Par une chaude fin d’après-midi, JM fait sa marche quotidienne avec son jockstrap fétiche bleu pour tout vêtement. Il a juste son sac à dos et ses baskets sur lui. Il longe un champ de cannes à sucre où des ouvriers se démènent pour couper et ramasser les cannes pour la coopérative sucrière.
JM s’approche d’un peu trop près des ouvriers. L’un d’eux remarque JM en jock. Cet ouvrier fixe du regard ce joli petit cul dans ce jock en se pinçant les lèvres. Il se dit qu’une petite pause récréative lui ferait du bien.
L’ouvrier est torse nu. Il sent la sueur du travail. Cette odeur peut faire fuir certains, mais contrairement aux autres, elle excite JM. Son jock bleu gonfle, qui ressemble maintenant à un chapiteau de cirque. L’ouvrier, en voyant ce cul, bande. Il s’approche de JM. Il baisse sa cote de travail. Il ne porte pas de sous-vêtement.
JM se met à genoux. L’ouvrier se tourne et offre à JM son anus glabre. JM se met à mettre son nez et sa langue autour du trou pour lubrifier. L’ouvrier est très agréablement surpris par ce que lui fait JM.
Au bout de quelques minutes, JM présente son sexe entre les fesses de l’ouvrier. Sans que l’ouvrier ne dise mot, JM s’introduit dans les fesses de son crush de l’instant. JM balance son bassin d’avant, en arrière, et ce plusieurs fois. Il atteint l’extase et … lui inonde l’arrière-train.
L’ouvrier dit à JM, que maintenant, c’est à lui de recevoir. JM, dans l’instant, ne comprend pas bien. L’ouvrier fait tourner JM pour qu’il lui rende la pareille. La stupeur de JM a grimpé en flèche quand il a aperçu l’outil de l’ouvrier.
L’ouvrier est prévoyant. Quand il va travailler aux champs, il prend soin d’emporter dans ses poches, un flacon de lubrifiant.
JM cambre un peu les reins, écarte les cuisses. L’ouvrier s’accroupit et lèche longuement le trou de JM qui semble très bien apprécier le travail de l’ouvrier. L’ouvrier se relève, prend le flacon de lubrifiant dans sa poche, en étale bien sur son sexe et sur l’anus de JM.
Très vite, JM sent quelque chose de bien dur se poser sur son œillet. L’ouvrier pousse un peu et reste un instant. L’œillet s’ouvre sans grande difficulté. L’ouvrier reprend sa poussée. JM n’a pas mal.
Maintenant, l’ouvrier est intégralement introduit. Il demande à JM si ça va bien. JM répond qu’il va bien. L’ouvrier commence
alors des mouvements effrénés de va-et-viens dans les fesses de JM.
Au bout de cinq ou dix longues minutes d’ébats, l’ouvrier ne se sent plus et explose abondamment au fond de la cavité de JM. L’ouvrier se retire doucement pour ne pas que JM ne soit blessé si l’ouvrier doit se retirer brusquement.
Juste après que l’ouvrier redescende de son “nuage”, il demande à JM s’il est d’accord pour revenir dans le coin un autre jour pour lui permettre d’évacuer ce stress de la coupe des cannes.
JM accepte bien volontiers.
L’ouvrier remonte sa cote de travail et retourne vers ses collègues afin de terminer la coupe des cannes de la parcelle. JM, lui continue sa marche. Pendant qu’il marche, des gouttes de jus lui coule le long de jambes.
Heureusement, dans son sac à dos, il prend un paquet de mouchoirs jetables. Il sort un mouchoir et s’essuie régulièrement avant de rentrer chez lui dans son jockstrap bleu qu’il n’a pas quitté.
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