que c’est excitant d’être là, parmi les autres collègues, qui ne peuvent pas imaginer que je suis rempli de la semence du patron.
Et mon excitation ne descendra pas avant que je sois moi-même vidé. Pour cela, Kevin m’accompagne, avec une demande un peu crade mais tellement bonne !
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Très belle histoire !
Félicitations au rédacteur de ce récit.
L’histoire ne dit pas si cet employé est resté dans l’entreprise, et si Kevin a été “débauché” d’où il était pour bénéficier d’un C.D.D. (en vue d’une embauche définitive).