Histoire gay – Le cul du barbu

Connaissez-vous Henri le barbu ? Si vous habitez dans le nord de Paris, limite 9ème et 18ème arrondissement, vers Anvers, Barbès Rochechouart, le quartier des rebeux en tous genres, vous avez eu une chance de le croiser, de le voir, de jeter un œil sur lui sans plus, car il attire l’attention avec son mètre quatre vingt dix.

Large comme un catcheur et une barbe noire lui enveloppant les joues, épaisse et assez longue pour être prise en mains.

48 ans au compteur, les abdos sont remplacés par une petite bedaine qui donne envie d’y coller la tête, mais quand on a eu le plaisir de le voir baisser son futal et exhiber sa belle paire de fesses on ne peut qu’être émerveillé.

Je crois que ce sont les plus belles fesses du quartier et je peux vous dire qu’elles ont du succès!

Car ce géant barbu, pédé des pieds à la tête aime se faire baiser, aime se faire niquer et plus c’est gros plus il gueule mais plus il s’offre!

Henri a ses habitudes, il drague sur le terre plein du boulevard, non loin du square d’Anvers, vous savez là où se trouve le parking et ses coins sombres.

C’est sur le boulevard que je l’ai aperçu un soir, la nuit était tombée depuis un moment, il déambulait tranquille matant les mecs qu’il croisait. Beaucoup le saluaient, s’arrêtaient pour parler quelques instants et je voyais bien qu’il refusait leur proposition. Jusqu’au moment où un arabe d’une bonne quarantaine d’années l’a accosté.

Je n’entendais pas leur conversation, mais de voir ce géant penché sur le daron rebeu me faisait sourire, je pensais d’abord qu’il allait se taper le vieux rebeu et je les vois partir par l’entrée du parking…

Comme j’étais jeune et curieux (bah je le suis encore!!! moins jeune mais plus vicieux!), j’ai suivi. Henri a entraîné le rebeu dans un coin et face à face, le géant palpait l’entrejambe du rebeu qui ouvrait déjà son pantalon qui tombait à ses chevilles. Un vieux caleçon tombe également et dans la pénombre éclairée quand même par une vieille lampe je vois que le daron rebeu avait des centimètres à revendre!

Henri se penche sur lui, parle à son oreille, le rebeu le retourne et j’en reste scotché de voir le géant baisser son froc, son caleçon et le clair de lune apparaît. La scène semblait s’éclaircir!

Je vois le daron rebeu fouiller le cul du géant et le faire gémir, son ou ses doigts doivent être entrés car il le doigte sauvagement. Henri tend son cul, les coudes appuyés sur ses genoux, la tête entre ses mains.

Le gros zob du daron rebeu tenu d’une main experte cherche l’entrée dans la raie, doit le trouver, le daron rebeu prend le géant aux hanches et d’un coup de reins s’enfonce dans le cul offert. Le géant redresse la tête, se caressant la barbe poussant un long gémissement et se penche encore plus en avant.

Le daron rebeu en profite et je vois que son pubis est collé au cul du géant qui gueule : nique moi le rebeu! Tu sais faire ça!

Mieux que mes vidéos pornos les mecs!

Il n’était pourtant pas de première jeunesse le daron rebeu, mais purée quels coups de reins il avait!
J’ai été attiré comme un aimant, je me suis déplacé dans l’ombre essayant de me rapprocher et d’en voir plus, mais le daron rebeu m’a vu, m’a regardé de ses petits yeux fouineurs et m’a fait signe d’approcher.
Ce que j’ai fait!

Je l’ai vu se retirer lentement pour que j’admire son zob en plein ouvrage, de loin il paraissait énorme, mais là de près, je n’en avais jamais vu de si gros et je me suis dit « pourvu qu’il n’ai pas envie de me niquer! ».

Non il ne voulait pas ça, il voulait un spectateur le daron rebeu.

Mais le géant a tourné la tête en disant :

-t’as fini ta pause le rebeu ?

Il m’a vu, m’a souri et a repris sa position. J’ai assisté au limage en règle du cul du géant, le daron rebeu était content de son spectateur et s’en donnait à cœur joie. Le géant ne faisait que couiner en gémissant mais putain qu’il offrait bien son cul.

Le pubis du daron claquait sur les fesses. J’étais toujours en admiration et je peux vous dire que j’étais au plus près. La main du daron rebeu est venu me toucher l’entrejambe, me faisant signe de sortir ma queue, tu parles qu’elle était contente de prendre l’air.

Le daron m’a tripoté en continuant de niquer le géant pour me lâcher au dernier moment en gueulant, parlant en arabe, je ne voyais plus son gros zob, il devait juter des litres de jus et j’ai trouvé que cela avait duré une éternité.

Il s’est retiré vivement, laissant voir un anus bien ouvert et laisser couler le jus rebeu qu’il venait de déposer, m’a pris par un bras et m’a attiré :

-nique le il aime ça!

J’avoue que j’étais un peu intimidé de passer après le daron, ma queue allait nager!

Mais j’ai vu le daron venir difficilement devant le géant qui avait toujours le cul en l’air, le prendre par la barbe et lui fourrer son gros zob dans la bouche, j’ai entendu des gargouillis, car si le zob avait disparu dans son cul, là il avait disparu dans sa bouche. Il toussait le géant en se cramponnant aux hanches du daron qui me fait signe de le niquer.

Bon puisqu’il insiste, j’ai rentré sans difficulté ma pourtant belle queue dans ce cul bien ouvert qui s’est refermé dessus comme si le cul s’adaptait aux queues qui le visitait.

En cadence avec le daron on l’a baisé chacun de notre côté, moi pas longtemps car franchement j’étais excité, c’était la première fois que je baisais avec deux mecs de cet âge.

J’ai mélangé mon jus à celui du rebeu et le daron rebeu s’est vidé dans la bouche d’Henri pour le retourner et lui dire de me lécher la queue. Ce qu’il a fait sans rechigner, c’était marrant de sentir la barbe caresser mes couilles pendant que ma queue se faisait lécher, sucer.

Le daron rebeu s’est rhabillé et s’est cassé sans rien dire.

J’avais le géant barbu à genoux qui en fait me pipait comme un malade et Henri a réussi à me faire jouir à nouveau. Il a bien léché ma queue, m’a regardé :

-ta queue est très bonne jeune mec, j’ai pas l’habitude avec les jeunes, ça sait pas baiser, t’as de la chance que le daron était là!
-désolé j’ai dit, j’ai pas été discret.

Il s’est relevé en riant.

-bah t’en fait pas, en tout cas t’as un bon coup de reins, j’ai apprécié, tu dois être la plus jeune bite que mon cul ait vu!

Je rigole et il se rhabille. On est ressorti du parking et comme il faisait bon on est allé s’asseoir sur un banc sur le terre-plein. Il m’avait adopté le géant!

-mais t’es encore plus beau en pleine lumière que dans le parking!

Je l’ai trouvé sympa et il s’est mis à me raconter sa vie. Depuis tout jeune où il a su en traînant dans le quartier que ça draguait lourdement et que les arabes aiment bien niquer un bon cul, il venait régulièrement et depuis le début il n’y avait que des darons qui le baisaient!

-Ce sont les meilleurs mecs, bon si t’aimes te faire enculer bien sûr! Dès que le zob est positionné faut que ça rentre, et t’as intérêt à le supporter! Ce sont pas des tendres en général, mais que veux tu j’aime ça!
-celui de ce soir avait une sacré queue, je crois que j’en avais jamais vu de si grosse!
-oh parce que tu viens pas souvent dans le quartier! dit-il en rigolant, c’est celui des grosses queues!
-et si je peux me permettre j’ai trouvé que tu avais un très beau cul!
-ça veut dire quoi ça ? tu veux me baiser encore ?

Je rigole.

-je disais juste que t’avais un beau cul, t’es assez imposant comme mec, mais t’as un beau petit cul et purée ma queue est rentrée facilement!
-Ben avec le daron avant toi! dit-il, mais c’est vrai que j’ai un beau cul.

Il se tait un moment, les yeux sur moi, mais je vois bien qu’il réfléchit. Sa main vient sur ma joue, me caresse :

-t’as l’air d’être un bon petit gars, j’te ramène chez moi et tu verras mon beau cul en pleine lumière c’est encore mieux!

Il rigole en se penchant sur moi :

-et s’il t’excite encore t’auras droit de me niquer!

Là, c’est moi qui rigole.

-Mais tu vis tout seul ? t’as jamais trouvé quelqu’un ?
-pfff j’aime trop les queues pour n’en garder qu’une mec, si j’avais eu un mec, il aurait été le cocu le plus célèbre de Paris! J’aime trop ma liberté et quand j’ai envie de de me faire baiser je ne rentre jamais bredouille, toujours le cul bien rempli! allez on y va ?

Il habitait pas loin et j’ai eu droit de voir le géant barbu se déshabiller en s’exhibant pour finir par venir me coller ses fesses sous les yeux.

-le plus beau cul de Paris mec, mate le bien, touche le, perce le, baise le! je te donne tous les droits!

Il écarte ses fesses imberbes, alors que le corps est poilu, et je vois l’anus ouvert qui me regarde. J’ai caressé les fesses de mes mains douces et chaudes, lui faisant des bisous et il s’est mis à ronronner mon géant, à pousser de petits gémissements quand ma langue touchait l’anus rouge. J’ai pu le doigter avec trois doigts et je suis sûr que si j’avais voulu enfoncer ma main elle aurait été avalée! Mais j’étais jeune…

C’est lui qui m’a déshabillé et j’ai pu enfin apercevoir sa queue, une petite queue vraiment pas longue, décalottée complètement, coulante au-dessus d’une petite paire de couilles, le tout perdu dans les poils pubiens.

Il m’a sucé encore et encore, me passant ses mains de géant partout sur le corps. Des mains chaudes mais rugueuses qui me donnaient des frissons et m’a demandé s’il pouvait m’embrasser. Je l’ai laissé faire et j’ai cru étouffer dans les poils de barbe! Mais sa langue était bien active.

Il m’a offert pour la deuxième fois son cul et j’ai essayé de ne pas faire le tendre, de faire le bourrin comme le daron rebeu de la soirée.

Il a encaissé mes coups de reins, ma queue voyageait comme un train dans son tunnel et je l’ai rempli encore une fois et qu’est ce que j’étais content de l’entendre gémir, crier quand j’ai joui!

Je suis sorti de lui et je suis venu devant lui pour le sucer, j’ai bien vu qu’il était étonné mais s’est laissé faire et malgré la queue de petite taille, ma récompense fût de taille!

Il m’a relevé comme une plume, m’écrasant contre lui :

-toi jeune mec, t’as encore besoin de quelques leçons pour niquer comme il faut et tu seras un bon baiseur!
Il n’avait pas dit ça méchamment car j’ai trouvé qu’il était sincère.

J’ai dû le revoir quatre fois et il parait que je me suis perfectionné!! J’ai toujours été ravi d’avoir un professeur comme lui! Le cul du barbu! putain quel cul!!

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