Voici la suite de l’histoire gay – Le manoir du Vice. Après cette folle partie de débauche, je repris un peu de force au rez-de-chaussée à coup de coupes de champagne et de petits fours.
L’assistance était de plus en plus éméchée, les regards se faisaient de plus en plus insistants et les contacts se multipliaient.
C’est à cet instant que je sentis une main frôler mon dos et un susurre dans mon oreille. Un homme, bien plus âgé que moi, la barbe grisonnante, m’adressa quelques mots. Il était très grand, le crâne rasé, un anneau à l’oreille gauche mais une jolie bouille malgré les marques du temps sur son visage.
Galant, il me demanda s’il pouvait se joindre à moi le temps d’un verre. Je n’avais pas pour habitude d’échanger plus de trois mots avec de potentiels plan-culs, mais celui ci avait beaucoup de charme. Il était originaire d’écosse mais était venu s’installer chez nous depuis quelques années pour suivre son ex. Depuis sa rupture, il enchaînait les soirées comme celle ci mais n’était jamais tombé sur un garçon avec autant de charme que moi.
Je ne laissais jamais tromper par la flatterie. Il avait beaucoup d’assurance, mais au vu de la quantité d’alcool qu’il avait dû ingurgiter, il semblait avoir fait face à de nombreux refus. Pourtant, il avait beaucoup de charme, mais dans ce type de soirée, et dans ce milieu, les jeunes sont rois. Il avait dépassé, depuis longtemps, la date limite de consommation.
En discutant plus longuement avec lui, je compris qu’il n’était pas venu exclusivement ici pour se vider les couilles. Ce n’était clairement pas ici qu’il pourrait tomber sur le prince charmant qu’il cherchait, et au fond de lui il devait le savoir. Un mec désespéré peux sembler repoussant au premier abord, mais souvent bien plus passionnant et stimulant au lit.
Il m’accompagna à l’étage, dans l’une des innombrables chambres. A peine le seuil franchit qu’il m’embrassa langoureusement, l’une de ses main caressant mon visage, l’autre main dans le bas de mon dos. Il était si doux, si tendre qu’il en était touchant. Ses mouvements étaient lent et d’une telle délicatesse qu’il me donnait l’impression de me connaitre depuis longtemps.
Il me guida vers le lit, me déshabilla aussi lentement qu’il le pouvait, ne cessant de me caresser le dos puis les fesses. Sa barbe dans mon cou me donnait la chair de poule, tout comme ses baisers aussi délicat qu’électrisant. Il s’intéressa à mes tétons, durcit par l’excitation, qu’il titilla du bout de sa langue tandis que ses bras m’entouraient comme pour me protéger.
Il continua, de plus en plus bas, son chemin jusqu’à arriver vers mon bas ventre. Sa langue se passionna pour ma verge. Il prit un soin particulier à se concentrer sur mon gland qu’il faisait disparaitre comme par magie dans un instant d’extase indescriptible. Son expérience n’avait d’égal que son grand âge lié à un talent indicible.
Je pris le relais, pour lui montrer que je n’étais pas en reste. Son bel engin trouva refuge dans ma bouche avec un peu de mal au vu de la largeur de l’objet. Un membre bien droit, veiné et surmonté d’un gland bien plus volumineux que mes poignets. La rosée du plaisir qu’il m’offrait avait un léger goût de vanille.
Il s’empara d’un lubrifiant afin de me préparer à l’arriver de son braquemard indécemment imposant. Il avait des doigts de fée, passant à merveille les vitesses : ni trop vite, ni trop lentement. Mon étalon en était presque à quatre doigts lorsqu’il me tint quelques mots à l’oreille pour me demander s’il pouvait s’insérer en moi.
Je ne le connaissais que depuis plusieurs minutes mais il semblait me connaitre depuis bien plus longtemps. Ses mouvements étaient d’une perfection adorable. Sa sensibilité à mon égard était touchante. Il me faisait l’amour comme un amant passionné et aimant, s’en était presque déroutant mais incroyablement excitant.
Dans un cri de joie indescriptible, il se vida en moi, sa main serrant la mienne. Il posa ses lèvres sur les miennes comme pour conclure ce merveilleux moment d’intimité. Avant de partir, le sourire aux lèvres, il me donna un petit bout de papier sans même prononcer le moindre mot sur lequel se trouvait son prénom et son numéro de téléphone.
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Avant de partir du manoir des Van-de-Exes, je pris une douche dans la salle de bain commune du premier étage. À la manière d’un vestiaire de sport, cinq douches étaient alignées. Deux d’entre elles étaient prise, à chaque extrémité de la pièce. L’une part un vieillard aussi fripé qu’un charpey, l’autre part un jeune maigrichon qui paraissait à peine majeur.
Le vieillard observait d’un oeil lubrique le petit minet tout en se caressant l’entre-jambe tandis que ce dernier tournait la tête, l’air un peu gêné. Sans doute la vue d’un homme nu qui avait l’âge de son grand-père le déroutait. La gérontophilie n’était pas vraiment mon truc non plus, et je préférai prendre ma douche les yeux fermés.
Je pensais à Jean, qui venait de me faire passer un moment de sexe inoubliable. Donnait il son numéro de téléphone à tout ceux qu’il avait pénétré ou seulement moi ? Combien de conquêtes étaient tombées sous son charme ce soir ? Et surtout, pourquoi m’avait il donnait son numéro de téléphone ?
Un souffle chaud sur mon cou me fit ré-ouvrir les yeux. Je fit comprendre gentiment au vieillard qui s’était posté là que je n’étais pas intéressé. L’air déçu, il prit note de ma décision et partit s’assoir sur une chaise pour se masturber tout en nous observant. Le jeune homme me dit alors qu’il s’agissait de l’un des Van-de-Exes. Il avait beaucoup plus de succès quelques années auparavant, mais restait intéressant, étant l’un des hommes les plus riches du pays. Il m’avoua alors lui avoir fait une petite fellation, malgré son dégout, contre une jolie petite somme.
Je n’étais pas très à l’aise à l’écoute de ce jeune homme. Certes, cela ne me choquait pas plus que ça, mais j’avais toujours dû mal à entendre que l’on pouvait se forcer à des pratiques sexuels pour de l’argent. Après tout, chacun ses limites, chacun ses choix, mais la plaisir avant tout.
Je pris mes affaires en direction de la sortie quand mon regard fût attiré par un porte menant à la cave. Ma curiosité ma poussa à aller y faire un tour, ne serais-ce que pour observer.
La porte menait directement à un escalier en colimaçon qui amenait à un couloir sombre. Ce couloir conduisait à plusieurs pièces délimitées par des barreaux comme celles des cellules d’une prison. On entendait des cris de plaisirs, de douleurs, de joies et bien plus encore.
Dans la première pièce, sur ma droite, se trouvait un homme pieds et poings liés à une croix. Des marques rouges sur son torse s’étaient formées à la suite des coups de fouets que lui administrait son ami. Ce dernier l’injuriait tout en le frappant aussi fort qu’il le pouvait. L’homme sur la croix lui souriait tout en s’excusant d’avoir était un vilain garçon.
Sur ma gauche, une autre pièce où se trouvait, cette fois ci, un homme allongé sur le dos et lui aussi attaché. Son gourou lui crachait dessus tout en laissant couler la cire chaude d’une bougie sur ses tétons. Il semblait y être habitué au vu de l’indifférence à laquelle les brulures sur son corps ne lui faisaient pas, un seul instant, sourcilier.
Je continuai un peu plus profondément mon chemin, enchainant les visions de couples s’adonnant aux plaisirs sadomasochistes. Un couple passait devant moi, l’un attaché à une laisse seulement couvert d’une cagoule noir en latex et l’autre habillé d’un harnais couvrant son torse. Celui qui était tenu en laisse marchait à quatre pattes, un plug en forme de queue dans les fesses tandis que son ami portait fièrement un anneau pénien faisant gonfler ses boules de la taille de balles de golf.
Enfin, j’arrivai au bout où une orgie avait lieu. Ce mélange de cuir, de fouets, de menottes, de sang me donnaient presque envie de partir en courant. J’avais encore Jean en tête, je remettais à plus tard mon expérience sadomasochiste. Il était temps pour moi de rentrer.
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