Parfois, effectivement, ce dicton prend tout son sens… on se trouve au bon endroit, au bon moment, entouré des personnes qu’il faut…
Un aléa de la vie, un moment improbable qui n’arrive parfois qu’une ou deux fois dans une vie… un pur moment qu’il faut accepter et savourer jusqu’au bout… c’est ce que j’ai fait !
Tout avait commencé avec un apéro chez une amie, on devait se retrouver tout un petit groupe avant de partir en boîte de nuit, gay en l’occurrence. Un petit groupe totalement éclectique. De mémoire, un couple de filles, un couple de mec, trois célibataires dont deux filles, deux couples d’amants homme et femme, chacun étant là avec son amant et maîtresse… tout le monde le savait… tout le monde s’en foutait je crois. Certains se connaissaient, les autres ont fait connaissance sur le début de soirée. C’est comme ça que j’ai connu un des amants, Terry.
Il était content d’être là car ça faisait deux semaines qu’il n’avait pas vu sa copine qui était mariée. Pour ma part, je composais la moitié du couple gay. Mon mec de l’époque était déjà en train d’ouvrir plusieurs bouteilles et était plus intéressé par ce qu’il y avait à boire que les gens qui étaient présent. Moi j’étais plutôt en mode observateur, je ne connaissais pas tout le monde et j’étais pas facilement à l’aise. Terry visiblement était pareil puisqu’on a discuté depuis le début et qu’on ne s’est quasi pas lâché de la soirée, s’efforçant de rester fort devant l’afflux de personnes. Il devait être aussi sociable que moi. On s’est vite rendu compte qu’on ne connaissait que très peu de participants du coup on s’est soutenu comme on pouvait.
L’apéro n’a pas tardé a commencé et pas à la bière ou au vin… non c’est pas assez fort. Ils ont sorti directement le Gin, Vodka et Whisky… on s’est regardé un peu stoïque… Terry a été moins peureux, lui il s’est pris un verre de whisky directement. J’ai été plus sage, j’ai noyé une petite dose de vodka dans genre trois litres de jus de pomme… il fallait être raisonnable, il n’était que 21h30 à tout casser donc j’ai préféré jouer de prudence.
La soirée s’est lancée d’une bonne allure. Ça rigolait (fort déjà) de partout, chacun parlait au début avec tout le monde puis quelques petits duos ou groupes se sont formés comme d’habitude… les fumeurs sur le balcons, les adeptes des blagues lourdes, il y en avait un peu pour tous les goûts… et Terry et moi… les sauvages de sortie… on était enfoncés dans le canapé, se battant pour garder notre place. J’ai commencé à lui poser des questions sur lui et sa fameuse copine. Cela faisait trois ans qu’ils se fréquentaient… ça m’avait un peu choqué et fait de la peine pour lui, trois ans à être le second, en cachette… ça devait pas être facile… et quand il m’a posé la question pour moi… je me suis dit… lui trois ans à être caché, moi deux ans à être limité ignoré quand on était avec du monde… ça se valait bien. On a passé une bonne partie de la soirée à continuer à parler de tout et de rien, des couples, du travail, des banalités… ah et si il nous arrivait aussi de nous moquer gentiment des absurdités qu’on pouvait entendre. On s’amusait… à notre manière.
23h45… les esprits étaient déjà bien échauffés, dans tous les sens du terme. Terry n’était pas à l’aise d’aller en boîte gay, sa copine était elle complètement à l’aise et avait hâte d’y être… elle était déjà bien éméchée comme la plupart des gens d’ailleurs. Je l’ai rassuré en lui disant que s’il en trouvait un qui l’emmerdait ou s’il l’approchait de trop près, il pouvait me prendre comme excuse. Il m’a remercié en me demandant si mon mec n’allait pas être jaloux. Je l’ai rassuré en lui disant qu’il y avait à peu près une chance sur cent qu’il me calcule en boîte, j’étais habitué donc il pouvait se faire plaisir.
D’ailleurs, quand on est tous partis en boîte, je me suis même retrouvé dans une voiture avec quatre filles, je ne savais même pas ou mon mec se trouvait mais je me doutais bien qu’il allait suivre le mouvement. Il n’a pas du s’inquiéter non plus, il était déjà bien alcoolisé… je rigolais intérieurement déjà de sa gueule de bois de demain, pourtant je l’avais prévenu sur les méfaits des mélanges… mais bon il était majeur et ‘responsable’…
En arrivant en boîte, on entendait une partie de notre groupe chanter comme des dingues… je me suis même demandé sur le coup s’ils allaient tous nous laisser entrer… visiblement ils ne s’arrêtaient pas à ce détail et au bout de quelques minutes on s’est tous plus ou moins retrouvés dans la discothèque. Je vous passe les détails, le vestiaire, le peuple partout, la musique à fond et la moitié des potes se dirigeant directement, non pas vers la piste de danse mais vers le bar… bah oui il faisait soif…
On est parvenu tout de même à se trouver un coin de canapés libre pour nous tous. Les consommations sont arrivées et la fête était repartie de plus belle. Chacun est allé danser profitant parfois des bons titres entraînants que le DJ voulait bien nous passer. Tout le monde s’amusait sur la piste… même moi oui oui, Terry aussi dansait (enfin bougeait) sur la piste. Je le voyais me guetter du coin des yeux, s’assurant que j’étais à portée de bras. Les titres se sont enchaînés, les verres aussi, l’ambiance continuait à monter. J’ai pas dansé une seule fois avec mon mec, même s’il n’était pas loin.
Mais il y en a un qui nous a remercié, c’est Terry. On avait veillé à ce qu’aucun mec ne l’approche de trop. Je l’ai vu à quelques mètres de moi, se rapprocher de mon mec et lui taper la bise pour le remercier j’ai supposé. Je l’ai vu s’approcher de moi, il s’est calé devant moi, faisant mine de danser un peu. Il a pris ma tête entre ses mains, je m’attendais à ce qu’il me tape la bise aussi, mais j’ai eu droit à un tout autre remerciement. Il m’a embrassé directement sur la bouche, sans se cacher plus que ça. Un peu surpris au début, j’ai pas trop eu le temps de réagir. Il a retiré ses mains mais sans partir plus que ça. Il est revenu à la charge mais ce coup-ci je lui ai rendu son baiser. J’ai collé ses lèvres aux miennes et j’ai pris ses mains pour les enlacer autour de ma taille.
On s’est embrassés sans retenue, sans se préoccuper de l’entourage… un coup de folie, sans doute augmenté par l’alcool ou l’ambiance mais on s’est fait plaisir le temps d’un long baiser. Une fois terminé, on s’est remis à danser, souriant tous les deux, à priori, personne ne s’était soucié de ce qui s’était passé. Moi ça m’avait plu et j’aurai bien continué.
De retour sur les banquettes, les ravages de l’alcool commençaient à se voir. Mon mec restait introuvable mais je pensais bien que la pièce réservée aux fumeurs devait être son repère, il manquait deux fumeuses aussi. Ils sont réapparus au bout de quelques minutes, titubant allègrement et rigolant comme des fous. Il est venu vers moi et m’a dit qu’il allait rentrer avec une des filles car elle voulait continuer la fête ailleurs car selon elle, c’était nul ici… je n’avais pas envie d’argumenter avec quelqu’un qui avait un taux d’alcool aussi élevé donc j’ai juste acquiescé avant de les voir partir directement.
Terry avait vu toute la scène et il m’a demandé d’un coup de tête si ça allait. Je lui ai sourit par habitude et je lui ai fait signe de pas s’en faire. De son côté le constat n’était pas meilleur, sa copine s’était carrément endormie sur la banquette et dormait. J’ai aussitôt compris que sa belle soirée avec sa copine tournait comme la mienne, un léger abandon… il avait l’air complètement dépité voir presque agacé.
Une petite heure plus tard, la discothèque commençait à se vider. On s’est mis sur le départ, en regardant précisément qui était sur le point de ramener qui, ou qui le pouvait surtout. Le couple de filles s’est proposée de s’occuper de la copine de Terry, logique cela dit, son mari aurait sûrement fait une drôle de tête de la voir rentrer avec lui. Mais aussi bizarre que cela puisse être, il a bondi de la banquette, s’approchant de moi, me demandant si je voulais qu’il me raccompagne. J’ai accepté de suite. Il a mis sa main autour de mon épaule et hop, direction la sortie. Le bol d’air frais en sortant de la boîte a fait un bien fou. On s’est tous dit au revoir sur le parking et chacun est parti de son côté. Je me suis dirigé, accompagné de Terry, jusqu’à sa voiture. Une fois dedans, il a hésité à démarrer et m’a dit :
- On n’a pas beaucoup bu ce soir, on a été raisonnable non ?
- Oui je trouve, mais on n’a pas eu trop besoin de ça pour s’amuser et passer une soirée assez intéressante au final, non ?
- Assez oui, je suis d’accord… est-ce que ça te dit de la prolonger encore un peu
- Chez toi tu veux dire ?
- Pourquoi pas oui… un dernier verre peut-être, ou…
- Ou… un dernier moment de danse…
- Ouais, carrément… un verre et un moment de danse pourquoi pas…
J’avais pas saisi l’ampleur des sous-entendus jusqu’à ce qu’il prenne ma main et la colle sur sa cuisse, tout en démarrant. J’avais la main situé à quelques centimètres à peine de son entrejambe. Sur la route, profitant des virages et des arrêts occasionnels des feux rouges, je profitais pour remonter ma main lentement. J’ai vite senti son entrejambe grossir et devenir assez dure. Il était de plus en plus excité mais personne ne disait rien. Il a fini par me prévenir qu’on arrivait bientôt. Il a garé sa voiture dans son allée. Ma main n’avait pas bougé. On s’est regardé quelques minutes. Il avait posé sa main sur la mienne et la faisait bouger pour la placer encore mieux.
- Je t’embrasserai bien comme dans la boîte mais j’ai peur qu’on nous surprenne
- Pas de souci, je peux comprendre
- Ça t’embête si on va chez moi, mais que je te fasse remettre ta main comme ça sur moi ?
- Non, ça m’embête pas, au contraire
On est sortis de la voiture relativement vite et on s’est dirigé vers l’entrée de son immeuble. Une fois à l’intérieur, il a tenu sa parole et m’a remis la main sur son entrejambe sans hésiter. Les trois étages grimpés par l’ascenseur étaient rythmés par une salve de baisers plus torrides les uns que les autres. Je ressentais son envie de sexe de plus en plus et je commençais à la partager de plus en plus fort aussi.
Une fois sur son palier, on a fait le max pour garder un peu de sérieux. Une fois dans son appartement, à peine la porte fermée il s’est déshabillé complètement et m’a tout de suite dirigé vers sa chambre. J’ai eu quelques secondes où j’avais pu entrevoir son engin tout gonflé et la vue de dos était tout aussi délicieuse. Il avait une paire de fesses bien rebondies. Il m’a installé sur le lit, assis et s’est planté devant moi. J’ai pas réfléchi et je me suis mis à genou sans me faire prier, j’ai pris sa queue bien épaisse dans ma main et je l’ai prise en bouche sans me poser de questions. Il m’avait titillé presque toute la soirée, son baiser en boite et ceux dans l’ascenseur étaient suffisants. J’en voulais plus et ce que je voulais je l’avais pour le moment en bouche.
Elle était épaisse et délicieuse, bien raide et il exerçait des saccades bien déterminées. Il me l’enfonçait assez rapidement en bouche, appuyant sur ma tête pour être sûr que je le prenne bien à fond… je ne comptais pas le décevoir, j’en voulais même encore plus et j’allais tout faire pour en avoir un maximum. Je l’ai donc laissé se faire plaisir, usant de ma bouche pour augmenter son plaisir, je le suçais entièrement, prenant un pied de dingue à goûter la queue d’un mec que je venais à peine de connaître. Tout en subissant ses assauts j’essayais mine de rien de me déshabiller en même temps afin d’en avoir le plus possible. J’ai réussi à me retrouver à poil tout en gardant son engin en bouche. Ça n’a pas eu l’air de le déranger bien au contraire, je le sentais devenir de plus en plus raide. Je me suis humidifié rapidement quelques doigts et j’ai commencé à m’en mettre un, puis rapidement je suis passé à deux…
Au bout de quelques minutes de stimulation, mon envie d’en avoir plus s’est comme partagée avec la sienne, je me suis relevé et suis venu me mettre dos à lui devant sa commode. Il m’a suivi de très près et m’a relevé la jambe droite. Instinctivement il est venu se caler juste devant mon petit trou. J’avais bien fait de me préparer tout seul quelques secondes car étant donné le peu de temps qu’il lui a pris pour se retourner, il est venu se caler en moi d’une seule traite.
Sa queue est entrée en moi de pleine vigueur, je l’ai bien sentie et il ne l’a pas retirée une seule fois depuis le moment où il me l’a mise. On était dans le feu de l’action, c’était encore plus que ça. Une pulsion pure d’envie de baise… un besoin de se défouler et d’assouvir une envie de sexe irrépressible et presque primale. Il avait besoin de sexe, il voulait du sexe… moi je le voulais lui et il m’a entièrement satisfait. Il m’a pris sur sa commode sans retenir ses coups de queue. Il n’y avait pas d’autres mots… il m’a baisé, longuement, puissamment, il prenait son pied à entrer sa queue le plus loin possible en moi, me faisant hurler de plaisir. Il a gardé ma jambe dans sa main, permettant de larges va-et-vient. J’ai adoré cette sauvagerie dans l’acte. Pendant quelques minutes il a continué puis il s’est retiré d’un coup sec, il m’a remis sur le lit, il m’a fait écarter les jambes. J
’ai entendu son orgasme venir petit à petit, je sentais son pouce entrer dans mon petit trou. J’ai commencé à me branler, j’en pouvais plus j’étais sur le point de jouir. J’ai senti son sperme couler sur mes fesses, il jouissait bruyamment. Au moment où j’allais venir à mon tour, j’ai senti de nouveau sa queue entrer en moi. Il me l’a enfilé une dernière fois pendant quelques secondes. J’ai joui avec sa queue en moi, ça m’a déclenché mon orgasme quasi immédiatement. Il râlait de plaisir et de soulagement. Il s’est complètement allongé sur moi, nous faisant tomber sur le lit. Il s’est mis à rigoler tout seul.
Il était presque gêné d’avoir été aussi brutal, d’habitude il n’était pas comme ça… mais ce soir il ne savait pas trop… il avait besoin de se lâcher. Je lui ai répondu qu’il n’avait pas besoin de s’excuser, j’avais sûrement aussi besoin d’une bonne partie de baise et il avait été parfait. On a rigolé ensemble et on est parti sous la douche. Mais il a tenu sa promesse… après la douche, il m’a servi le premier verre que j’avais pris lors de cette soirée… une dernière vodka pomme… il a mis de la musique, il m’a pris dans ses bras et on a dansé tous les deux… la soirée finissait encore mieux qu’elle n’avait commencé.
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