Histoire gay – Le docteur en chaleur

Bastien et Karim sont potes, de vrais amis et de vrais amants. Oh pas d’amour entre eux, mais de la baise dans la chambre de Bastien. “On a 25 ans”, dit souvent Karim, faut bien se vidanger tous les jours !

Ils se donnent du plaisir tous les deux, la queue ou le zob entrent dans les culs, ils adorent tous les deux. Ils se racontent tout ce qu’ils font, autant les conneries que les baises.

Et en arrivant chez Bastien, Karim semble excité comme un fou. Il voit bien qu’il a quelque chose à dire mais qu’il hésite.

-Ben qu’est ce t’as à bouger comme ça ? toi t’as un truc à me raconter dit Bastien.
-si j’te le dis tu vas me prendre pour un mytho mec!
-bah on verra dit Bastien vas y Karim.

Il le regarde, soupire, se râcle la gorge et commence :

-hier matin quand je me suis réveillé j’avais un mal de gorge de ouf! J’en parle à ma mère qui regarde et me dit que c’est rouge et elle m’envoie direct chez le doc en me disant, il est nouveau et tu n’attendras pas longtemps. Alors je suis allé voir le doc, j’ai attendu dans la salle et j’ai poireauté jusqu’à midi mon pote. Je l’avais bien vu le doc, beau mec en plus, souriant quand il ouvrait la porte pour dire “au suivant”! J’avais eu le temps à plusieurs reprises de le mater et de voir que c’est un mec céfran comme toi, 35-40 ans, châtain clair, une belle gueule et des yeux clairs, après j’ai vu qu’ils étaient gris.

-Oh putain tu l’as détaillé ton doc! toi t’es tombé amoureux! dit Bastien en éclatant de rire.
-fout toi de ma gueule, écoute moi plutôt. Quand c’est mon tour je m’avance et je rentre dans la salle où il y a un bureau et un lit à côté avec plein d’appareils.
-qu’est ce qui vous arrive jeune homme ? me dit-il d’une belle voix.

-j’ai expliqué mon mal de gorge, il s’est levé à pris un morceau de bois et est venu à côté de moi debout, sa main sur la tête m’a fait pencher en arrière .
-Ouvrez la bouche et tirez la langue.
-j’ai obéi et je le fixais, c’est là que j’ai vu que ses yeux étaient gris. Je sentais le bâton dans ma gorge.
-c’est pas grave, c’est juste un mal de gorge, pas d’angine à l’horizon, avec des bains de bouche cela devrait passer rapidement me dit-il.

J’étais rassuré tu penses mais il a continué…

-il y a longtemps que vous avez vu un médecin ?
-Ben disons que j’en vois pas souvent car j’suis jamais malade.
-eh bien je vais regarder tout ça, mettez vous en slip et allongez vous là.

J’m’attendais pas à me retrouver à moitié à poil devant le doc mec! Mais j’ai obéi.

-enlevez aussi vos chaussettes.

Je me suis allongé et je l’ai maté avec sa blouse ouverte, il était en survêt en dessous, tee-shirt qui moulait son torse et j’ai pensé “arrête de le mater tu vas bander!”

Il m’a écouté partout sur la poitrine, m’a fait asseoir pour le dos, j’ai dû tousser. Je l’ai vu se frotter les mains et il m’a touché le ventre, appuyant à droite, à gauche, j’ai aimé ses mains douces et chaudes mais je ne le regardais plus car mon zob commençait à avoir des réactions.

Il est venu à mes pieds pour me toucher les chevilles et remonter sur les jambes, les cuisses et ce con appuie dans l’aine à côté de mes couilles. Je sursaute.

-vous avez mal ? me demande-t-il.
-non mais j’ai été surpris.

Ses mains continuaient de me toucher le ventre, tournant autour de mon zob.

-vous avez souvent des relations sexuelles ? me demande-t il d’un seul coup comme s’il m’avait demandé de ne pas oublier le pain!

Bastien rigole!

-Alors t’as dit que tu te faisais niquer le rebeu ?
-j’ai dit que oui.
-il m’a demandé si j’avais un partenaire privilégié.
-pas toujours j’ai répondu.
-vous savez qu’il existe des préservatifs et comment l’ont fait pour s’en servir ?

Je n’ai pu m’empêcher de rigoler en disant oui et que j’en utilisais.

Sa main a frôlé mon zob et tu sais ce que ça lui fait! Il est venu prendre mon boxer en haut, le soulever et le baisser sous les couilles libérant mon monstre qui a cru qu’il était chez lui. Il s’est étiré d’un coup, raide et dur comme il est d’habitude avec toi Bastien! Sois pas jaloux mec! dit Karim en riant.

Il observait mon zob qui bougeait doucement dans sa raideur, ma main le long du corps était à la hauteur de son sexe alors j’ai tenté le tout pour le tout, du dos de la main je suis allé toucher son sexe et bingo c’était raide là-dedans!

Il n’y est pas allé par quatre chemins, le doc, il a pris mon zob dans sa main, l’a redressé et a commencé de me branler lentement, de l’autre main il caressait mes couilles.

Alors je me suis pas gêné pour passer ma main dans son survêt au doc et de sortir la belle queue céfran, tiens comme la tienne Bastien, aussi longue et grosse et putain il mouillait le doc, là plus que toi mec!
Il rigole Karim.

-tu l’as niqué alors ?
-rho attend le céfran!

Il m’a branlé doucement en accélérant et je n’ai pas tenu longtemps avec le doc, j’ai poussé mon râle et j’ai juté sur mon torse j’en avais jusqu’au menton. Il s’est léché les doigts en me regardant pendant que je continuais de le branler.

Il s’est penché sur mon torse et s’est mis à le lécher, récupérant mon jus et venir m’en donner avec sa langue et en prendre pour lui également et il a fini par me rouler une pelle, mais rassure toi Bastien je préfère quand c’est toi qui m’embrasse.

Il s’est approché de moi, m’a fait lâcher sa queue :

-suce moi maintenant!

Si t’avais entendu sa voix Bastien, une voix rauque pleine de désirs, d’envies et je n’avais qu’à me pencher pour recueillir sa queue.

Je lui ai fait comme je te fais, la décalotter entre mes lèvres, jouer avec ma langue sur le gland humide de mouille et y’en avait! Il me tenait la tête sur le côté et en fait me baisait la bouche et il a juté le doc et j’en ai mis partout parce que y’avait la dose! Il ne devait pas avoir baisé depuis l’éternité !

Il m’a léché partout, embrassé et caressé, passant sa main sous mes couilles en direction de mon cul.
J’ai senti son doigt fouineur trouver mon trou et chercher à s’enfoncer, il m’a regardé et sérieusement a dit :

-il faut que je vois ça de plus près, avec toujours sa putain de voix rauque.

Alors je lui ai montré mon cul, à quatre pattes sur sa table, le cul bien tendu cet enfoiré m’a doigté sérieusement avant de me bouffer le cul tellement bon que je bandais encore plus qu’avant.

-T’aimes te faire baiser Karim ?

J’ai dit oui car il voyait bien que tu me le faisais souvent le céfran!

-je peux ? m’a-t-il demandé.

J’ai pas osé dire non et j’ai tendu mon cul qu’il a encore bouffé, doigté. J’ai entendu qu’il déchirait un préso et sa belle queue est venue visiter mon petit cul et je peux te dire qu’il sait s’en servir de sa queue le doc.

Il m’a baisé dans toutes les positions sur la petite table, je devais me cramponner tellement les coups de reins étaient secs et profonds et moi qui l’avait fait juter y’a pas 10 minutes! Alors fatalement ça a duré plus longtemps la fête à mon cul. J’ai senti la chaleur quand il a joui mais j’ai pas senti comme avec toi Bastien quand ton jus va au plus profond, mais quand il s’est enlevé le préso, si t’avais vu la quantité qu’il y avait!

Il m’a fait le sucer encore une fois, j’ai passé ma main entre ses jambes et je n’ai pu que gratter son petit trou, il ne s’est pas laissé faire le doc, mais ne m’a pas dit d’arrêter! Donc on a juté encore une fois et il m’a foutu dehors en me disant que je pouvais revenir quand je voulais!

Bastien éclate de rire.

-bah tu vois encore un qui aime ton petit cul de rebeu mon pote! J’espère que tu n’avais plus mal de gorge ?
-bah non rien de tel que le sirop de Corps d’Homme! dit Karim en riant.