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Histoire gay – Le maçon portugais

On était début juin et le temps était beau et commençait à être chaud.. Son torse musclé ressortait du marcel comme tous les poils bruns dont il était recouvert.. il avait un très léger accent portugais quand il parlait trop longtemps, toujours le sourire, un beau visage carré, des yeux noirs, une barbe toujours de 3 jours qui semblait bien piquante et au milieu des lèvres.

J’étais décidé à agrandir mon garage mais il me fallait des ouvriers pour ce faire et plus particulièrement des maçons. Bien que manuel, je n’y connaissais pas grand chose en maçonnerie et bâtissage de murs. J’ai demandé à des collègues qui m’ont conseillé une entreprise locale familiale portugaise. Mon pote de travail me disant qu’il allait en parler au patron et qu’il prendrait contact avec moi…

C’est ainsi que quelques jours plus tard, j’ai vu débarquer à la maison un monsieur d’une cinquantaine d’années, portugais, qui se présente comme étant le patron de l’entreprise.. on a fait rapidement connaissance et je l’ai emmené sur les lieux du chantier en lui expliquant ce que je désirais.

Ce n’était pas exactement ce que j’avais pensé.. mais il m’expliquât ce qu’il fallait faire vraiment.. j’ai donc suivi ses conseils, il m’a fait un devis et me l’a ramené à la maison.. me disant que c’était son fils qui s’occupait des travaux et que son équipe pouvait les commencer d’ici une quinzaine de jours.

Quinze jours après j’ai vu débarquer le fils du patron, Joao et deux autres personnes.. des jeunes mecs d’une trentaine d’années.. amenant tout le matériel nécessaire pour les travaux.. qui ont commencé dès le lendemain.

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Tout se passait à merveille et je voyais mon futur garage se construire.. ils travaillaient avec assiduité et efficacité.. lorsque je rentrais le soir de mon boulot, ils finissaient juste et partaient.. seul restait Joao pour m’expliquer ce qu’ils avaient fait le jour même.. j’en profitais pour lui payer un verre.. c’était vraiment un beau mec dans son pantalon de chantier et son marcel blanc.

Le maçon

On était début juin et le temps était beau et commençait à être chaud.. Son torse musclé ressortait du marcel comme tous les poils bruns dont il était recouvert.. il avait un très léger accent portugais quand il parlait trop longtemps, toujours le sourire, un beau visage carré, des yeux noirs, une barbe toujours de 3 jours qui semblait bien piquante et au milieu des lèvres.. putain je buvais ses paroles et j’avais qu’une envie c’était de poser les miennes dessus.. donc dans les premiers jours de chantier on buvait une bière sur le chantier même.

Mais un soir une averse tomba, une belle averse qui nous obligea à se mettre à l’abri.. on était devenu des potes pratiquement.. on parlait du chantier mais plein d’autres choses, j’avais l’impression que je l’intéressais.. et ce soir là je lui ai demandé de rentrer à la maison pour boire notre bière.. ça pissait dru dehors!

-oh c’est pas la première fois que je prends l’eau sur un chantier, dit Joao en riant
-c’est vrai t’es comme moi! à travailler dehors, on se fait rincer plus souvent qu’à notre tour.

On s’est installé dans le salon, côte à côte sur le canapé.. je lui ai offert une bière comme tous les soirs.. on la buvait au goulot.. mais ce soir là un silence s’est installé.. lorsqu’on se regardait, les yeux se détournaient de suite.. comme si on était gêné.. c’est vrai que je me demandais s’il était gay comme moi.

J’essayais de relancer la conversation.. mais ça ne prenait pas ce soir là.

Il était assis sur le canapé, penché en avant, les avant bras sur ses cuisses et ses yeux regardaient le sol.. c’était moi qui parlait et il opinait du chef, sans pratiquement rien dire.. quand nos genoux se sont frôlés.. vite éloignés mais il avait relevé la tête, me regardait.. il ne souriait pas, semblait hésitant.

Je le fixais en déglutissant.. approchant ma main de son genou je suis venu prendre la bouteille de bière vide qu’il tenait encore fermement dans sa main.

le maçon

-T’en veux une autre ?
-oui je veux bien

Je me suis levé pour aller en chercher dans le frigo et, en revenant je me suis assis plus près de lui.. lui tendant la bouteille, sa main a entouré la mienne.

-oh pardon, dit-il
-c’est rien, dis-je, mais on peut pas dire que t’as les mains douces

Il a rit.

-oh j’ai personne pour s’en plaindre.
-oh un beau mec comme toi!
-c’est parce que je suis difficile, dit-il en riant
-oui et dans notre région c’est pas facile à trouver.

Moi je parlais des mecs.. mais lui ? Mon genou s’était collé au sien, il avait bien retiré le sien mais se trouvant mal assis, son genou était revenu se coller au mien.. on était proche l’un de l’autre, on se regardait.. j’avais son odeur de travailleur qui remontait dans le nez, de mâle, de sueur.. j’observais ses poils avec un peu d’attention.

-moi je suis très poilu.. ça rebute certains des fois, dit-il en me fixant

Et, naturellement j’ai encore une fois oublié de tourner ma langue 7 fois dans ma bouche avant de répondre d’un ton franc.

-moi! j’aime bien les poils.

Et, c’est en le disant que j’ai compris que je venais de me révéler,me griller.. je me suis tu dans l’instant.. la chaleur envahissait mon visage, mon corps.. je devais plus ressembler au homard prêt à passer sur la table.. mais il me fixait toujours et son visage s’est éclairé d’un seul coup.

J’ai vu le sourire sur ses lèvres.. les entrouvrir laissant voir une belle dentition blanche et un bout de langue rose.. ma queue venait de prendre des proportions dans mon bleu de travail.. et y’avait de la place pour qu’elle prenne ses aises.. il ne fallait pas que je me lève.

Mais il a juste dit:

-c’est pas souvent de trouver un mec qui aime les poilus, serais tu une exception ?
-je ne sais pas si je suis une exception, mais j’aime ça.. de beaux poils doux sur un torse bien dur, bien fait.. trouver les tétons, les découvrir.

Nos yeux se fixaient, nos têtes se rapprochaient.

-dis, tu ne serais pas en train de m’exciter là ?
-ah ça t’excite ce que je dis.. eh bien je crois que t’es pas le seul.

le maçon

Je n’ai pas eu le temps de continuer à parler, ses lèvres ont mangé les miennes, il a commencé par la lèvre supérieure.. la prenant entre les siennes, je sentais sa langue la lécher, ses lèvres étaient douces, chaudes.. mais putain sa barbe ça piquait dru! il m’a bouffé la lèvre inférieure.. et sa langue est venue visiter ma bouche.

J’ai senti ses mains me prendre aux épaules, me serrer contre lui et je me suis laissé aller.. ma bouche emplie de sa langue, la salive au goût de bière coulait en direction de ma gorge.. je sentais son souffle sortir par son nez.. ses mains me caressaient partout où elles pouvaient.. j’ai passé mes mains sur ses épaules.. le dos poilu, doux, très agréable à caresser.

C’est lui qui a retiré son marcel..me laissant admirer son torse plus que poilu.. on ne voyait pratiquement pas la chair .. je passais ma main sur son torse.. c’était chaud, c’était doux.. il souriait de me voir comme un gamin découvrant son jouet.

Sous les poils les pecs étaient bien dessinés, je les malaxais, furetant dans les poils pour trouver les tétons envahis. On était nez à nez, bouche à bouche, laissant nos langues jouer ensemble.

J’ai pris un téton dans chaque main, les pinçant entre deux doigts et je commençais à les martyriser.. son souffle qui entrait dans ma bouche s’est accéléré au fur et à mesure.. plus je les serrais, plus il fermait les yeux et gémissait.. j’aurais bien aimé les lécher, les sucer, les téter, les mordre.. mais je n’osais pas quitter sa langue, sa belle langue juteuse qui jouait avec la mienne.

Ses mains étaient posées sur les miennes les serrant lorsque je pinçais trop fort ses tétons.. et ce petit manège a duré un moment.. lorsque je les ai lâché, il a remis mes mains dessus en disant juste “continue encore un peu, j’adore”.

Je lui ai donc martyrisé ses tétons, de plus en plus fort.. il ne demandait pas que j’arrête.. j’ai enfin lâché sa langue et je suis venu lécher un téton, le prendre directement entre mes dents, le faire rouler.. il gémissait encore plus fort.. je le suçais, le tétais, le mordais.. et je suis revenu l’embrasser.. il soupirait de plaisir mon beau portugais poilu.

le maçon

Je le renversais dans le divan.. j’enlevais mon tee-shirt.. et je me suis allongé sur lui.. poursuivant mon léchage et mon jeu avec les poils de son torse.. y’en avait partout.. mais sous les poils on sentait un corps dur, musclé.

Je prenais un malin plaisir à tout lécher, voir les poils s’aplatir sur les abdos, prendre leur formes et ses mains me tenaient la tête.. ma tête avançait vers son entre jambe.. pendant que ma langue léchait les poils et le nombril, je tâtais la grosse bosse contenue dans le pantalon de chantier.

Vite fait je défais le ceinturon, ouvre le pantalon, descend la fermeture éclair.. pour voir un boxer blanc presque transparent emprisonnant une grosse barre .. je prends cette barre entre mes doigts et la caresse pour remonter vers le gland.. je l’entends gémir encore et encore.. il a lâché ma tête.

Je tire sur son pantalon, il soulève ses fesses, je tire.. découvrant les cuisses musclées.. très poilues.. je suis ravi! Le boxer transparent laisse voir la barre de chair dans un amas très sombre.. je tire sur le boxer, il soulève encore ses fesses.. et je libère le bel engin, la bête portugaise sort de sa cachette.. en se redressant dans les airs.. le mandrin s’étire et libère le gland.. même sa queue est bronzée.. entourée de longs poils noirs.. j’ai a bouffé pour la semaine.

Je caresse cette belle bête, doucement pour l’apprivoiser.. je la tire vers moi pour la voir de plus près.. la tenir fermement dans ma main, le gland dépasse bien, je vois la mouille couler sur mes doigts.. je m’approche encore et donne de petits coups de langue dessus.. et la mouille continue de couler.. et Joao continue de gémir, je referme ma bouche dessus l’entourant de mes lèvres chaudes et j’avale toute sa queue.. moins longue que la mienne mais plus grosse, plus massive.. une bite de maçon!

Quand mon nez, mes lèvres sont caressés par les poils, les longs poils pubiens.. je suis aux anges.. et je suce avidement cette belle queue qui sent le mâle en rut.. je le pipe avec tout mon savoir, je caresse ses couilles, il a de très belles couilles poilues, grosses, agréables au toucher, je les malaxe dans ma main.. et je le suce bien à fond.. il gémit de plus en plus.. et se met à parler en portugais.. j’ai failli éclater de rire.. mais sa queue durcissait encore plus dans ma bouche, j’avais l’impression qu’elle s’était allongée et, quand je l’ai entendu crier.. j’ai reçu une première giclée me refaisant le palais et coulant dans ma gorge.. j’ai bien maintenue mes lèvres autour de ce beau et bon morceau et les giclées se sont succédées..
C’était ma première bite portugaise.

le maçon

Il s’est redressé et m’a renversé sur mon canapé, m’ouvrant rapidement mon bleu, je soulevais mes fesses pour me libérer.. il enlève rapidement mon boxer.. et je l’entends faire “oh”, me regarde.

-putain t’as une belle queue mec!
-elle est à toi, dis-je

Ma queue coulait, il l’a caressé, câliné, décalotté et ses lèvres se sont approchées.. et le bonheur est arrivé.. j’ai senti sa langue l’envelopper, la lécher, et l’avaler complètement.. sa main a pris délicatement mes couilles pour les pétrir doucement, je voyais sa tête aller et venir sur ma queue, l’enserrant de ses belles lèvres.

Il s’appliquait mon portugais.. et je sentais le plaisir monter.. mais il a ralenti, calmé mes ardeurs en me caressant le torse.. mon torse imberbe complètement.. il semblait apprécier ma peau douce et moi j’aimais ses mains de travailleurs, durs et tendres en même temps.. et il a repris sa pipe.. je lui ai maintenu la tête et je lui ai donné des petits coups de reins pour m’enfoncer encore plus en lui.. il acceptait que ma queue s’enfonce bien au fond de sa gorge.. et quand ma première giclée est arrivée, sa main s’est refermée sur mes couilles, les tenant fermement pendant que ses lèvres enserrent ma queue pour qu’il ne perdre aucune goutte de mon bon jus.. et je lui en ai donné du bon jus qu’il a tout avalé.. avant de lécher avec application ma queue.

Il s’est redressé pour venir m’embrasser.

-je pensais pas que ma journée allait se terminer ainsi, dit-il
-moi non plus.. mais je t’avais repéré quand même! un beau mec comme toi!
-et moi tu crois que je t’avais pas repéré.. si je te dis qu’en fait on débauche plus tôt que tu n’arrives et que je faisais durer pour te voir le temps de boire une bière.
-mais mon maçon portugais est un coquin.. mais un beau et bon coquin.

On a ri, on s’est embrassé, on a bu une nouvelle bière.. on avait toujours la bite à l’air.. et elles recommençaient à grandir un maximum.. et à couler.

le maçon

-on prend une douche ?
-Toi ! t’as envie d’autre chose, dit-il en riant
-ben.. Disons que je gouterais bien à ton postérieur que je n’ai même pas vu!
-c’est ce que je me disais aussi.. ça me changera d’un cul poilu et il éclate de rire.

On s’est relevé du canapé, fini d’enlever tous nos vêtements.. d’un seul coup ça sentait le mâle, la sueur.. surtout quand on a enlevé nos chaussettes.. cela nous a fait rire.

Je l’ai emmené dans ma grande douche.. j’ai fait couler l’eau et l’ai poussé dessous.. elle était froide bien sûr.. il a crié mais m’a attiré à lui, m’enserrant fortement dans ses bras, sa bouche sur la mienne, sa langue sur la mienne.. nos corps soudés laissaient couler l’eau qui se réchauffait.. nos queues faisaient connaissances, les mains caressent les corps, les fesses.

Il prend le gel douche, s’en met dans la main.

-maintenant laisse toi faire !

Et ses mains sont passées partout sur mon corps, d’abord vite fait.. puis est revenu dans tous les coins et recoins.. il m’a nettoyé les pieds en passant entre les orteils.. et a gardé mon petit cul pour la fin.. j’étais plein de savon.. son doigt est passé dans ma raie, trouvant l’anus.. le grattant et d’un seul coup s’enfonce.. une douce chaleur m’envahit.. il me retourne, se met à genoux derrière moi.. fait couler l’eau pour enlever tout le gel.

-penche toi en avant

Je sens deux mains ouvrir mes fesses, ses joues piquantes martyriser mes petites fesses imberbes et sa langue toucher mon anus, je tend bien mon cul, l’ouvrant le plus possible et sa langue lèche, inonde, fore et je la sens lécher le début du petit trou qui s’ouvre.. vite remplacé par un doigt qui s’enfonce en moi, caressant la paroi, je sens son souffle sur mes fesses, il met deux doigts et s’enfonce en tournant.. il fore en tournant ouvrant encore plus mon petit trou.. il claque une fesse.

-prêt pour le sacrifice ?

Sa voix est autoritaire, ferme.

-oui ! vas-y!

Tout en gardant ses doigts dans mon cul, il se relève.. il enlève ses doigts.. qu’il remplace par son gland suintant.. le pose sur l’anus entrouvert.. je me cramponne au mur de la douche.. ses mains claquent mes fesses comme pour les attendrir.. et je sens son gland entrer, ouvrir doucement le sphincter qui l’épouse au fur et à mesure.. je serre les dents le temps que le gland fasse son entrée.. mais je suis obligé de crier quand le gland passe et continue son chemin.. ses mains se sont affermies sur le haut de mes fesses.. et sa queue continue son avancée.. et je sens ses poils caresser mes fesses, il me tire bien vers lui. je sens sa queue bouger en moi, vivre.. il ondule du bassin, ma paroi enveloppe bien sa belle queue.

le maçon

Il se retire doucement pour revenir avec force, son pubis claque sur mes fesses et, tel un travailleur de force.. me baise en cadence, sortant presque sa queue pour la rentrer de suite bien au chaud.. je gueule, mais j’ai passé ma main entre mes jambes et je lui caresse les couilles durant tout le travail effectué.. il est endurant le portugais! et j’en prends vraiment plein le cul.. quand il se bloque sur mes fesses, bien ancré en moi.. je sens ses giclées repeindre mon intérieur, me réchauffer.. lui pousse également de petits cris.. Il ressort lentement de moi, me redresse, me fait tourner pour revenir dans ses bras.. et l’embrasser!

-j’adore ton cul mec! dit-il
-merci et le tien est comment ?
-c’est toi qui va me le dire dans quelques instants dit-il en rigolant.. mais avant tu vas jouer à l’esclave et laver ton maître portugais.
-avec plaisir maître.. j’ai toujours rêvé d’avoir à ma disposition un corps poilu comme le tien.. tu ressembles à un très bel ours!

Cela l’a fait rire. Il m’a tendu le gel douche.

-allez à toi!

Comment vous le raconter.. le plaisir que j’ai eu cette première fois à caresser ce beau nounours des pieds à la tête.. de découvrir son corps à travers les poils mouillés, collés à sa peau.. j’ai pris tout mon temps.. laissant, comme lui, le cul pour la fin.. quand, enfin je me suis retrouvé derrière lui.. que j’ai eu en mains les deux globes fessiers tout poilus.. je les ai caressé, c’était dur, j’ai respiré sa raie..

J’ai ouvert ses fesses, il s’est penché en avant.. et la raie est apparue.. une raie boisée de petits poils frisés.. je trouvais ça marrant et drôle.. j’ai léché, caressé, son trou s’ouvrait facilement.. soit il prenait des bites soit il se godait le portugais.. et j’ai pu mettre deux doigts de suite.. La machine à gémissements était déjà en route.. j’ai mis ma langue le plus profond que je pouvais, léché, doigté, ce petit trou s’est ouvert encore plus.

le maçon

Je me suis relevé, bien décalotté ma queue, il tendait bien ses fesses, j’ai passé le gland dans la raie et quand il a touché l’entrée, je l’ai saisi aux hanches et je me suis enfoncé rapidement.. tout le temps de la pénétration j’ai senti la chaleur de son conduit m’envelopper la queue.. j’étais bien et quand ses poils des fesses se sont mélangés avec ceux de mon pubis.. il a soufflé, je sentais son sphincter se serrer autour de ma queue.. et je ne lui ai pas de cadeau.. je l’ai baisé comme un malade.. il criait, gémissait tout en s’offrant.. et je me suis rapidement vidé en lui.. de longues giclées imposantes lui ont noyé le conduit.

On s’est retrouvé dans les bras l’un de l’autre.. s’embrassant à pleine bouche. les yeux pleins de remerciements.

Il est resté dîner avec moi et n’est rentré chez lui qu’au milieu de la nuit.

Les travaux sont terminés depuis longtemps mais on se voit encore pour passer des nuits torrides et on aime ça!

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  1. Fabrice, je voudrais savoir si tu revois João de temps en temps, pour des travaux de maçonnerie ?

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