J’ai repris ma position sur son épaule, mais ma main est revenue se poser sur son zob qui était toujours en demi molle.
J’ai bien dégagé le survêt pour voir le début des cuisses poilues, son ventre. J’ai touché les couilles, les soupesant et j’ai repris le gros zob en main. J’étais prêt pour la suite.
-j’en étais où ? dit-il.
-Tu viens de juter Kabyle! dis-je en relevant la tête.
Tu sais Djamel est vraiment un beau petit rebeu, la façon qu’il avait de se mettre contre moi, me serrer contre lui, j’ai pensé en vicelard tu sais, en pensant que je pouvais en faire ce que je voulais de ce mec!
J’ai tiré ses cheveux en arrière pour qu’il me regarde! Il avait des yeux implorants de mec soumis, tu sais le mec au regard prêt à tout.

-je vais te niquer, ici mec! Tu vas te foutre à poil là maintenant!
Il s’est détaché de moi et en un rien de temps il était nu en TN.
-à poil complet j’ai dit en montrant ses shows.
Il a tout enlevé et j’ai pu admirer le beau rebeu que c’était. Les marocains sont beaux en général, ce sont les plus passifs de tous les rebeux, tu le savais ça Fabrice ?
-non pas vraiment!
Il était imberbe complètement, sexe rasé, un beau zob bien raide qui coulait déjà. Il me regardait attendant mon désir.
Je me suis approché de lui et j’ai caressé sa poitrine, je l’ai vu frémir. Il avait de beaux tétons qui pointaient, je les ai pris entre mes doigts et je les ai triturés, puis martyrisés pour l’entendre gémir en grimaçant, de plus en plus fort. Son zob tressautait.
J’ai caressé cette peau chaude de rebeu que tu connais Fabrice, un rebeu imberbe la peau est douce, tendre, il tremblait dans mes bras, sa tête est venue dans mon épaule. Je peux t’avouer aujourd’hui Fabrice, que j’avais envie d’embrasser ce petit mec et de l’emmener dans mon lit pour le niquer. Mais c’était trop tentant de le niquer là, à poil dans ce coin de bistrot.
Quand son zob a touché le mien, ils se sont bien entendus tous les deux, aussi raide, aussi dur, le mien était plus large que le sien, mais lui il était plus long et si t’avais vu la belle paire de couilles qu’il avait.
Je l’avais dans mes bras, il ronronnait dans mes bras, j’ai caressé son dos, il m’excitait ce mec et quand j’ai touché son cul, cette peau douce des fesses imberbes, je les ai écarté, il s’est penché en avant et mon doigt a trouvé l’anus. Ce petit trou chaud déjà ouvert et j’ai eu envie de lui de suite, je l’ai fait se retourner et si t’avais vu comment il prenait la position en s’appuyant contre le mur, écartant bien ses jambes.

J’ai fait mon sadique, j’ai claqué les belles fesses pour les attendrir alors que j’avais plus envie de le bouffer ce petit cul et de le niquer. Quand j’ai mis mon zob dans la raie, c’est lui qui bougeait son cul pour que je trouve bien l’endroit et qui a commencé à s’enfoncer dessus.
Mais j’ai repris les choses en main, je l’ai bloqué pour le niquer d’un seul coup! J’adore entendre gueuler mes victimes, et pour gueuler il a gueulé. Pourtant elle est pas longue ma queue, tu la vois Fabrice!
-oui, dis-je, mais quand même assez large et on doit la sentir passer quand même!
Il rigole.
Je l’ai niqué comme la salope qu’il est, l’entendre couiner, gueuler m’excitait au plus haut point et comme j’avais joui cela a duré plus longtemps. Mes couilles frappaient les siennes, je sentais son conduit serrer mon zob à l’écraser.
Quand j’ai senti le plaisir arriver, je l’ai fait se redresser contre moi, je l’ai mordu dans le cou, il me l’offrait son cou comme la victime du vampire que j’étais. Quand il a tourné la tête, il souriait. Ses yeux brillaient dans la pénombre et je n’ai vu que ses belles lèvres, ma main s’est posée sur sa joue et je l’embrassais en lui offrant ma langue.
Il a joué avec et en même temps serrait mon zob dans son cul. Je devais la récompenser cette belle salope, alors ma main a été comme attirée par son zob. Ma queue a durcit encore en lui quand j’ai pris son zob en main et reçu dans ma bouche son gémissement de plaisir. Il ne lâchait plus ma langue.
Je l’ai branlé rapidement et son cul serrait encore plus ma queue.
Quand il a joui rapidement il a lâché ma langue pour crier et bouger son cul sur mon zob. Tout son corps tremblait de jouir et à peine fini, j’ai repris à le niquer comme seul un rebeu sait le faire et j’ai inondé son conduit de salope.
On était autant essoufflé l’un que l’autre, il est resté un long moment dans mes bras, me faisant des bisous dans le cou.

Je n’avais plus envie de le lâcher ce mec, mais je ne voulais pas qu’on voit si je le ramenais chez moi et j’en avais envie tu sais Fabrice.
-Alors t’as fait quoi ?
-on est allé chez lui.
-Tu l’as revu souvent ?
-tous les jours j’allais le niquer, il m’attendait tous les soirs, à poils. J’ai jamais tant aimé un mec et ce petit con est parti six mois après et c’est là que j’ai rencontré Anaïs.
Il bandait encore comme un fou Kabyle, sa queue était dure comme de l’acier entre mes doigts.
-mais ça ne me dit pas pourquoi tu m’as raconté tout ça Kabyle! J’aime bien les histoires de cul et avec vous les rebeux c’est toujours chaud !
Il rigole.
-bien sûr on est les meilleurs, mais tu as raison c’est bien intentionnel que je t’ai raconté cela maintenant.
Je lâche son zob et vient dans ses bras, caressant sa joue, sa barbe douce.
-t’es un grand garçon maintenant Kabyle, alors arrête de faire le timide que tu n’es pas!
-oh si je suis timide Fabrice, et toi tu m’intimides encore plus!
-Tu veux me niquer ?
-non c’est pas ça! mais arrête d’être direct comme ça, laisse moi t’expliquer encore.
Quand j’ai entendu parler de toi par les autres, j’avoue que je n’ai pas beaucoup prêté attention, juste pensé que tu étais encore une salope à rebeux de plus et comme je te l’ai dit, je ne suis pas attiré par les céfrans, mais je suis curieux et j’ai réussi à faire parler les potes.

-et qui t’as fait parler voyou de cité ?
-oh il n’y a pas eu à les forcer beaucoup tu sais, prend Karim, en tête à tête il est intarissable sur toi! Il t’adore tu peux pas savoir, il parait que t’es doux, tendre, que tu dis beaucoup de choses gentilles et que tu les niques en beauté, si bien qu’ils reviennent en redemander!
-c’est vrai que j’aime la tendresse, j’aime pas les baises bourrins, tiens un peu comme tu m’as raconté, j’aime pas être forcé de faire ce que j’aime faire!
-ça je l’ai compris à travers leurs histoires Fabrice.
Sa main caresse ma joue, attirant mon visage :
-tu sais quand je baise avec ma femme, c’est aussi beaucoup de tendresse, de douceur. Elle adore ça la tendresse, l’amour comme elle aime quand je la sodomise, mais je voulais te demander quelque chose Fabrice.
-ça je l’ai compris Kabyle et même que tu es très gêné pour me le demander!
-c’est ça!
-un grand rebeu comme toi ?
Il rigole.
-c’est pas parce que je suis macho que je ne suis pas pudique!
-Alors tu voudrais passer une nuit avec moi ? Voir si je suis capable de t’aimer comme ta femme mais autrement.
Il avait pâli Kabyle et sans rien dire me serre dans ses bras. Je relève la tête, nos nez se touchent, nos souffles se mélangent. Il ferme les yeux et nos lèvres se joignent. On s’est embrassés comme des amoureux, tendrement, passionnément.
-Tu voudrais bien ? demande Kabyle.
Je le fixe comme si je réfléchissais, tu parles que j’étais d’accord.
-oui Kabyle, mais deux choses également.
-quoi ?
-un que cela ne gâche pas ta relation avec Anaïs.
-non ça n’a rien à voir, je ne suis pas amoureux de toi comme je le suis d’Anaïs.
-bien, et deux que le rebeu macho Kabyle m’obéisse en tout ce que je demanderais!

Il sourit.
-T’es dur en affaires toi! tu veux me faire quoi ?
-tu as dit que tu voulais faire l’amour avec moi et moi j’adore montrer à un rebeu novice en amour entre mecs comment l’on fait!
-j’sais niquer mec!
-ça je le sais, mais le contraire ?
Là il fait son timide, me serre encore contre lui et tout bas à l’oreille :
-justement c’est ça que je veux faire avec toi, toi seulement et tu seras le seul à jamais.
J’avoue que je m’en doutais un peu, mais j’ai quand même été surpris.
-oui tes potes m’ont tellement vanté ta douceur que je veux essayer avec toi!
-Et tu veux faire ça quand Kabyle ?
-Ben ce soir, Anaïs est allée voir ses parents et ne rentre que demain soir, tu as le temps de me montrer tout ce que tu veux et je serais un élève obéissant! Je te le jure Fabrice.
-alors on commence maintenant, toi t’as joui mais moi, tiens touche.
Je lui prends la main et la pose sur mon entrejambe. Il me tripote, baisse les yeux alors je l’embrasse et je me laisse faire, il ouvre mon jean et sa main glisse dans mon boxer, passe sous mes couilles et sort le service rapidement à l’air. Sa main chaude me prend et me caresse doucement, sa langue joue avec la mienne.
– déshabille moi Kabyle.
Il lâche ma queue, je me relève devant lui, ses yeux ne la quittent pas d’autant qu’il aperçoit ma toison de blond qui doit ressembler à celle d’Anaïs. Il est comme tétanisé, sa main part dans ma toison, me caresse. Ma queue est bien droite mais le gland est encore recouvert. Je sens la mouille arriver. Il baisse mon jean et mon boxer, enlève mes chaussures, chaussettes, se relève et enlève mon tee-shirt.
-à moi maintenant voyou de cité!
Il rigole et je le mets nu rapidement, nous sommes à égalité, je le prends par la main et l’emmène dans la chambre, dans la pénombre comme souvent les rebeux adorent.
On s’allonge sur le lit dans les bras l’un de l’autre, collés. Caresses, bisous, il me dit que je suis beau, doux, qu’il adore ma peau, mon odeur. Je le laisse me découvrir, me toucher, me caresser mais il vient vers mon sexe et le reprend en main, le décalotte complètement, regarde la mouille couler, remet le prépuce et recommence. C’est bien un rebeu subjugué par une bite non circoncise!

-j’peux te sucer ? demande-t-il timidement.
-j’espère bien! dis-je en souriant.
Ce n’était sûrement pas la première fois qu’il suçait une queue, de rebeux oui mais de céfran j’étais pas sûr. Il y allait timidement.
-donne moi la tienne Kabyle j’ai demandé doucement.
J’ai enfin eu le bon gros zob rebeu pour moi tout seul, l’observer, le caresser et l’avaler. J’ai remarqué qu’il reproduisait tout ce que je lui faisais, alors je me suis amusé, mais pas longtemps car se faire sucer par un rebeu c’est toujours pour moi une grande jouissance. Et cette première fois n’y a pas échappé!
Quand j’ai joui dans sa bouche il a joui dans la mienne et en bons gourmands on a tout avalé, rien ne s’est perdu.
Il est revenu dans mes bras pour me dire qu’il avait adoré le jus céfran, c’est pas pareil qu’un rebeu, mais qu’il aimait bien le goût.
-Tu me niques ? demande-t-il.
-T’es si pressé que ça ?
-j’ai envie avec toi.
-écoute-moi, je te propose un truc, on va dîner à Paris dans un coin tranquille tous les deux et après on revient se coucher tranquillement.
-comme des amoureux en fait, dit-il en rigolant.
-voilà, dis-je en riant également.
-donc tu vas tout faire pour que je te désire le plus possible.
-C’est ce que tu fais avec Anaïs ?
-oui
-eh bien t’as raison, là t’as envie mais ce soir en plus de l’envie tu t’offriras encore plus à la perversité de ton pote céfran!
-quel baratineur tu fais! ça m’étonne plus que les rebeux tombent comme des mouches dans tes bras!
On a fait comme j’ai dit, et c’est vrai que j’ai fait mon tendre, mes yeux l’attiraient et quand je touchais sa main à travers de la table, il baissait les yeux comme une pucelle effarouchée, mais ses doigts pinçaient les miens.

-on rentre ?
A peine entrés dans l’appart qu’il était nu et fonçait dans la chambre. J’en ai fait autant et quand je suis arrivé, il était sur le dos, les jambes écartées et commençait déjà à relever ses jambes.
-attend je veux goûter ton beau cul Kabyle!
-alors tu vas être surpris!
Il relève ses jambes, écarte ses belles fesses poilues, raie poilue mais pas trop et l’anus rouge bien au centre. C’est pas un anus fermé j’ai pensé en passant mon doigt dans la raie, touchant la muqueuse qui ressortait et en appuyant, mon doigt s’enfonce lentement.
Je relève la tête pour le regarder, il me sourit :
-j’encule Anaïs mais elle me le fait avec un gode ceinture après et j’adore ça mec, je veux juste savoir la différence avec une vraie!
Mais j’ai bouffé son cul avant quand même, et j’en revenais pas de tous les secrets de ce rebeu macho qu’il m’avait livré comme ça en un après-midi!
J’ai pris mon temps pour le baiser, sentir ma grosse queue entrer en lui, sentir la chaleur de son conduit, l’entendre gémir en poussant de petits cris. Quand tout est rentré, je l’ai baisé tendrement, lui faisant bien sentir ma queue, la faisant bouger dans ce cul quand même étroit qui me serrait bien.
A chaque coup de reins il grognait et quand j’ai joui, répandant tout mon jus dans ce conduit qui devait en recevoir pour la première fois. En fait c’était le dépucelage d’un trou qui n’avait vu que des godes!
J’ai joui de longues giclées et quand je suis sorti de son cul il m’a attiré dans ses bras pour m’embrasser et me remercier!
-à toi, j’ai dit, c’est mon cadeau de bienvenue!
-plus tard Fabrice, dis moi que j’ai un bon cul qui prend bien la bite du céfran!
-en gros que le rebeu macho aime bien faire sa salope dans les bras d’un céfran ?
Il rigole. Je n’avais jamais eu un rebeu si tendre, si doux dans mon lit. Pourtant j’adorais baiser avec les autres et ils aimaient le faire avec moi car ils revenaient, mais entendre ce rebeu macho, qui dit être hétéro, me dire des mots de midinette, et faire son soumis dans mes bras!

Je l’ai niqué à sa demande deux fois dans la nuit et lui le matin au réveil! Ce fût d’une douceur comme jamais je n’avais eu et dès le matin on jouissait comme des fous.
Il venait tout le temps le samedi après-midi boire le café. On n’a jamais recommencé une telle nuit, mais quand on est tous les deux il me prend dans ses bras et me parle à l’oreille de ses baises avec Anaïs et ce qu’elle lui fait. Il est heureux ainsi.
C’est compliqué un rebeu.
Lire la partie 1 de “Drôle de rebeu macho”
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