Ça fait deux heures que je suis dans cette salle de musculation, et depuis un bon moment un type me regarde en douce. Je vous raconte tout dans cette histoire gay
Il est brun, environ un mètre soixante quinze, des yeux verts, le teint légèrement hâlé.
Il porte un tee-shirt blanc court qui lui descend sous le nombril et unshorty en lycra bleu ciel, moulant à souhait.
J’attaque le développé couché. Je suis allongé sur un banc qui passe entre deux poteaux sur lesquels on dépose la barre chargée de poids.
À l’arrière du banc une petite marche permet à un équipier de se placer au-dessus de celui qui s’entraîne, pour l’aider à reposer la barre si ce dernier ne peut la soulever à fond en raison de la fatigue.
Je suis moi aussi en tee-shirt blanc et moule-burnes vert. J’ai chargé la barre avec les poids.
Je m’allonge. Le mec me regarde toujours.Je me relève et vais droit sur lui avec un grand sourire pour lui demander s’il veut bien m’assurer pendant ma série. Il accepte et vient se placer au-dessus de moi.
Imaginez: je suis allongé sur le banc, la tête pratiquement entre les jambes du mec, avec vue imprenable sur son entrejambe!
Je commence ma série de douze levers; il vient m’aider pour le dernier relever.
– “Merci, tu veux qu’on alterne?”
– “Oui je veux bien…”
– “OK, vas-y.”
On échange nos places: moi au-dessus de lui, allongé sur le banc. Sa queue est coincée le long de sa cuisse, un peu gonflée. Ses couilles moulées par le shorty sont bien remontées. Il attaque une série de relevés, lentement. La charge doit être un peu lourde pour lui, il peine un peu, et du coup se met à bander! Sa queue emprisonnée ne peut que s’allonger le long de sa cuisse.
Il termine sa série. Sa queue bandée me donne des idées qui se remarquent tout de suite dans mon moule-burnes. Nous échangeons à nouveau nos places. Moi j’ai une vue impeccable sur sa queue raide le long de sa cuisse, lui une vue plongeante sur ma queue raide plaquée sur mon ventre. Je commence ma série. Il fixe ma queue… Une petite tache apparaît au bout de sa queue, à travers le tissu.
Dix, onze, douze j’ai fini, en me relevant je lui fais remarquer qu’il a une petite tache le long de sa cuisse; il rougit, plonge sa main dans son shorty, et remonte sa queue sur son ventre en me bredouillant un merci. Je lui dit de ne pas s’en faire. Il sourit et s’allonge à son tour. Sa série terminée, je lui dis que j’ai fini ma séance, et le remercie de m’avoir aidé pour l’entraînement. Il me dit:
– “Tout le plaisir était pour moi!”
– “J’ai vu!”
Je lui réponds avec un grand sourire. Du coup, il pique un fard! J’éclate de rire et il rit avec moi. Je lui fais un petit signe.
– “À bientôt, je n’en ai plus pour longtemps!”
– “Bye!”
Je me rends dans les douches. Une bonne douche, et puis une petite séance de hammam, rien de tel pour détendre les muscles.
Ça fait cinq minutes que je suis allongé nu sur ma serviette quand il entre dans le hammam une serviette autour des reins.
Il vient s’asseoir en face de moi, jambes écartées.
Il fixe ma queue qui, du coup, prend du volume. Il est figé, les yeux rivés sur ma queue qui bande ferme, maintenant.
Je relève un peu la tête. Sa queue est raide sous la serviette, sur une belle paire de couilles pendantes.
Je me relève et m’assieds, la queue plaquée sur mon ventre.
Il me regarde, toujours fasciné.
Je commence à me masser la tige avec ma main gauche. Il ne dit rien.
Du coup, je glisse ma main droite sous sa serviette et je m’empare de sa queue! Elle est raide, et bien chaude… il pousse un petit gémissement ferme les yeux et se laisse caresser.
Je soulève sa serviette; il la dégage.
Maintenant il est nu face à moi je commence à le branler.
Il ouvre les yeux et me demande s’il peut toucher ma queue.
– “Bien sûr, elle ne demande que ça!”
Il pose sa main sur ma queue et commence à me branler. Je m’approche de son visage et pose mes lèvres sur les siennes.
Il a un petit mouvement de recul, puis il se détend et entrouvre ses lèvres.
Ma langue s’insinue entre ses dents et va à la rencontre des sa langue.
Nous échangeons un baiser vigoureux… il en redemande, le bougre!
Nous nous mettons debout. Il se plaque contre moi, nos queues se touchent nos mains parcourent nos corps.
– “C’est bon! me dit il. Quand je t’ai vu, j’ai eu envie de toi…”
– “Je l’avais remarqué! Lui dis-je.”
Il éclate de rire! Je descends le long de son corps pour lui prendre la queue dans ma bouche, il pousse un grognement.
Je commence à le pomper quand la porte s’ouvre…
Un mec entre dans le hammam! On se sépare tout de suite, serviettes rabattues.
La vapeur nous protège: le mec n’a rien vu… ouf!
Deux minutes après je me lève et sors laissant là mon amant et le mec.
Je fonce aux douches.
Quelques secondes plus tard, il arrive lui aussi pour prendre sa douche.
Nous sommes seuls.
Je lui dit que j’habite à 500m de là, et qu’il peut venir chez moi s’il veut. Il accepte.
On se rhabille et on se retrouve sur le trottoir.
Il me confie qu’il n’a jamais fait l’amour avec un mec et qu’il en meurt d’envie. Mais ça lui fait un peu peur.
Tout en marchant, je lui dis que s’il ne veut pas faire quelque chose, on ne le fera pas. Il se détend.
On arrive à mon immeuble. L’ascenseur, la clé dans la porte. J’ouvre et l’invite à entrer. Dans l’entrée, je pose mon sac. Il en fait autant. Je lui montre le salon où je l’invite à s’asseoir sur le canapé. Il s’installe. Comme il semble tendu, je lui propose un verre. Il accepte. Je lui sers un cognac. Je m’assieds à côté de lui et nous bavardons. Ça fait longtemps qu’il a envie de faire l’amour avec un mec, mais il n’a jamais osé. Tout à l’heure, quand il m’a vu, l’envie a été plus forte que ses peurs. Je prends son verre le dépose sur la table basse et passe mon bras autour de ses épaules. Il pose sa tête sur la mienne et se détend.
Ma main caresse sa poitrine. Il se laisse faire. Quand mes doigts caressent ses seins, sa respiration s’accélère. Je pose mes lèvres sur les siennes. Il ouvre la bouche et nous échangeons un baiser long et profond. Quand nous nous séparons, je lui enlève son sweat shirt, et en profite pour lui sucer les tétons. Il grogne de plaisir. Ma main glisse sur son ventre et descend lentement vers sa braguette, que je masse. Sa queue est dure. Je l’embrasse de nouveau tout en défaisant sa ceinture, j’ouvre sa braguette. Il gémit et se laisse faire. Je dégage son jean que je fais glisser. Il soulève les fesses pour m’aider. Il est là, en slip, sur le canapé. Je me lève, fais sauter mon sweat shirt et mon jean, et viens m’asseoir à côté de lui. Il me sourit. Nous échangeons un baiser.
Je pose ma main sur son slip, il en fait de même. Je le masse en douceur. Son slip a du mal à garder sa queue. Je me glisse à genoux entre ses cuisses, je pose mes lèvres sur ses couilles, et je souffle à travers le tissu. Je sens sa bonne odeur de mâle, il murmure:
– “C’est bon!”
Doucement je dégage ses couilles en tirant sur l’élastique de son slip. Elles pendent là, sous mes yeux. Je gobe une de ses couilles que je fait tourner dans ma bouche avec ma langue…
– “Putain, que c’est bon!” Me dit il.
Le bout de sa queue dépasse un peu de son slip. Un petit coup de langue, il gémit… Lentement je fais glisser son slip; il soulève les fesses. Sa queue jaillit, raide, et vient frapper son ventre… je prends sa queue, tire sur la peau pour dégager son gland. Il me regarde faire, intrigué et un peu tendu. Je pose mes lèvres sur son gland que je gobe, en tournant ma langue autour, pour titiller le frein. Doucement, sans s’en rendre compte, il fait de petits mouvements du bassin. Il aime mon traitement! Sa respiration s’accélère; je sens qu’il va jouir, j’arrête. Il me sourit et me dit:
– “À toi…”
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Je viens m’asseoir sur le canapé. Il fait glisser mon slip et commence par regarder mon sexe. Il approche son visage et se met à sentir mon sexe. Son nez frotte mes poils pubiens. Je suis bien. Enfin, il prend ma queue dans sa main dégage mon gland et commence à me sucer. Il s’arrête, me regarde, et me dit dans un sourire:
– “C’est bon…”
Il s’y prend bien, il apprend vite… Pour une première fois, on dirait un pro. Il se déchaîne sur ma queue, je sens que s’il continue, je vais jouir… Je lui propose d’arrêter et de faire une pause. Il accepte. Nous reprenons nos verres il est tout sourire il me dit qu’il n’imaginait pas ça aussi bon. Nous bavardons encore un peu sa queue se remet à bander la mienne… aussi. Je lui propose un 69. Nous glissons sur le tapis et là, allongés l’un contre l’autre, nous commençons un long 69. Nos queues glissent entre nos lèvres nos mains parcourent nos corps. Au bout d’un moment il me dit qu’il va jouir. Je continue à le sucer; les premiers spasmes annonciateurs commencent. Il veut se retirer. Je garde sons sexe dans ma bouche, un, deux, trois… cinq longs jets viennent remplir ma bouche. Il halète, il est secoué de violents spasmes. Sa respiration se calme, sa queue ramollit, je me retourne et viens me coller contre lui.
J’approche mes lèvres des siennes; il entrouvre la bouche; je lui donne un baiser avec ma bouche pleine de son sperme. Il est surpris par son sperme, puis il me donne un baiser passionné. Nos salives et son sperme se mélangent dans nos bouches. Il avale son sperme nous nous séparons. Il me confie qu’il n’avait jamais goûté son sperme et qu’il trouve ça bon. Nous faisons une nouvelle pause. Il n’aurait jamais imaginé que cela puisse être aussi bon. Nous nous caressons doucement pendant que nous bavardons.
– “Je voudrais que tu me prennes, me dit-il, mais j’ai peur d’avoir mal.”
– “Ok, moi aussi j’ai envie de te prendre… Je vais te préparer. Si tu es bien détendu, tu n’auras pas mal.”
– “On essaye?”
– “D’accord, mets toi à quatre pattes, je vais te préparer.”
Il s’exécute. Son petit cul bien ferme est offert à mes yeux. Je caresse ses fesses puis je commence à lui lécher le trou. Il pousse de petits cris de plaisir. Longuement, je lui lèche son trou, tantôt avec la langue bien large, tantôt avec la langue en pointe, au bout d’un moment son petit trou s’ouvre, je glisse un doigt, il se crispe. Je lui dis de se détendre, il se laisse faire. Mon doigt glisse dans son trou, passe l’anneau serré… ça y est maintenant, je masse doucement sa prostate. Il grogne de plaisir. Mon doigt joue librement dans son trou. J’y glisse un deuxième doigt. Il me dit que je lui fais mal.
Je lui réponds:
– “Tout doux, laisse-toi faire… ”
Maintenant, c’est trois doigts dans son trou. Il remue le bassin. Il aime. Il est dilaté, mes doigts toujours dans son trou. Je lui présente ma queue pour qu’il la suce et la couvre bien de salive. Il me pompe comme un fou. Quand ma queue est bien raide, je viens me positionner derrière lui. Je pose mon gland contre son trou, je pousse un peu. Mon gland entre difficilement. Il pousse un cri:
– “J’ai mal! Me dit il.”
J’attends un peu qu’il se fasse a mon bout, puis quand il est détendu je lui dis que je vais entrer lentement, qu’il se détende et qu’il pousse comme s’il voulait aller à la selle. Au moment où il pousse, j’entre lentement. Il pousse un cri et me dit que je le déchire… J’attends un peu. Son anneau s’est détendu. Je lui dis qu’il reste la moitié a entrer. Il me dit d’y aller. Je pousse. Ma queue entre a fond, mon ventre vient frapper ses fesses. Je lui dis que je suis entré à fond… Il se détend. Son fourreau chaud enserre ma queue. Je commence un lent va et vient. Il gémit de plaisir et murmure:
– “C’est bon, c’est bon …”
Mon gland masse sa prostate à chaque aller et venue. Maintenant il accompagne mes mouvements.
Ma main glisse entre ses cuisses et lui caresse les couilles.
Il me dit d’aller plus vite, ce que je fais. Je sens son cul me serrer; les premiers spasmes de sa jouissance me massent la queue.
Il jouit violemment, entraînant ma jouissance… Je me vide dans son cul. Mon corps est parcouru de violents spasmes. Ma main est pleine de son sperme.
Nous nous écroulons sur le tapis. Je le prend dans mes bras. Il est tout sourire.
– “Tu es mon premier mec… Merci d’avoir été si doux.”
Nous restons un moment là sans bouger, le temps de retrouver nos esprits.
Au bout d’un moment, il me dit vouloir goûter mon sperme. Il se penche sur mon sexe et l’engloutit.
Il commence à me pomper lentement d’abord puis de plus en plus vite, il glisse un doigt dans mon cul. L’effet est immédiat: je me vide dans sa bouche… Il avale tout, puis vient me donner à goûter mon sperme.
Il est heureux souriant.
Nous nous levons, prenons une douche. Couverts de mousse, échange de baisers, l’eau chaude coule sur nos corps, on est bien.
On se sèche on se rhabille et on finit nos verres.
Il me dit qu’il a beaucoup aimé et me demande si nous pourrons recommencer.
Sûr que je suis d’accord! Je retourne au gymnase le lendemain. S’il veut, nous nous entraînerons ensemble et nous finirons l’entraînement chez moi. La proposition lui convient tout à fait.
Encore un baiser, il me quitte et me laisse sa carte. Je lui donne mon numéro de téléphone. Un dernier baiser, puis il me quitte.
Vivement demain …
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