C’était à une époque où le Service National était encore en vigueur. Je suis convoqué devant le colonel. Le colonel me confie une mission très spéciale.
Le colonel me dit que le moral d’une de ses sections baisse dangereusement. Avec son subalterne direct, il a arrangé un coin avec une de ces cantines en métal recouverte d’une couverture roulée et d’une grande bâche. Je dois me faire attacher les mains et les pieds solidement à la grosse et lourde cantine avec des mousquetons et des chaînes. Je dois me soumettre aux assauts bestiaux de toute une section de cinquante soldats sans parler. L’idée me séduit. Je demande quand cette mission débute.
Le colonel me répond que ça commence dès après avoir quitté le bureau. Je dois aller attendre tout nu en jockstrap kaki dans un coin de la caserne, proche du stand de tir.
C’est l’après-midi, le colonel convoque la section en question dans la cour d’honneur. Il leur ordonne, d’une main de fer, de se déshabiller entièrement sur le champ, de se diriger nus vers le stand de tir en ordre serré et en rythme. Ils doivent seulement avoir leurs armes respectives en bandoulière. Bien qu’un peu estomaqués d’un tel ordre venant du colonel, ils obéissent.
Une fois déshabillés, et remis en formation, ils marchent nus d’un pas cadencé vers le stand de tir.
Arrivés à proximité du stand de tir, ils me voient cul nu en jockstrap kaki. Le sergent-chef de section les fait stopper net. Il place la section au garde à vous et leur relaye ce que veut le colonel. Le sergent-chef se rapproche de mon cul. Il crache abondamment sur mon trou glabre. Il étale bien sa salive et repart vers le groupe. Le sergent-chef s’agenouille et suce la bite du premier de section.
Le premier soldat sait maintenant ce qu’il lui incombe. Il approche, la bite dure. Il s’insère facilement en moi. Il commence à me baiser doucement. Le sergent-chef dit de se dépêcher. La section n’a pas que ça à faire. Donc, ce soldat me pilonne l’anus avec grande vigueur. Après avoir bien joui en moi, il revient prendre sa place dans la section. Le deuxième soldat derrière lui attend ce qu’il doit faire. Le sergent-chef lui ordonne de faire demi-tour sur place et s’agenouiller pour le faire bander. Une fois en forme, le deuxième soldat sort des rangs sur le gauche, vient vers moi et me pénètre tout aussi virilement.
Le deuxième, fait son affaire et jouit en moi. Il repart vers les autres, se replace dans les rangs. Il s’agenouille et suce la bite du soldat derrière lui. Le troisième, en forme, vient me secouer le cul pendant cinq bonnes minutes. Il me remplit de son jus. Il se retire et revient dans la section. Il suce la bite de derrière lui. Ce petit défilé dure un moment jusqu’à ce que je sente un gros sexe dur et plus âgé. Je ne me retourne pas. Je réalise que la section est partie au stand de tir pour tirer leurs séries de cartouches.
Je m’interroge qui est en train de me baiser. Cette personne ne dit aucun mot et ne me touche pas.
Après plusieurs coups de bassins, mon conduit anal se remplit encore un peu plus. Il est à la limite de déborder. Cette personne se retire et repart aussi silencieusement qu’elle est arrivée.
Plusieurs minutes passent, je réalise enfin que je viens de me faire remplir par le colonel.
Le sergent-chef de la section, lui aussi, se vide dans mes entrailles. Ce sergent est un beau black très très bien outillé. Il a un truc de malade, un monstre de vingt-cinq centimètres. Une fois l’affaire faite, il me dit de garder la pose pour que mon cul se referme bien.
J’obéis avec attention.
Le soir même, peu avant le dîner au réfectoire, le colonel me rappelle dans son bureau.
Je me présente à sa porte. Elle n’est pas fermée. Il me demande de rentrer et de fermer le verrou. Le colonel a le pantalon sur les chevilles. Son commandant est affairé sous le bureau, entre les cuisses du colonel.
Le colonel donne congé à son commandant. Il me dit de passer à mon tour sous le bureau. Mes soupçons de l’après-midi se confirment.
Le colonel me demande de le sucer. Je me mets à l’œuvre. Le colonel saisit ma tête et me force le passage de ma gorge. Il jouit au fond de ma bouche, ses poils pubiens gris me chatouillent les narines. Il me force à avaler.
Il relâche la tête après avoir joui de sa dernière goutte. Je me relève et me mets au garde à vous. Le colonel me lance, que lorsque je viens le voir seul le soir, je n’ai pas le devoir de me mettre au garde à vous. Je n’ai juste qu’à me faire annoncer par le commandant.
Il me fait promettre de garder le secret comme si c’est un dossier “SECRET DÉFENSE”.
Je tourne les talons, sort du bureau et me dirige vers le réfectoire pour aller manger.
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