Histoire gay : Joe était sans job depuis deux mois. J’avais réussi à le motiver pour qu’il reprenne le sport la semaine dernière, comme un exploit.
Très dur pour lui comprenez, parce que quand y a pas le taf pour lui occuper les mains, Joe n’a qu’une envie, c’est de les frotter contre les minettes en maillots, et ça, il n’en était pas question. Fidélité envers sa copine, pour une fois qu’une en valait le coup.
Pour pas m’avouer vaincu, je lui avais alors dit de se branler avant, un peu sur le ton d’une blague en fait. Mais à le voir arriver le lendemain, les joues rouges et du sperme séché sur ses abdos, je me suis dit qu’il suivait plutôt bien mes conseils. Tout en grattant son torse pour pas qu’il se tape l’affiche, je lui indiquai qu’on était sur la bonne voie.
Depuis une semaine, en plus de se retrouver sans taf, Joe se retrouve sans copine ; voyage d’affaires de madame, monsieur : grave en manque. En général le rendez-vous piscine est fixé à 11h30, je me pointe chez lui à 10h décidé à tenter d’en profiter. Je ne sonne pas, je sais où sont les clés. Baraque immense. Pondre des scénarios niaiseux et se prendre les doigts et la bite de Joe par les trois trous semble être la clé du succès ici bas.
Déjà une semaine que Joe n’a plus rien à combler et c’est beaucoup moins propre. Des canettes de bières trainassent partout. Si encore y avait que ça… Après son licenciement Joe a congédié la femme de ménage pour se montrer utile, engagement qui comme bien des autres auparavant, n’a pas l’air de le lier des masses.
Pour l’heure Joe suit bien mes recommandations et j’entends des cris qui ne sont pas les siens depuis sa chambre. Je me rapproche de la source sonore en espérant que l’excitation de Joe soit bien avancée. Sur le chemin des mouchoirs sales et des magazines de cul dont le papier se gondole, on va espérer que l’escalier ne glisse pas…
Joe est bien en train de se s’astiquer gentiment, il ne range rien de tout ce qui est sorti, c’est pas comme si on s’était jamais branlé ensemble au lycée. Depuis qu’il savait que j’aimais les queues, il se disait qu’il me faisait un cadeau en me laissant regarder.
J’avais jamais pu toucher, ça je l’avais appris violemment quand au lycée bourré, j’avais réussi à l’emmener dans un coin que je croyais vide de monde en lui promettant qu’il ne serait jamais aussi bien sucé. Sans attendre sa réponse, se mettre à genoux. Le geste qui suivi fut son poing dans ma gueule à l’arrivée d’une fille et d’un instant de conscience dans son esprit défoncé. Jamais pu toucher donc, seulement me branler à coté, et quand j’arrivais à le convaincre, du sperme sur ma gueule. Seulement, et d’assez loin.
Jamais cela dit Joe n’avait été aussi frustré que cette semaine.
En savoir plus sur La Gay Life
Subscribe to get the latest posts sent to your email.